L’amour est un océan infini

Dormeur

zzz...zzz...zzz...
L’amour est un océan infini,

Dont les cieux ne sont qu’un flocon d’écume

Sache que ce sont les vagues de l’amour,

Qui font tourner la roue des cieux

Sans amour le monde serait inanimé.

Chaque atome est épris de cette perfection

Et se hâte vers elle.

A chaque instant retentit de tous côtés l’appel de l’amour.

Si ce n’avait été par pur amour

Comment aurais-je donné aux cieux l’existence ?

J’ai élevé cette sublime sphère céleste

Afin que tu puisses comprendre la sublimité de l’amour.
 

youssoufou

La bienveillante
VIB
L’amour est un océan infini,

Dont les cieux ne sont qu’un flocon d’écume

Sache que ce sont les vagues de l’amour,

Qui font tourner la roue des cieux

Sans amour le monde serait inanimé.

Chaque atome est épris de cette perfection

Et se hâte vers elle.

A chaque instant retentit de tous côtés l’appel de l’amour.

Si ce n’avait été par pur amour

Comment aurais-je donné aux cieux l’existence ?

J’ai élevé cette sublime sphère céleste

Afin que tu puisses comprendre la sublimité de l’amour.


Mon coeur est un bateau
Voguant sur ton océan
Mes sentiments sont les matelots
Ils travaillent à l'accomplissement
D'un ciel si beau
Que même les goélands
Les compagnons de la mer
M'accompagnent en volant
Planant dans les airs

Dans ce ciel de bien-être
Dans ce firmament de bonheur
L'océan de ton amour me porte
Sur les vagues du bonheur

Sur l'océan de ton amour
Vogue le bateau de mon coeur
Et je me laisse porter tout autour
Sur l'océan de ton coeur

Car au gouvernail du bateau de mon coeur
Il y a ce capitaine merveilleux et si doux
Qui me mène tout en douceur
Vers une île de désirs fous
De tendresse et de douceur

Une île ou l'amour est roi
Une île où il n'y a rien
Vraiment que toi et moi
S'aimant sans penser à rien
Rien d'autre que ce bain d'amour
De paix et de bien-être
Ce que depuis toujours
Je désirais connaitre

Alors vogue, vogue mon petit navire
Vogue, vogue mon petit coeur
Vogue, vogue et laisse-toi conduire
Car ton capitaine t'aime de tout son coeur
Il tient beaucoup à toi
Tu es sa joie de vivre
Son espoir et sa foi
Dans lequel il s'enivre
T'apportant par le fait même
Une immensité de bonheur velours
Alors vogue, vogue mon petit coeur bohême
Sur les vagues de ton océan d'amour
 
Mon coeur est un bateau
Voguant sur ton océan
Mes sentiments sont les matelots
Ils travaillent à l'accomplissement
D'un ciel si beau
Que même les goélands
Les compagnons de la mer
M'accompagnent en volant
Planant dans les airs

Dans ce ciel de bien-être
Dans ce firmament de bonheur
L'océan de ton amour me porte
Sur les vagues du bonheur

Sur l'océan de ton amour
Vogue le bateau de mon coeur
Et je me laisse porter tout autour
Sur l'océan de ton coeur

Car au gouvernail du bateau de mon coeur
Il y a ce capitaine merveilleux et si doux
Qui me mène tout en douceur
Vers une île de désirs fous
De tendresse et de douceur

Une île ou l'amour est roi
Une île où il n'y a rien
Vraiment que toi et moi
S'aimant sans penser à rien
Rien d'autre que ce bain d'amour
De paix et de bien-être
Ce que depuis toujours
Je désirais connaitre

Alors vogue, vogue mon petit navire
Vogue, vogue mon petit coeur
Vogue, vogue et laisse-toi conduire
Car ton capitaine t'aime de tout son coeur
Il tient beaucoup à toi
Tu es sa joie de vivre
Son espoir et sa foi
Dans lequel il s'enivre
T'apportant par le fait même
Une immensité de bonheur velours
Alors vogue, vogue mon petit coeur bohême
Sur les vagues de ton océan d'amour
Dès que le vent soufflera
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme, tatatin
Moi, la mer, elle m'a pris
Je m'souviens un mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de docksides
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui me disaient "Sois prudent"
La mer, c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en aillerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi, la mer, elle m'a pris
Au dépourvu, tans pis
J'ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
Que j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ça m'a coûté ses sous
C'est de la plaisance, c'est le pied
 
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