Les Français résidant non loin de la principauté ont largement pris la direction du Pas-de-la-Case ce lundi. Les produits détaxés, notamment les cigarettes et l’alcool, attirent toujours autant…
Visiblement, les habitants des départements situés à moins de 100 kilomètres de la principauté d’Andorre attendaient l’événement avec impatience. Ce lundi, la frontière avec la France a rouvert et dès les premières heures du jour, des files de voitures se sont formées sur l’axe conduisant au Pas-de-la-Case, relate La Dépêche.
Selon le quotidien toulousain, reprenant une information de Diari D’andorra, il y a eu, dans la matinée, jusqu’à 6 kilomètres de bouchons dans le sens Ariège/Andorre, et 3 kilomètres dans l’autre sens. A 11 heures, ils étaient quelque 5 000 à avoir franchi la frontière, selon Jean-Michel Rascagneres, le maire adjoint de la paroisse d’Encamp, à laquelle est rattachée le Pas-de-la-Case.
Des "touristes express" faisant l’aller-retour en quelques heures et se pliant dans la bonne humeur à toutes les mesures mises en place par la mairie pour éviter les scènes d’agglutinement.
Cigarettes, alcool…
En moyenne, une heure était nécessaire pour atteindre le Pas-de-la-Case, et 30 à 45 minutes pour quitter la ville, une fois les emplettes effectuées.
Car c’est bien pour profiter des prix attractifs pratiqués dans la principauté que de nombreux Français ont effectué le déplacement : les prix, notamment, des cigarettes et de l’alcool, y sont bien moins élevés que dans l’hexagone. Un paquet de cigarette y coûte par exemple 3,50 euros, contre approximativement 10 euros en France.
En raison de la forte affluence, qui avait été anticipée, les forces de sécurité d’Andorre avaient mis en place des contrôles supplémentaires. 41 policiers étaient mobilisés à la frontière et dans la ville. Par ailleurs, des règles sanitaires strictes sont à respecter : distance de 1,50 m entre personnes, masques obligatoires dans les commerces, désinfection des mains et nombre limité de personnes par magasin.
Visiblement, les habitants des départements situés à moins de 100 kilomètres de la principauté d’Andorre attendaient l’événement avec impatience. Ce lundi, la frontière avec la France a rouvert et dès les premières heures du jour, des files de voitures se sont formées sur l’axe conduisant au Pas-de-la-Case, relate La Dépêche.
Selon le quotidien toulousain, reprenant une information de Diari D’andorra, il y a eu, dans la matinée, jusqu’à 6 kilomètres de bouchons dans le sens Ariège/Andorre, et 3 kilomètres dans l’autre sens. A 11 heures, ils étaient quelque 5 000 à avoir franchi la frontière, selon Jean-Michel Rascagneres, le maire adjoint de la paroisse d’Encamp, à laquelle est rattachée le Pas-de-la-Case.
Des "touristes express" faisant l’aller-retour en quelques heures et se pliant dans la bonne humeur à toutes les mesures mises en place par la mairie pour éviter les scènes d’agglutinement.
Cigarettes, alcool…
En moyenne, une heure était nécessaire pour atteindre le Pas-de-la-Case, et 30 à 45 minutes pour quitter la ville, une fois les emplettes effectuées.
Car c’est bien pour profiter des prix attractifs pratiqués dans la principauté que de nombreux Français ont effectué le déplacement : les prix, notamment, des cigarettes et de l’alcool, y sont bien moins élevés que dans l’hexagone. Un paquet de cigarette y coûte par exemple 3,50 euros, contre approximativement 10 euros en France.
En raison de la forte affluence, qui avait été anticipée, les forces de sécurité d’Andorre avaient mis en place des contrôles supplémentaires. 41 policiers étaient mobilisés à la frontière et dans la ville. Par ailleurs, des règles sanitaires strictes sont à respecter : distance de 1,50 m entre personnes, masques obligatoires dans les commerces, désinfection des mains et nombre limité de personnes par magasin.