Le Diwan M’Gallery By Sofitel à Rabat accueille, jusqu’au 10 février, les œuvres de l’artiste-peintre Fatima Louardiri. Sous l’intitulé «Reg’Art Naïf», cette collection met en relief l’art naïf dans toute sa richesse et sa splendeur.
«Cette exposition est un regard sur l’art naïf. D’où l’intitulé “Reg’Art Naïf” à travers lequel le visiteur peut admirer les travaux de Fatima Louardiri, qui est actuellement la seule peintre, demeurant au Maroc, reconnue dans ce style, aux côtés de Naciri, qui ne peint plus. C’est pour cela que je suis très contente qu’elle ait accepté d’exposer ses œuvres, après une dizaine d’années d’absence. Mais il faut dire que cette éclipse a uniquement concerné les prestations publiques. Car Fatima a toujours continué à travailler», souligne la commissaire de l’exposition, Najoua Hassouni, qui ne manque pas de préciser que Fatima Louardiri a toujours gardé le style qu’on lui connaît, c’est-à-dire un art naïf où elle retrace des histoires issues de ses souvenirs d’enfance de la campagne et de la famille rurale.
Najoua Hassouni explique que «ses tableaux présentent des mises en scène, dans des compositions colorées et pleines de détails, avec une touche de nostalgie traduisant la vie heureuse dans les milieux ruraux où la femme marocaine joue un rôle prépondérant. Son objectif est d’immortaliser un certain vécu qu’elle a réussi à transmettre à merveille».
Rappelons que les peintures de Fatima Louardiri figurent dans de nombreuses collections publiques et privées. Cette artiste, qui fait partie du noyau des artistes-peintres naïfs au Maroc, a déjà honoré son pays dans différents événements plastiques de grande importance. Cette native de Salé et fille du peintre Ahmed Louardiri s’est distinguée depuis son jeune âge par un talent artistique qui lui a valu plusieurs prix. Quatre ans après sa première exposition en 1974, à l’occasion de la journée internationale de la femme, ses tableaux furent exposés aux côtés des œuvres de son père à la Galerie Le Savouroux à Casablanca. D’autres prestations ont suivi où elle a développé une œuvre qui dégage une étonnante fraîcheur, privilégiant les figures féminines et où le rêve et la spontanéité sont la devise.
https://lematin.ma/journal/2019/lart-naif-lhonneur-pinceau-fatima-louardiri/309728.html
«Cette exposition est un regard sur l’art naïf. D’où l’intitulé “Reg’Art Naïf” à travers lequel le visiteur peut admirer les travaux de Fatima Louardiri, qui est actuellement la seule peintre, demeurant au Maroc, reconnue dans ce style, aux côtés de Naciri, qui ne peint plus. C’est pour cela que je suis très contente qu’elle ait accepté d’exposer ses œuvres, après une dizaine d’années d’absence. Mais il faut dire que cette éclipse a uniquement concerné les prestations publiques. Car Fatima a toujours continué à travailler», souligne la commissaire de l’exposition, Najoua Hassouni, qui ne manque pas de préciser que Fatima Louardiri a toujours gardé le style qu’on lui connaît, c’est-à-dire un art naïf où elle retrace des histoires issues de ses souvenirs d’enfance de la campagne et de la famille rurale.
Najoua Hassouni explique que «ses tableaux présentent des mises en scène, dans des compositions colorées et pleines de détails, avec une touche de nostalgie traduisant la vie heureuse dans les milieux ruraux où la femme marocaine joue un rôle prépondérant. Son objectif est d’immortaliser un certain vécu qu’elle a réussi à transmettre à merveille».
Rappelons que les peintures de Fatima Louardiri figurent dans de nombreuses collections publiques et privées. Cette artiste, qui fait partie du noyau des artistes-peintres naïfs au Maroc, a déjà honoré son pays dans différents événements plastiques de grande importance. Cette native de Salé et fille du peintre Ahmed Louardiri s’est distinguée depuis son jeune âge par un talent artistique qui lui a valu plusieurs prix. Quatre ans après sa première exposition en 1974, à l’occasion de la journée internationale de la femme, ses tableaux furent exposés aux côtés des œuvres de son père à la Galerie Le Savouroux à Casablanca. D’autres prestations ont suivi où elle a développé une œuvre qui dégage une étonnante fraîcheur, privilégiant les figures féminines et où le rêve et la spontanéité sont la devise.
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