Mercredi 20 août 2025, à 9h17
CPI
L’Australie a lancé ce mercredi une attaque virulente contre le Premier ministre criminel sioniste, Benjamin Netanyahu, après que ce dernier a accusé le Premier ministre australien, Anthony Albanese, de faiblesse et de trahison envers Israël (entité usurpatrice « nazie sioniste »).
En réponse aux propos de Netanyahu, le ministre australien de l’Intérieur, Tony Burke, a déclaré à la chaîne publique ABC :
Pendant des décennies, l’Australie s’est considérée comme un allié proche d’Israël (entité occupante « nazie sioniste »), mais les relations entre les deux pays se sont rapidement détériorées, après que Canberra a annoncé la semaine dernière son intention de reconnaître l’État de Palestine lors des réunions de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre.
Lundi dernier, l’Australie a annulé le visa de Simcha Rothman, député d’extrême droite appartenant au parti de la sionisme religieux, dirigé par le ministre des Finances Bezalel Smotrich, précisant que cette décision visait à éviter que ses déclarations ne provoquent des divisions au sein de la société australienne s’il venait à s’y rendre.
Le lendemain, Israël (entité usurpatrice « nazie sioniste ») a riposté en annulant les visas de diplomates australiens accrédités auprès de l’Autorité palestinienne, une décision vivement critiquée par Canberra.
Quelques heures plus tard, Netanyahu a accusé le Premier ministre australien d’être un « politicien faible qui a trahi Israël (Occupation) et abandonné les Juifs d’Australie ».
Dans les années 1950, la ville de Melbourne, située au sud-est de l’Australie, a ouvert ses bras aux juifs fuyant les horreurs de la Shoah, devenant — par rapport à sa population — la ville accueillant le plus grand nombre de survivants de l’Holocauste au monde après Israël (entité occupante sioniste).
CPI
L’Australie a lancé ce mercredi une attaque virulente contre le Premier ministre criminel sioniste, Benjamin Netanyahu, après que ce dernier a accusé le Premier ministre australien, Anthony Albanese, de faiblesse et de trahison envers Israël (entité usurpatrice « nazie sioniste »).
En réponse aux propos de Netanyahu, le ministre australien de l’Intérieur, Tony Burke, a déclaré à la chaîne publique ABC :
Burke a ajouté que la véritable force est celle dont a fait preuve Anthony Albanese, en prenant une décision en pleine connaissance du fait qu’Israël (Occupation) ne l’approuverait pas, mais en l’assumant face à Netanyahu et en lui faisant part directement de la position de l’Australie.
Pendant des décennies, l’Australie s’est considérée comme un allié proche d’Israël (entité occupante « nazie sioniste »), mais les relations entre les deux pays se sont rapidement détériorées, après que Canberra a annoncé la semaine dernière son intention de reconnaître l’État de Palestine lors des réunions de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre.
Lundi dernier, l’Australie a annulé le visa de Simcha Rothman, député d’extrême droite appartenant au parti de la sionisme religieux, dirigé par le ministre des Finances Bezalel Smotrich, précisant que cette décision visait à éviter que ses déclarations ne provoquent des divisions au sein de la société australienne s’il venait à s’y rendre.
Le lendemain, Israël (entité usurpatrice « nazie sioniste ») a riposté en annulant les visas de diplomates australiens accrédités auprès de l’Autorité palestinienne, une décision vivement critiquée par Canberra.
Quelques heures plus tard, Netanyahu a accusé le Premier ministre australien d’être un « politicien faible qui a trahi Israël (Occupation) et abandonné les Juifs d’Australie ».
Dans les années 1950, la ville de Melbourne, située au sud-est de l’Australie, a ouvert ses bras aux juifs fuyant les horreurs de la Shoah, devenant — par rapport à sa population — la ville accueillant le plus grand nombre de survivants de l’Holocauste au monde après Israël (entité occupante sioniste).