A
AncienMembre
Non connecté
Que la paix soit sur vous mes amis.
Prologue part 1.
Inspiré par une autre discussion, j'ai également envie de me confesser. Contrairement à l'autre poste, je vous garantie que celui-ci est 100% véridique. Avant d'aller dans le vif du sujet, j'aimerais vous ouvrir un voile sur ma jeunesse pour vous permettre de comprendre qui je suis aujourd'hui.
Je ne sais pas si je vous l'avais déjà dit, mais j'ai un trait de caractère hérité de mon Papa adoré qui s'apparente à un défaut. Je suis impulsif.
Dieu seul sait combien ce vice m'a causé des problèmes. Pourtant, enfant, j'étais calme et silencieux. Pire, j'étais passif ! Quand d'autres petits garçons - d'une certaine origine mais qui ne sont pas tous comme ça^^ - m'agressaient, je ne me défendais jamais. Je me mettais en boule, et je subissais en silence la pluie de coups de ces petits garçons. La raison de leur acharnement était le même : j'étais toujours seul, pas de grand frère, plus jeune qu'eux, plus petit qu'eux, j'aimais lire, et surtout j'avais trop de bonnes notes !
J'ai jamais osé raconté à mes parents qu'au collège une bande d'arabes m'agressaient. Jamais j'ai osé leur décrire l'enclume qui me pesait au ventre quand je traversais le corridor sombre qui reliait les deux bâtiments entre les cours. C'était souvent là qu'ils m'attendaient. Et vous savez pourquoi ? Parce que Papa !
Pour vous décrire mon père, je vais donner la parole à des jeunes racailles de mon quartier ; "Wallah je préfère être rechercher par la mafia Russe, être tricard partout qu’être le fils de cet homme". En effet, si mon père avait appris que son fils aîné se faisait martyriser à l'école, il m'aurait d'abord plongé dans l'acide à mains nues. L'effet brûlant du liquide sur ses bras expiant la honte de m'avoir comme fils. Puis il aurait écartelé mes agresseurs toujours à mains nues. Il aurait ensuite empalé leurs parents, décapité leurs amis et les amis de leurs amis et il aurait fini en incinérant toute la ville. Pour terminer, il serait rentré à la maison et aurait dit à ma mère qu'elle subirait le même sort si jamais il l'a voyait me pleurer ou, dans un moment de nostalgie, elle prononçait mon prénom.
Mais, quelques années après cette malédiction, un dragon qui sommeillait en moi s'est réveillé. Je me souviens du jour précis où il a ouvert ses yeux rouges et brûlant en moi. C'était un jour à la piscine où j'ai croisé l'un de mes jeunes agresseurs. Le chef de la bande maudite. Il était passé devant moi sans me prêter la moindre attention. Il était si petit et si maigre ! Il se dirigeait vers un français pour le bousculer parce que ce dernier avait posé sa serviette sur la sienne.
Est-ce que le soleil m'avait tapé sur la tête ? Parce qu'après cette scène, j'ai senti le dragon en moi ouvrir sa gigantesque gueule pour rugir et cracher du feu. Après quoi, j'ai perdu connaissance. En reprenant mes esprit, j'étais dans l'eau debout, en train d'étrangler l'agresseur et le noyer pendant que plusieurs personnes s'affolant autour de moi me suppliait de le lâcher. J'avais de la bave sur le menton. Je me souviens que je voulais le manger tout cru. Non, ce n'est pas une hyperbole ! Je voulais réellement planter mes dents dans son visage pour lui en arracher la chair jusqu'à l'os ! Il devenait pourpre. Ses yeux allaient gicler de leur orbites. Ses suppliques me ramenaient quelques années plutôt, dans cette même piscine où il s'est passé l'épisode qui me changea définitivement...
à suivre.
Prologue part 1.
Inspiré par une autre discussion, j'ai également envie de me confesser. Contrairement à l'autre poste, je vous garantie que celui-ci est 100% véridique. Avant d'aller dans le vif du sujet, j'aimerais vous ouvrir un voile sur ma jeunesse pour vous permettre de comprendre qui je suis aujourd'hui.
Je ne sais pas si je vous l'avais déjà dit, mais j'ai un trait de caractère hérité de mon Papa adoré qui s'apparente à un défaut. Je suis impulsif.
Dieu seul sait combien ce vice m'a causé des problèmes. Pourtant, enfant, j'étais calme et silencieux. Pire, j'étais passif ! Quand d'autres petits garçons - d'une certaine origine mais qui ne sont pas tous comme ça^^ - m'agressaient, je ne me défendais jamais. Je me mettais en boule, et je subissais en silence la pluie de coups de ces petits garçons. La raison de leur acharnement était le même : j'étais toujours seul, pas de grand frère, plus jeune qu'eux, plus petit qu'eux, j'aimais lire, et surtout j'avais trop de bonnes notes !
J'ai jamais osé raconté à mes parents qu'au collège une bande d'arabes m'agressaient. Jamais j'ai osé leur décrire l'enclume qui me pesait au ventre quand je traversais le corridor sombre qui reliait les deux bâtiments entre les cours. C'était souvent là qu'ils m'attendaient. Et vous savez pourquoi ? Parce que Papa !
Pour vous décrire mon père, je vais donner la parole à des jeunes racailles de mon quartier ; "Wallah je préfère être rechercher par la mafia Russe, être tricard partout qu’être le fils de cet homme". En effet, si mon père avait appris que son fils aîné se faisait martyriser à l'école, il m'aurait d'abord plongé dans l'acide à mains nues. L'effet brûlant du liquide sur ses bras expiant la honte de m'avoir comme fils. Puis il aurait écartelé mes agresseurs toujours à mains nues. Il aurait ensuite empalé leurs parents, décapité leurs amis et les amis de leurs amis et il aurait fini en incinérant toute la ville. Pour terminer, il serait rentré à la maison et aurait dit à ma mère qu'elle subirait le même sort si jamais il l'a voyait me pleurer ou, dans un moment de nostalgie, elle prononçait mon prénom.
Mais, quelques années après cette malédiction, un dragon qui sommeillait en moi s'est réveillé. Je me souviens du jour précis où il a ouvert ses yeux rouges et brûlant en moi. C'était un jour à la piscine où j'ai croisé l'un de mes jeunes agresseurs. Le chef de la bande maudite. Il était passé devant moi sans me prêter la moindre attention. Il était si petit et si maigre ! Il se dirigeait vers un français pour le bousculer parce que ce dernier avait posé sa serviette sur la sienne.
Est-ce que le soleil m'avait tapé sur la tête ? Parce qu'après cette scène, j'ai senti le dragon en moi ouvrir sa gigantesque gueule pour rugir et cracher du feu. Après quoi, j'ai perdu connaissance. En reprenant mes esprit, j'étais dans l'eau debout, en train d'étrangler l'agresseur et le noyer pendant que plusieurs personnes s'affolant autour de moi me suppliait de le lâcher. J'avais de la bave sur le menton. Je me souviens que je voulais le manger tout cru. Non, ce n'est pas une hyperbole ! Je voulais réellement planter mes dents dans son visage pour lui en arracher la chair jusqu'à l'os ! Il devenait pourpre. Ses yeux allaient gicler de leur orbites. Ses suppliques me ramenaient quelques années plutôt, dans cette même piscine où il s'est passé l'épisode qui me changea définitivement...
à suivre.