Furieux, le chef du FJD appelle à la révolution en Algérie ParMélissa Krazem|Il y a 25 minutes
2Commentaire(s) Abdallah Djaballah fulmine. Son parti, le Front de la Justice et du Développement (FJD) n'a été crédité que de 7 sièges à l'Assemblée nationale algérienne. Et en bon joueur, le leader du parti islamiste dénonce les résultats des élections du 10 mai.
Il est vrai que les partis islamistes, tels que l'Alliance verte ou le FJD sont les grands perdants de ce scrutin. Djaballah estime même que son parti a été spolié par le gouvernement en place, le leader islamiste qui avait entamé très confiant cette campagne. En effet, il affirme que les sondages créditaient sont parti de 65% des voix. « Le dernier sondage réalisé par le pouvoir après la fin de la campagne électorale, nous avons les documents en notre possession, nous créditait de 65 sièges », a-t-il déclaré à la presse.
Et le chef du FJD ne se borne pas à contester le résultat des élections, puisque déjà celui-ci affirme que ce scrutin pourrait donner lieu à une révolution calquée sur le modèle tunisien : « nous ne reconnaissons pas ces résultats. Ils ont fermé la porte du changement par les urnes et il ne reste à ceux qui croient au changement que le choix tunisien ». Djaballah considère ces législatives comme une « mascarade » qui a « créé une situation d'insécurité et d'instabilité ». Persuadé qu'une révolution serait la solution à tous les maux en Algérie, l'islamiste affirme que « tôt ou tard, le choix sera tunisien ».
Source : Algérie 360
http://maghreb.minutebuzz.com/#2012...gerie/?&_suid=1336998011031026624631206055876
2Commentaire(s) Abdallah Djaballah fulmine. Son parti, le Front de la Justice et du Développement (FJD) n'a été crédité que de 7 sièges à l'Assemblée nationale algérienne. Et en bon joueur, le leader du parti islamiste dénonce les résultats des élections du 10 mai.
Il est vrai que les partis islamistes, tels que l'Alliance verte ou le FJD sont les grands perdants de ce scrutin. Djaballah estime même que son parti a été spolié par le gouvernement en place, le leader islamiste qui avait entamé très confiant cette campagne. En effet, il affirme que les sondages créditaient sont parti de 65% des voix. « Le dernier sondage réalisé par le pouvoir après la fin de la campagne électorale, nous avons les documents en notre possession, nous créditait de 65 sièges », a-t-il déclaré à la presse.
Et le chef du FJD ne se borne pas à contester le résultat des élections, puisque déjà celui-ci affirme que ce scrutin pourrait donner lieu à une révolution calquée sur le modèle tunisien : « nous ne reconnaissons pas ces résultats. Ils ont fermé la porte du changement par les urnes et il ne reste à ceux qui croient au changement que le choix tunisien ». Djaballah considère ces législatives comme une « mascarade » qui a « créé une situation d'insécurité et d'instabilité ». Persuadé qu'une révolution serait la solution à tous les maux en Algérie, l'islamiste affirme que « tôt ou tard, le choix sera tunisien ».
Source : Algérie 360
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