Le clip dingue de the blaze tourné à alger

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VIB
Ce matin, à l’aube, j’ai pris une claque. Une claque foudroyante, ce genre de gifle qui vous réveille, vous mue dans toutes sortes d’émotions, vous transporte dans un état mêlant l’allégresse aux larmes d’émotion, en seulement cinq minutes et trente-sept secondes. Cette gifle est visuelle, devant le clip vidéo du morceau Territory, du duo The Blaze. Il fallait oser pour transformer la Casbah d’Alger en véritable lieu d’exultation sur fond d’électro, du jamais vu auparavant.

Le clip s’ouvre silencieusement sur une Méditerranée fendue en deux, un voyage, un retour aux sources, aux origines. Un silence, une vue sur cette baie d’Alger, la grande, la grandiose, vêtue de blanc et de rouille, puis un homme, seul, face à cette immensité, entrant dans ce port qui referme ses immenses digues sur vous, comme si la ville vous embrasse et vous prend dans ses bras.

Cette poésie du retour aux racines débute par des larmes, qu’on retient jusqu’à risquer la suffocation puisque ici, en paraphrasant l’auteure Faïza Guène, «un homme, ça ne pleure pas», même de joie. Puis la rencontre, la bouffée d’oxygène jusqu’à l’étouffement et l’exultation. Mêlant amour maternel, paternel, fraternel, le clip balance, par un jeu de lumière naturelle, entre tendresse et brutalité, scènes d’affection et allégresse, dans un souci d’esthétisme remarquable. Rompant avec les tabous de la société algérienne, on y trouve une succession de scènes de soirées nocturnes sous les effluves des chichas, inversant les personnages du tableau de Delacroix, on plonge ici dans l’intimité d’homme, de frères, de proches, de voisins. Alger exulte, plus vivante que jamais, dans une ode à sa jeunesse, sa beauté.

Source : Libération


Gros jeu d'acteur...
 
Ce matin, à l’aube, j’ai pris une claque. Une claque foudroyante, ce genre de gifle qui vous réveille, vous mue dans toutes sortes d’émotions, vous transporte dans un état mêlant l’allégresse aux larmes d’émotion, en seulement cinq minutes et trente-sept secondes. Cette gifle est visuelle, devant le clip vidéo du morceau Territory, du duo The Blaze. Il fallait oser pour transformer la Casbah d’Alger en véritable lieu d’exultation sur fond d’électro, du jamais vu auparavant.

Le clip s’ouvre silencieusement sur une Méditerranée fendue en deux, un voyage, un retour aux sources, aux origines. Un silence, une vue sur cette baie d’Alger, la grande, la grandiose, vêtue de blanc et de rouille, puis un homme, seul, face à cette immensité, entrant dans ce port qui referme ses immenses digues sur vous, comme si la ville vous embrasse et vous prend dans ses bras.

Cette poésie du retour aux racines débute par des larmes, qu’on retient jusqu’à risquer la suffocation puisque ici, en paraphrasant l’auteure Faïza Guène, «un homme, ça ne pleure pas», même de joie. Puis la rencontre, la bouffée d’oxygène jusqu’à l’étouffement et l’exultation. Mêlant amour maternel, paternel, fraternel, le clip balance, par un jeu de lumière naturelle, entre tendresse et brutalité, scènes d’affection et allégresse, dans un souci d’esthétisme remarquable. Rompant avec les tabous de la société algérienne, on y trouve une succession de scènes de soirées nocturnes sous les effluves des chichas, inversant les personnages du tableau de Delacroix, on plonge ici dans l’intimité d’homme, de frères, de proches, de voisins. Alger exulte, plus vivante que jamais, dans une ode à sa jeunesse, sa beauté.

Source : Libération


Gros jeu d'acteur...
Le mec est sublime, au moment où il pleure et lorsqu'il danse.. je valide!
 
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