Votre entourage le dit souvent, vous êtes du genre rêveuse, fleur bleue, une idéaliste de l’amour, un peu petite fille dans l’âme. Et parfois, c’est vrai, vous vous sentez dans ce rôle de princesse en haut de sa tour dans l’attente du prince. Tant que vous êtes bloquée là-haut, vous avez le sentiment que votre vie n’en vaut pas la peine, qu’elle est chiante à pleurer, parce qu’il vous manque un Homme, le vrai. N’auriez-vous pas attrapé le complexe de Cendrillon par hasard ?
Qu’est-ce que le « complexe de Cendrillon » ?
Cendrillon, vous la connaissez : c’est la souillon devenue princesse. C’est la jeune fille qui prend soin de sa belle-mère et de ses demies sœurs alors qu’elles la maltraitent. Si elle arrive à se rendre au fameux bal, c’est grâce à sa Marraine la bonne fée. Dans sa robe de princesse, sa beauté est révélée et elle suscite alors l’envie et la convoitise de tous les hommes, ce qui va la faire fuir. Elle incarne l’idéal masculin et étrangement beaucoup de femmes se sont glissées dans ce rôle.
Si le portrait peut paraître flatteur à première vue, Cendrillon incarne à la fois l’innocence et la beauté. Colette Dowling est la première à parler de ce complexe en 1981 dans son livre portant le même nom. Elle explique que ce qui définit le complexe de Cendrillon, c’est ce lien de dépendance. Cendrillon n’est pas préparée à sa liberté et va désirer être prise en charge par un homme.
Qu’est-ce que le « complexe de Cendrillon » ?
Cendrillon, vous la connaissez : c’est la souillon devenue princesse. C’est la jeune fille qui prend soin de sa belle-mère et de ses demies sœurs alors qu’elles la maltraitent. Si elle arrive à se rendre au fameux bal, c’est grâce à sa Marraine la bonne fée. Dans sa robe de princesse, sa beauté est révélée et elle suscite alors l’envie et la convoitise de tous les hommes, ce qui va la faire fuir. Elle incarne l’idéal masculin et étrangement beaucoup de femmes se sont glissées dans ce rôle.
Si le portrait peut paraître flatteur à première vue, Cendrillon incarne à la fois l’innocence et la beauté. Colette Dowling est la première à parler de ce complexe en 1981 dans son livre portant le même nom. Elle explique que ce qui définit le complexe de Cendrillon, c’est ce lien de dépendance. Cendrillon n’est pas préparée à sa liberté et va désirer être prise en charge par un homme.