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Le Dalai-Lama est un féodal qui ne rêve que de domination
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[QUOTE="Piyale, post: 9076404, member: 284381"] En sappuyant sur la parole du dalaï‐lama transcrite dans ses mémoires et également dans ses discours prononcés lors de ses voyages à létranger, Maxime Vivas met en lumière lopportunisme, les omissions, les ruses, les mensonges et le refus du devoir dinventaire dun homme et son royaume. Lhistoire de la domination du Tibet reconstruite au travers de sa littérature et des rapports consécutifs aux voyages détudes de parlementaires français, dessine le portrait dun pays et dune réalité méconnus. Un portrait au delà de nos représentations et de lagitation médiatique autour dune personnalité à double discours. Loin de faire lapologie des politiques régionales du gouvernement chinois, Maxime Vivas souhaite rétablir la réalité des faits, historiques et présents, trop souvent broyée par une image monolithique du dalaï‐lama. Dans un plaidoyer pour la laïcité, lauteur se pose la question de savoir ce que serait un « Tibet libre » dirigé par un prophète récalcitrant devant les sciences et la liberté de culte. Dans un portrait au vitriol du dalaï-lama Tenzin Gyatso, sexprime une critique inédite qui donne les éléments souvent passés sous silence et nécessaires pour comprendre une région du monde que nous connaissons trop mal, un Tibet pris malgré lui « dans le rêve de lautre » (1). Le royaume du 14ème dalaï-lama : un système féodal Avant 1959, le servage et lesclavage étaient pratiqués au profit dune élite dont les moines font partie. Léducation leur était réservée et lanalphabétisme touchait 95% de la population. La justice était lapanage des seigneurs et pliée au service des conseillers du dalaï‐lama et des aristocrates, lindiscipline était souvent sanctionnée par la torture. Pour échapper aux sanctions, les serfs étaient obligés deffectuer des corvées et de payer une redevance aux seigneurs, ce qui les contraignait souvent à sendetter auprès des mêmes seigneurs, des moines et des propriétaires terriens. Lusage de la roue pour les transports était interdit, tout comme celui des brouettes (utilisées dans le reste de la Chine depuis un siècle avant notre ère) ou des charrettes tirées par des bêtes. Ce fonctionnement féodal, en place jusquau début des années 1960, a engendré une stagnation de la population sous un million dhabitants pendant deux siècles. Entre 1927 et 1952 le nombre de familles fuyant pour chercher un salut hors du Tibet atteignait parfois plus de 90% dans certains villages. [/QUOTE]
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