Le dialogue avec Israël est inutile

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Le Porte-parole de la résistance islamique de la Palestine, le Hamas, en est plus que certain : tout dialogue avec Israël est voué à l'échec. "Seuls, les Sionistes, tirent profit de ce genre de contacts et ils les utilisent pour masquer leurs crimes et se donner un semblant de légitimité.", a estimé Sami Abou Zahri.


Zahri a évoqué l'impuissance de l'Autorité autonome à diriger les pourparlers avec les Sionistes, dans le sens des intérêts des Palestiniens.

Il a critiqué le Président de l'Autorité autonome pour avoir lancé des appels à la Communauté internationale, appels destinés à affronter le Hamas.

Pour Zahri, la poursuite de la colonisation, le changement du tissu démographique qui s'en découle et les fouilles incessantes dans l'enceinte de la mosquée d'Al Aqsa sont des signes qui ne trompent pas : Mahmoud Abdas s'est engagé dans des pourparlers qui ne déboucheront sur rien de concret pour les Palestiniens.

"Nous appelons Abou Mazen à nous revenir et à s'unir à nous, car c'est là le seul moyen de mettre au pas l'ennemi.", a-t-il ajouté.

Source : IRIB
 
Il a bien raison. Depuis, le temps où on entend parler de rencontres, de sommets, de conférences, de feuille de (dé)route, de "retour à la table de négociations"... Mais pendant que ces gens sont attablés, les forces du démon sioniste tsahal poursuit les tueries, les humiliations, les destructions des Palestiniens.
 
Le Porte-parole de la résistance islamique de la Palestine, le Hamas, en est plus que certain : tout dialogue avec Israël est voué à l'échec. "Seuls, les Sionistes, tirent profit de ce genre de contacts et ils les utilisent pour masquer leurs crimes et se donner un semblant de légitimité.", a estimé Sami Abou Zahri.


Zahri a évoqué l'impuissance de l'Autorité autonome à diriger les pourparlers avec les Sionistes, dans le sens des intérêts des Palestiniens.

Il a critiqué le Président de l'Autorité autonome pour avoir lancé des appels à la Communauté internationale, appels destinés à affronter le Hamas.

Pour Zahri, la poursuite de la colonisation, le changement du tissu démographique qui s'en découle et les fouilles incessantes dans l'enceinte de la mosquée d'Al Aqsa sont des signes qui ne trompent pas : Mahmoud Abdas s'est engagé dans des pourparlers qui ne déboucheront sur rien de concret pour les Palestiniens.

"Nous appelons Abou Mazen à nous revenir et à s'unir à nous, car c'est là le seul moyen de mettre au pas l'ennemi.", a-t-il ajouté.

Source : IRIB
marrant ce n'est pas les bandits du hamas qui jettaient les gars du fatah du haut des immeubles , c'est assez simple 60 % du petrole vient des raffineries israelienne ainsi l'electricite ajoutant à cela les palestiniens qui travaillent en israel et la monnaie le chekel utilisé à gaza , alors on se demande certes israel en position de force ne cede pas mais depuis que le hamas est venu au pouvoir (46 % des sieges ce qui veut pas dire que tous les paletiniens les aiment en plus de cela la repartition des sieges et les dispertions des voix ont joue à leurs faveurs ) personne ne s'interesse au palestiniens , aller voir les jornaux arabes
 
marrant ce n'est pas les bandits du hamas qui jettaient les gars du fatah du haut des immeubles , c'est assez simple 60 % du petrole vient des raffineries israelienne ainsi l'electricite ajoutant à cela les palestiniens qui travaillent en israel et la monnaie le chekel utilisé à gaza , alors on se demande certes israel en position de force ne cede pas mais depuis que le hamas est venu au pouvoir (46 % des sieges ce qui veut pas dire que tous les paletiniens les aiment en plus de cela la repartition des sieges et les dispertions des voix ont joue à leurs faveurs ) personne ne s'interesse au palestiniens , aller voir les jornaux arabes

Si moi je m interesse a mes freres de Palestine et nous somme tres nombreux a le faire.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
marrant ce n'est pas les bandits du hamas qui jettaient les gars du fatah du haut des immeubles , c'est assez simple 60 % du petrole vient des raffineries israelienne ainsi l'electricite ajoutant à cela les palestiniens qui travaillent en israel et la monnaie le chekel utilisé à gaza , alors on se demande certes israel en position de force ne cede pas mais depuis que le hamas est venu au pouvoir (46 % des sieges ce qui veut pas dire que tous les paletiniens les aiment en plus de cela la repartition des sieges et les dispertions des voix ont joue à leurs faveurs ) personne ne s'interesse au palestiniens , aller voir les jornaux arabes
encore faut il que c journaux soit arabes de part leur financement et la pression qu on exerce sur eux ;)
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Avant la pose des fondations

par Shaul Arieli
Ha’aretz, le 14 décembre 2009

<http://www.haaretz.com/hasen/spages/1134918.html>

(trad. Tal pour La Paix Maintenant)


La logique de la feuille de route et de &#8220;l'économie pacifique&#8220; de Benjamin Netanayu répond à l'exigence israélienne qu'un État palestinien soit construit avant la discussion et la mise en place d'un statut définitif ou, du moins, pendant les négociations. Une Autorité palestinienne stable, gouvernant bien et faisant respecter la loi et l'ordre, apaiserait les craintes nourries par les Israéliens d'une nouvelle flambée de violence faisant d'eux la cible des armes de la police palestinienne et assurerait leur appui aux "concessions douloureuses".

Mais un processus si bienvenu &#8211; que le Quartet soutient et dans lequel les États-Unis s'engagent par la voix du général Keith Dayton &#8211; a fort peu de chances d'arriver où que ce soit du fait de la réalité créée sur le terrain par Israël : l'expansion de l'entreprise de colonisation, la croissance des avant-postes illégaux et l'impuissance des forces de sécurité, l'opposition des dirigeants des colonies à la levée des barrages, et l'interdiction faite aux Palestiniens d&#8217;emprunter les routes principales passant à proximité d'implantations juives.

Le défi lancé aux Palestiniens par le chef d'état-major de Tsahal, Gabi Ashkenazi, leur disant, "Plus vous en ferez, moins nous en ferons", a été relevé avec enthousiasme. Au cours de l'année écoulée, un certain nombre de bataillons entraînés par les Américains en Jordanie ont pris le contrôle du district de Jénine, où l'on ne compte pas d'implantations israéliennes, de même qu'à Naplouse, Bethléem et dans les environs de Hébron, le tout à la satisfaction des forces israéliennes de Défense.

La suppression de barrages dans ces zones, jointe à la montée de l'activité économique des Arabes israéliens en Cisjordanie et au plan d'encouragement aux PME du Premier ministre palestinien Salam Fayed avec le concours de l'aide internationale, ont prévenu un effondrement complet de l'économie palestinienne. Pour la première fois depuis 2001, ses résultats ont même connu une légère amélioration.

Mais il est apparu ces derniers jours que plusieurs centaines de policiers palestiniens récemment arrivés au terme de leur entraînement avaient été déployés à Jéricho et non, comme prévu, à Ramallah. Ce district, dont les secteurs juifs relèvent du Conseil de la région de Benjamin, comporte de nombreux avant-postes illégaux et plus de 90 barrages sur des routes menant des villages arabes aux portes de Ramallah, et les Palestiniens y ont l'interdiction d'emprunter la route 443, qui relie les terres agraires de l'intérieur au centre urbain de Ramallah. Deux grands axes y sont en outre réservés à l'usage exclusif des Israéliens. Tout cela rend la circulation des biens impossible, de même que la coordination conditionnant la libre circulation de la police palestinienne dans les zones palestiniennes.

Tant "l'économie pacifique" que le plan de Salam Fayed pour l'établissement d'un État palestinien supposent l'adoption par le gouvernement israélien de mesures immédiates : évacuer des avant-postes illégaux, comme promis aux Américains ; lever la plupart des barrages ; et faire de la vallée du Jourdain et du désert de Judée un espace où la vie sera de nouveau possible aux Palestiniens. Il faut, qui plus est, ouvrir des routes à la circulation des Palestiniens et des corridors à l'usage régulier de la police palestinienne.

Ces mesures, jointes à l'octroi aux entreprises palestiniennes de permis d'opérer en zone C et du libre accès au marché extérieur, Israël inclus, pourraient favoriser l'émergence côté palestinien de l'économie et du gouvernement souhaités. Elles feraient également obstruction aux critiques du Fatah et du Hamas contre la coopération de Fayed avec Dayton ; il est des membres du Fatah pour redouter une montée en prestige de Salam Fayed, et le Hamas se plaint de ce qu'il appelle "l'armée palestinienne de Dayton".

En l'absence de telles mesures, et au vu de l'impasse diplomatique, la construction de l'État palestinien sera stoppée avant même la pose de ses fondations. Israël ne peut tirer tous les bénéfices à la fois. Les forces de sécurité palestiniennes préféreraient faire front avec leurs opposants plutôt que prendre part à un processus sans espoir d'aboutir à un État palestinien. Les investissements étrangers, sensibles à l'instabilité politique, iraient s&#8217;amoindrissant. À défaut, c'en serait fait de la croissance économique rapide et de l'idée d'une paix économique dès lors morte et enterrée.
 
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