Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Loisirs et Entraides
Etudiant
Le double diplôme en école de commerce, un facteur d’attractivité ?
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="mam80, post: 16180694, member: 228134"] suite [B]Anticiper les demandes des employeurs[/B] Le double diplôme n’est toutefois pas destiné aux seuls étudiants : il répond également à la demande des employeurs. "Notre offre de formation doit refléter les besoins du marché du travail. [B]Aujourd’hui, des profils de "slasheurs" sont très demandés pour des nouveaux emplois émergents tels que des ingénieurs-managers[/B]", souligne Dan Evans, directeur des programmes à Audencia. "Aujourd’hui, les entreprises s'attendent à ce que [B]les étudiants soient opérationnels dès leur premier jour[/B]. Le double diplôme, en leur apportant des compétences et des connaissances précises dans le secteur qu'ils visent, les y aidera", ajoute Jean-François Fiorina. De nouvelles exigences pour un marché du travail en pleine évolution. Désormais, [B]les entreprises recherchent des individus à la fois spécialistes et généralistes[/B], afin de répondre aux défis de l’évolution rapide des métiers. Les compétences exigées sont amenées à se renouveler régulièrement : ce que l'on apprend actuellement en termes de comptabilité devrait, selon toute vraisemblance, évoluer d'ici à cinq ans. [B] Approfondir les "soft skills"[/B] Les accords conclus avec des partenaires internationaux répondraient peut-être davantage à cette logique d’adaptation. [B]Contrairement aux cursus français, ils n’ont pas pour objectif de spécialiser leurs élèves dans un domaine particulier[/B]. Les étudiants en double diplôme dans une université ou école étrangère y suivent des matières proches de celles enseignées dans leur établissement d'origine : management, finance, marketing… "Les élèves peuvent avoir [B]intérêt à obtenir un double diplôme à l’international pour développer leurs capacités d'intégration et d'ouverture sur une nouvelle culture[/B]. Cela leur permet de développer leurs 'soft skills', recherchées par les entreprises", relève Dan Evans. Une opinion partagée par Sonia Campillo, en charge des relations internationales à l'EM Lyon : "Les étudiants sont sensibilisés au mode de vie et à la culture d’un pays. [B]Cela peut être une véritable valeur ajoutée dans une logique d’expatriation[/B]. Suivre un double diplôme dans une école ou une université étrangère permet d’accroître son employabilité dans ce pays." [B]Privilégier la qualité[/B] Pour autant, la multiplication des doubles diplômes a-t-elle encore un sens ? "Il y a encore trois ou quatre ans, [B]il existait dans les business schools une espèce de mode, voire même de surenchère autour du double diplôme"[/B], constate Nicolas Arnaud, directeur du programme grande école à Audencia, tout en reconnaissant que les écoles sont revenues depuis à des bases plus rationnelles. De fait, la demande de doubles cursus des étudiants est souvent surestimée. Si, à Audencia, 35 % des effectifs du programme grande école obtiennent un double diplôme, français ou international, [B]leur part est généralement beaucoup plus faible dans les autres business schools[/B]. "Les doubles diplômes attirent beaucoup d’élèves dans nos écoles, mais ils sont très peu nombreux à suivre ensuite un tel cursus", assure Thomas Allanic, directeur du programme grande école de l’ESCP Europe, qui rejoindra bientôt l’Inseec Business School. Les écoles de management privilégient désormais la singularité de leur cursus. [B]Certaines structures n'hésitent pas à limiter le nombre d'inscrits :[/B]"Nous limitons le nombre d’inscrits – entre trois et quinze – dans chaque formation. Cela crée de la rareté et permet ainsi aux diplômés de valoriser leur parcours auprès des employeurs", justifie Jean-François Fiorina. Thomas Allanic, quant à lui, regrette que les doubles diplômes fassent de l'ombre aux autres formes d'apprentissage, et notamment aux certifications. "Il me paraît beaucoup plus censé de proposer des certifications aux étudiants, [B]qui cherchent davantage l’expérience que le titre[/B]. Pour eux, ce qui compte, c'est d'avoir du contenu qui corresponde à leurs attentes." Double diplôme ou certification ? Le débat reste ouvert. Eva Mignot | Publié le 22.03.2019 à 08H00 mam [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Loisirs et Entraides
Etudiant
Le double diplôme en école de commerce, un facteur d’attractivité ?
Haut