Le Fonds Monétaire International (FMI ), a reconfirmé le 31 juillet la LPL (ligne de précaution et de liquidité) pour le Maroc, lors de la 2e révision de ce programme, suite à un conseil d'administration réuni à Washington.
Cette décision vient couronner les réformes engagées par le Maroc en matière de politique économique.
Approuvé il y a 1 an (le 3 août 2012), ce programme est financé à hauteur de 4,12 milliards de Droits de Tirages spéciaux (DTS), soit 6,2 milliards de dollars sur une durée de 2ans.
La ligne de précaution et de liquidité (LPL) est un instrument financier, dont le but est d'apporter une couverture financière, servant à parer aux chocs exogènes, qui provoqueraient des déséquilibres de balances des paiements, dans les pays menant des politiques économiques saines.
A rappeler que pour bénéficier de cette LPL, le Maroc s'était engagé auprès du FMI, par lettre officielle, cosignée par le ministre de l'économie et des finances et par le Wali de BAM, à observer des paramètres économiques fondamentaux sains et des équilibres macroéconomiques stricts.
Au-delà de ces aspects, cet accord facilite au Maroc, l’accès au marché financier international en des conditions favorables, attire les investisseurs et fait bonne impression auprès des agences de notations internationales.
le Mag ma
Cette décision vient couronner les réformes engagées par le Maroc en matière de politique économique.
Approuvé il y a 1 an (le 3 août 2012), ce programme est financé à hauteur de 4,12 milliards de Droits de Tirages spéciaux (DTS), soit 6,2 milliards de dollars sur une durée de 2ans.
La ligne de précaution et de liquidité (LPL) est un instrument financier, dont le but est d'apporter une couverture financière, servant à parer aux chocs exogènes, qui provoqueraient des déséquilibres de balances des paiements, dans les pays menant des politiques économiques saines.
A rappeler que pour bénéficier de cette LPL, le Maroc s'était engagé auprès du FMI, par lettre officielle, cosignée par le ministre de l'économie et des finances et par le Wali de BAM, à observer des paramètres économiques fondamentaux sains et des équilibres macroéconomiques stricts.
Au-delà de ces aspects, cet accord facilite au Maroc, l’accès au marché financier international en des conditions favorables, attire les investisseurs et fait bonne impression auprès des agences de notations internationales.
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