Le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, a fait un diagnostic sans concession du secteur*:
«La fonction publique, au Maroc, est confrontée à un problème dordre philosophique*:
dans lesprit des Marocains, travailler dans la fonction publique est un droit que nul ne pourrait leur contester.
Cest une idée bien ancrée avec ses corollaires*: travail garanti à vie*; augmentation du salaire automatique...».
Cette allusion aux diplômés chômeurs qui nont dyeux que pour la fonction publique faite, le chef du gouvernement sest adressé aux participants à ce colloque en les exhortant à «libérer» leurs esprits afin de réussir la réforme du statut général de la fonction publique.
Selon lui, cette dernière «ne produit rien, mais encadre ceux qui produisent et qui pourtant coûte à lÉtat 100 milliards de DH, soit 13% du budget»
le Matin
«La fonction publique, au Maroc, est confrontée à un problème dordre philosophique*:
dans lesprit des Marocains, travailler dans la fonction publique est un droit que nul ne pourrait leur contester.
Cest une idée bien ancrée avec ses corollaires*: travail garanti à vie*; augmentation du salaire automatique...».
Cette allusion aux diplômés chômeurs qui nont dyeux que pour la fonction publique faite, le chef du gouvernement sest adressé aux participants à ce colloque en les exhortant à «libérer» leurs esprits afin de réussir la réforme du statut général de la fonction publique.
Selon lui, cette dernière «ne produit rien, mais encadre ceux qui produisent et qui pourtant coûte à lÉtat 100 milliards de DH, soit 13% du budget»
le Matin