Le marchand de briquets devenu ingénieur

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Nouvelle coqueluche de la presse italienne, Rachid Khadiri Abdelmoula est un Marocain résidant à Turin, qui vient de décrocher un doctorat en ingénierie. Jusque-là rien d’exceptionnel, sauf que ce jeune homme de 26 ans a financé ses études en vendant des briquets et des journaux dans la rue. Originaire de Khouribga, Rachid a rejoint ses deux frères immigrés en Italie à l’âge de 12 ans, en 1998, avec la ferme intention de travailler pour aider ses parents restés au Maroc. Seulement, ces derniers l’encouragent plutôt à poursuivre des études. Après le bac, il est accepté à l’Université polytechnique de Turin, un établissement extrêmement convoité. Alors qu’il parvient à obtenir deux bourses d’études, celles-ci lui sont retirées très rapidement. La faute à la crise économique qui ravage le pays. Tant pis, Rachid passe encore plus de temps dans la rue pour réunir l’argent de ses études. Aux journalistes, il raconte comment il pouvait “passer des heures à attendre sous un portique pour gagner à peine 10 euros”. Un exemple de témérité qui a même séduit la Ligue du Nord, un parti populiste et anti-immigration.


TelQuel
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
je souhaite à ce jeune homme plein d'ambition plein de réussite et de belles choses dans sa vie professionnelle, qui aura certainement qu'un bel impact sur le reste afin de le récompenser de ses efforts

Une belle fierté ma foi et un bel exemple à suivre, pendant que d'autres à sa place préfèreraient l'argent facil ou rien faire de leur vie tout court

BRAVO RACHID
 
Nouvelle coqueluche de la presse italienne, Rachid Khadiri Abdelmoula est un Marocain résidant à Turin, qui vient de décrocher un doctorat en ingénierie. Jusque-là rien d’exceptionnel, sauf que ce jeune homme de 26 ans a financé ses études en vendant des briquets et des journaux dans la rue. Originaire de Khouribga, Rachid a rejoint ses deux frères immigrés en Italie à l’âge de 12 ans, en 1998, avec la ferme intention de travailler pour aider ses parents restés au Maroc. Seulement, ces derniers l’encouragent plutôt à poursuivre des études. Après le bac, il est accepté à l’Université polytechnique de Turin, un établissement extrêmement convoité. Alors qu’il parvient à obtenir deux bourses d’études, celles-ci lui sont retirées très rapidement. La faute à la crise économique qui ravage le pays. Tant pis, Rachid passe encore plus de temps dans la rue pour réunir l’argent de ses études. Aux journalistes, il raconte comment il pouvait “passer des heures à attendre sous un portique pour gagner à peine 10 euros”. Un exemple de témérité qui a même séduit la Ligue du Nord, un parti populiste et anti-immigration.


TelQuel
Petite rectification: il est docteur en ingénierie et non pas ingénieur, ça n'a rien à voir!!! :cool:
 
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