Le Maroc lance un deuxième satellite

Le Maroc se préparerait à lancer en orbite un deuxième satellite. Ce lancement, entouré du plus grand secret, serait prévu dans quelques semaines. Le premier satellite marocain, dédié aux télécoms et à la prévision météo qui avait été baptisé Zarkaa Al Yamama, avait été lancé en 2001, au moyen de la fusée russe Zenith-2 sur une orbite circulaire basse à 1000 km d'altitude. Le lancement de Zarkaa Al Yamama avait été effectué depuis le cosmodrome de Baïkonour au (...) - National / Russie, Recherche, NASA

Le Maroc lance un deuxième satellite ...
 
La tiknoulougie marocaine: un satellite solaire, sol-air, baptisée "ayemayema" et pas Zarkaa Al Yamama, le journaliste s'est trompé.
C'est un satellite posé au sol et s'il se mouille il envoie un signal pour signaler qu'il pleut.
Prévision de la météo en instantanée.
 
Le Maroc se préparerait à lancer en orbite un deuxième satellite. Ce lancement, entouré du plus grand secret, serait prévu dans quelques semaines. Le premier satellite marocain, dédié aux télécoms et à la prévision météo qui avait été baptisé Zarkaa Al Yamama, avait été lancé en 2001, au moyen de la fusée russe Zenith-2 sur une orbite circulaire basse à 1000 km d'altitude. Le lancement de Zarkaa Al Yamama avait été effectué depuis le cosmodrome de Baïkonour au (...) - National / Russie, Recherche, NASA

Le Maroc lance un deuxième satellite ...

Correction: Le Maroc fait lancer un deuxième satellite
 
L’Algérie étend son espionnage spatial sur le Maroc
Posté le : 25/10/2004 16:39
Des sources européennes spécialisées dans les questions de l’aviation affirment que l’Algérie discute avec plusieurs agences spatiales d’Europe, des Etats Unis d’Amérique, de Russie et de Chine dans le but de choisir la partie qui prendra en charge la mise sur orbite d’un nouveau satellite de reconnaissance.
L’Algérie veut que ce nouveau satellite soit plus performant que le satellite algérien « Alsat 1 » mis sur orbite le jeudi 28 novembre 2002, officiellement destiné à suivre la situation de l’environnement sur terre, par le contrôle des catastrophes naturelles et des accidents industriels. Toutefois, des sources militaires européennes avaient à l’époque indiqué que le satellite algérien était destiné à la surveillance des activités dans les pays voisins, ainsi que leurs mouvements militaires et leurs installations civiles et militaires.

L’appareil d’information des forces spatiales russes avait révélé le 28 novembre 2002 qu’une fusée russe de type « Cosmos 13 M » a été lancée à partir de la base spatiale militaire de Blisitsk au Nord-Ouest de la Russie pour mettre sur orbite deux satellites, l’un russe et l’autre algérien. Les forces spatiales russes avaient indiqué que le satellite algérien pesait près de 90 kg et mis sur orbite à 700 km de la terre.

Selon les milieux européens spécialisés dans les questions de l’espace, la mission de ce nouveau satellite algérien, dont la fabrication est assurée par des sociétés européennes, est de surveiller des objectifs sur terre dont la dimension est d’un mètre et demi.

Les observateurs relèvent que l’Algérie a depuis 2003 consacré une grande partie des tâches de son satellite pour surveiller les mouvements au Maroc, en Mauritanie et dans une partie du Sénégal.

Jusqu’à présent, le coût de fabrication du nouveau satellite algérien ainsi que les frais de sa mise sur orbite demeurent inconnus. Toutefois, les milieux de l’industrie spatiale européens croient que le poids de ce satellite est de près de 130 kg et qu’il permettra, grâce aux caméras dont il est équipé, la prise de photos d’une haute précision, ce qui devrait permettre un agrandissement d’une qualité supérieure pouvant dépasser 1,5 m de diamètre.

Les observateurs militaires occidentaux relèvent que les efforts algériens de surveillance des pays voisins s’inscrivent dans le cadre d’une course effrénée à l’armement de la part de l’Algérie et qui s’est accentuée depuis les années 90.
 
L’Algérie étend son espionnage spatial sur le Maroc
Posté le : 25/10/2004 16:39
Des sources européennes spécialisées dans les questions de l’aviation affirment que l’Algérie discute avec plusieurs agences spatiales d’Europe, des Etats Unis d’Amérique, de Russie et de Chine dans le but de choisir la partie qui prendra en charge la mise sur orbite d’un nouveau satellite de reconnaissance.
L’Algérie veut que ce nouveau satellite soit plus performant que le satellite algérien « Alsat 1 » mis sur orbite le jeudi 28 novembre 2002, officiellement destiné à suivre la situation de l’environnement sur terre, par le contrôle des catastrophes naturelles et des accidents industriels. Toutefois, des sources militaires européennes avaient à l’époque indiqué que le satellite algérien était destiné à la surveillance des activités dans les pays voisins, ainsi que leurs mouvements militaires et leurs installations civiles et militaires.

L’appareil d’information des forces spatiales russes avait révélé le 28 novembre 2002 qu’une fusée russe de type « Cosmos 13 M » a été lancée à partir de la base spatiale militaire de Blisitsk au Nord-Ouest de la Russie pour mettre sur orbite deux satellites, l’un russe et l’autre algérien. Les forces spatiales russes avaient indiqué que le satellite algérien pesait près de 90 kg et mis sur orbite à 700 km de la terre.

Selon les milieux européens spécialisés dans les questions de l’espace, la mission de ce nouveau satellite algérien, dont la fabrication est assurée par des sociétés européennes, est de surveiller des objectifs sur terre dont la dimension est d’un mètre et demi.

Les observateurs relèvent que l’Algérie a depuis 2003 consacré une grande partie des tâches de son satellite pour surveiller les mouvements au Maroc, en Mauritanie et dans une partie du Sénégal.

Jusqu’à présent, le coût de fabrication du nouveau satellite algérien ainsi que les frais de sa mise sur orbite demeurent inconnus. Toutefois, les milieux de l’industrie spatiale européens croient que le poids de ce satellite est de près de 130 kg et qu’il permettra, grâce aux caméras dont il est équipé, la prise de photos d’une haute précision, ce qui devrait permettre un agrandissement d’une qualité supérieure pouvant dépasser 1,5 m de diamètre.

Les observateurs militaires occidentaux relèvent que les efforts algériens de surveillance des pays voisins s’inscrivent dans le cadre d’une course effrénée à l’armement de la part de l’Algérie et qui s’est accentuée depuis les années 90.

C'est le Maroc dont on est entrain de parler là...t'es hors sujet
 
Le Maroc se préparerait à lancer en orbite un deuxième satellite. Ce lancement, entouré du plus grand secret, serait prévu dans quelques semaines. Le premier satellite marocain, dédié aux télécoms et à la prévision météo qui avait été baptisé Zarkaa Al Yamama, avait été lancé en 2001, au moyen de la fusée russe Zenith-2 sur une orbite circulaire basse à 1000 km d'altitude. Le lancement de Zarkaa Al Yamama avait été effectué depuis le cosmodrome de Baïkonour au (...) - National / Russie, Recherche, NASA

Le Maroc lance un deuxième satellite ...

il faut corriger cette connerie, le Maroc ne lance rien.

c'est comme si on disait que c'est vous qui livrait vous même votre courrier.
 
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