La Directrice exécutive de l’Observatoire national des droits de l’enfant (ONDE), Lamia Bazir, a annoncé, lundi à Rabat, le lancement d’un dispositif national d’observation, de veille et de suivi-évaluation de l’enfance au Maroc, et ce en prenant comme base de référence la nouvelle plateforme mondiale d’indicateurs pour le suivi des droits de l’enfant, développée par « The Global Child Right Dialogue ».
S’exprimant à l’ouverture des travaux du Séminaire international, organisé sous la présidence de la Princesse Lalla Meryem, et consacré à la présentation de la nouvelle plateforme dédiée au suivi des droits de l’enfant, Mme Bazir a expliqué que le dispositif national, lancé avec l’appui de la Coopération allemande (GIZ) et le département du Chef du gouvernement, « assurera l’interopérabilité entre les systèmes d’informations et s’alimentera de tous les producteurs de données ».
Elle a ajouté, dans ce sens, que ledit dispositif permettra également de « centraliser toutes les données nationales sur l’enfance, d’assurer la veille continue pour faire remonter les tendances et les urgences et d’orienter la prise de décisions, tout en évaluant les politiques et programmes ciblant l’enfance au Maroc.
Pour sa part, le ministre d’Etat chargé des droits de l’Homme, Mustapha Ramid, s’est félicité de cette initiative « scientifique » présentée par l’ONDE, mettant l’accent sur le développement qu’a connu le Royaume dans le domaine de la protection des droits de l’enfant, notamment à travers la signature et la mise en oeuvre de nombre de conventions internationales en la matière.
Rappelant les dispositions phares de la Constitution visant à améliorer le cadre légal et institutionnel de la protection des enfants, M. Ramid a passé en revue plusieurs réalisations du gouvernement marocain dans ce cadre, notamment la Politique publique intégrée de protection de l’enfance qui vise à protéger les enfants de toutes les formes de violence et d’exploitation, tout en protégeant les enfants laissés pour compte.
La ministre de la Famille, de la solidarité, de l’égalité et du développement social, Bassima Hakkaoui, a, de son côté, également salué l’importance de présenter cette nouvelle plateforme dédiée à introduire des indicateurs mondiaux globaux et visant à suivre la mise en oeuvre de la Convention internationale des droits de l’enfant.
Pour Mme Hakkaoui, cette plateforme intervient dans un contexte national marqué par la présentation en 2019 du bilan à mi-parcours de la Politique publique intégrée de protection de l’enfance au Maroc, notant que cette politique constitue actuellement un cadre stratégique ainsi qu’une référence pour un ensemble de politiques et de projets sociaux visant à interdire, de manière adéquate, efficience et durable, toute forme de violence envers les enfants et leur exploitation, outre la protection des enfants laissés pour compte.
Quant au ministre de la Santé, Anas Doukkali, il a évoqué l’élaboration par le ministère, avec l’appui des partenaires, de la Politique intégrée de la santé de l’enfant à l’horizon 2030, notant que cette politique s’inscrit dans le cadre d’une vision ayant pour but d’investir dans le capital santé de l’enfant, sur la base des dispositions de la Constitution dans le domaine.
S’exprimant à l’ouverture des travaux du Séminaire international, organisé sous la présidence de la Princesse Lalla Meryem, et consacré à la présentation de la nouvelle plateforme dédiée au suivi des droits de l’enfant, Mme Bazir a expliqué que le dispositif national, lancé avec l’appui de la Coopération allemande (GIZ) et le département du Chef du gouvernement, « assurera l’interopérabilité entre les systèmes d’informations et s’alimentera de tous les producteurs de données ».
Elle a ajouté, dans ce sens, que ledit dispositif permettra également de « centraliser toutes les données nationales sur l’enfance, d’assurer la veille continue pour faire remonter les tendances et les urgences et d’orienter la prise de décisions, tout en évaluant les politiques et programmes ciblant l’enfance au Maroc.
Pour sa part, le ministre d’Etat chargé des droits de l’Homme, Mustapha Ramid, s’est félicité de cette initiative « scientifique » présentée par l’ONDE, mettant l’accent sur le développement qu’a connu le Royaume dans le domaine de la protection des droits de l’enfant, notamment à travers la signature et la mise en oeuvre de nombre de conventions internationales en la matière.
Rappelant les dispositions phares de la Constitution visant à améliorer le cadre légal et institutionnel de la protection des enfants, M. Ramid a passé en revue plusieurs réalisations du gouvernement marocain dans ce cadre, notamment la Politique publique intégrée de protection de l’enfance qui vise à protéger les enfants de toutes les formes de violence et d’exploitation, tout en protégeant les enfants laissés pour compte.
La ministre de la Famille, de la solidarité, de l’égalité et du développement social, Bassima Hakkaoui, a, de son côté, également salué l’importance de présenter cette nouvelle plateforme dédiée à introduire des indicateurs mondiaux globaux et visant à suivre la mise en oeuvre de la Convention internationale des droits de l’enfant.
Pour Mme Hakkaoui, cette plateforme intervient dans un contexte national marqué par la présentation en 2019 du bilan à mi-parcours de la Politique publique intégrée de protection de l’enfance au Maroc, notant que cette politique constitue actuellement un cadre stratégique ainsi qu’une référence pour un ensemble de politiques et de projets sociaux visant à interdire, de manière adéquate, efficience et durable, toute forme de violence envers les enfants et leur exploitation, outre la protection des enfants laissés pour compte.
Quant au ministre de la Santé, Anas Doukkali, il a évoqué l’élaboration par le ministère, avec l’appui des partenaires, de la Politique intégrée de la santé de l’enfant à l’horizon 2030, notant que cette politique s’inscrit dans le cadre d’une vision ayant pour but d’investir dans le capital santé de l’enfant, sur la base des dispositions de la Constitution dans le domaine.