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Le mensonge du réchauffement climatique
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[QUOTE="Personne2, post: 16384846, member: 375825"] [B]Températures : la hausse actuelle prévue, les projections s’emballent[/B] [URL unfurl="true"]https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/10/23/rechauffement-climatique-comment-la-realite-a-pris-la-science-de-vitesse_6016624_4355770.html[/URL] [B]L’évolution observée des températures à la surface de la Terre a été prédite avec justesse par les modèles climatiques cités dans les rapports du GIEC[/B]. Comme l’ont noté le média spécialisé Carbon Brief ou le climatologue britannique Ed Hawkins, qui compare régulièrement les projections du cinquième rapport du Giec aux observations. [B]De rapport en rapport, les projections de l’évolution des températures d’ici à la fin du XXIe siècle se sont faites plus inquiétantes au fur et à mesure que l’impact des gaz à effet de serre sur le système climatique de la Terre était mieux compris.[/B] D’abord parce que la croissance des émissions de gaz à effet de serre (dioxyde de carbone, mais aussi méthane) n’a pas été parfaitement anticipée, mais aussi parce que les modèles climatiques ont sans cesse progressé en intégrant de plus en plus finement les très nombreux facteurs qui interagissent et en modélisant plus fidèlement les mécanismes qui lient les grandes entités physiques (terres, air, océans, calottes polaires, etc.). A cela s’ajoute l’incertitude entourant certaines variables primordiales, comme la « sensibilité climatique », c’est-à-dire le degré de réchauffement moyen de la planète si l’on doublait la concentration de CO2 dans son atmosphère par rapport au niveau préindustriel, que l’on estime être compris entre 2 °C et 4,5 °C. Une incertitude qui change assez nettement la teneur des projections selon la valeur adoptée. [spoiler] [B]Températures : les prévisions pour 2100 de plus en plus pessimistes[/B] Comparaison des projections de température en 2100 présentes dans les rapports du GIEC jusqu'aux dernières simulations françaises de septembre 2019. AR1 (1990)AR2 (1996)AR3 (2001)AR4 (2007)AR5 (2014)Projections (2019)2 °C4 °C6 °C Note : Seuls les scénarios hauts, dits « business as usual » (aucune mesure de lutte contre le réchauffement, priorité au développement économique) ont été sélectionnés. Données harmonisées sur la période 1850-1880. Sources : Nasa/GISS - Hadley/CRU - NOAA - Berkeley - GIEC Résultat, alors que les scénarios les plus pessimistes des rapports du GIEC prédisaient jusqu’alors un réchauffement compris entre + 3 °C et + 5 °C (par rapport aux températures préindustrielles), les scénarios les plus récents indiquent un réchauffement potentiel de presque 7 °C, selon les simulations récentes de deux modèles français, qui serviront de référence au sixième rapport du GIEC prévu pour 2020/2021. Banquise de l’Arctique : une fonte plus rapide que prévu Verra-t-on dans les décennies qui viennent un océan Arctique sans glace ? Très probablement, au moins en été. Mais la question se posait-elle seulement il y a quelques décennies ? Pas vraiment. Avant les années 1970 et les premières mesures satellites, l’hypothèse d’une fonte de la grande banquise recouvrant l’océan Arctique ne s’est quasiment pas posée, puisqu’il était alors très difficile de mesurer l’étendue de la glace de mer. Les premières années de mesure n’ont pas changé cet état de fait, le premier rapport du GIEC de 1990 indiquant que l’analyse des données en 1989 ne montre « aucune tendance à long terme d’évolution de la superficie de la banquise entre 1953 et 1984 ». Le second, en 1996, ne s’est pas montré plus inquiétant, puisqu’on peut y lire que la banquise arctique « n’a montré aucune tendance significative de son étendue depuis que les mesures par satellite ont commencé en 1973 ». La tendance était pourtant bel et bien présente, et il faudra attendre le quatrième rapport, en 2007, pour voir apparaître les premières projections d’une disparition totale de la banquise de fin d’été dans les pires scénarios d’ici à 2100 dans quelques modèles. Mais quasiment tous ceux utilisés dans le rapport ont grandement sous-estimé cette fonte, selon une étude comparée publiée la même année. La comparaison des modèles du 4ème rapport avec les observations, publiée dans « The Copenhagen diagnosis » en 2009 est elle aussi éloquente. Deux facteurs peuvent principalement expliquer pourquoi les climatologues ont régulièrement sous-estimé le rythme de disparition de la banquise arctique. Le premier est la variabilité naturelle du climat de l’océan Arctique, qui est assez forte et qui rend toute projection hasardeuse sur quelques décennies. Le deuxième tient à la difficulté des modèles à simuler correctement la formation et la tenue de la glace de mer, qui dépend en effet beaucoup des échanges de chaleur, imparfaitement compris, entre l’océan, l’air et les terres. En 2013, le GIEC a indiqué à ce sujet que seul un quart des modèles utilisés prédisaient correctement le rythme de fonte de la banquise arctique en été. [/spoiler] [/QUOTE]
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