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Les réactions internationales se multiplient.
En Belgique, le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot appelle à une “marche arrière” et a convoqué l’ambassadrice d’Israël.
De la Turquie à la Chine, de nombreux pays dénoncent le plan de Benjamin Netanyahu, tandis qu’en Israël, l’opposition accuse le Premier ministre d’entraîner le pays dans une impasse.
Maxime Prévot appelle à une “marche arrière”
Le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot (Engagés) a convoqué l’ambassadrice d’Israël en Belgique, Idit Rosenzweig-Abu.
Le ministre indique vouloir “témoigner de notre totale désapprobation quant à cette décision”.
“Il s’agira de plaider vigoureusement pour une marche arrière de ces velléités qui seraient de nature à compromettre définitivement toute perspective de cessez-le-feu et de solution pacifique et durable à deux États pour lesquelles la Belgique insiste depuis des mois”, poursuit le ministre.
“S’il est légitime de vouloir anéantir le groupe terroriste du Hamas, cela ne saurait se faire au travers d’opérations disproportionnées qui allongeront encore plus la déjà très et trop longue liste de victimes civiles palestiniennes.”
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Les réactions internationales se multiplient.
En Belgique, le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot appelle à une “marche arrière” et a convoqué l’ambassadrice d’Israël.
De la Turquie à la Chine, de nombreux pays dénoncent le plan de Benjamin Netanyahu, tandis qu’en Israël, l’opposition accuse le Premier ministre d’entraîner le pays dans une impasse.
Maxime Prévot appelle à une “marche arrière”
Le ministre des Affaires étrangères Maxime Prévot (Engagés) a convoqué l’ambassadrice d’Israël en Belgique, Idit Rosenzweig-Abu.
Le ministre indique vouloir “témoigner de notre totale désapprobation quant à cette décision”.
“Il s’agira de plaider vigoureusement pour une marche arrière de ces velléités qui seraient de nature à compromettre définitivement toute perspective de cessez-le-feu et de solution pacifique et durable à deux États pour lesquelles la Belgique insiste depuis des mois”, poursuit le ministre.
“S’il est légitime de vouloir anéantir le groupe terroriste du Hamas, cela ne saurait se faire au travers d’opérations disproportionnées qui allongeront encore plus la déjà très et trop longue liste de victimes civiles palestiniennes.”
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