Le monotheisme romain primordial la croyance en Dieu le pere le dieu des dieux Jovis - Jupiter et Mars - Marspiter , Janus Januspater

Les Romains etaient des monotheistes sans le savoir, ils croient en Dieu le pere, le dieu des dieux comme les juifs a la fois Jupiter, Janus et Mars le dieu des commencements et des fins comme l' alpha et l' omega juif et chretien ( Janus est le dieu des commencements et des fins)

Janus est le dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes1. Il est bifrons (« à deux visages ») et représenté (voir illustration) avec une face tournée vers le passé, l'autre sur l'avenir. Il est fêté le 1er janvier. Son mois, Januarius (« janvier »), marque le commencement de la fin de l'année dans le calendrier romain2.

Son temple est situé sur le forum de Rome. Il est rituellement ouvert en temps de guerre et fermé en temps de paix. L'une des collines de Rome, le Janicule, lui est consacrée. C'est un dieu de premier rang dans la hiérarchie religieuse romaine, le seul avec Jovis - Jupiter et Mars - Marspiter à être qualifié de « Dieu le père », Januspater.
Nigidius Figulus, se rapporte aussi à la notion de passage, d'ouverture, et fait de Janus un être duel, équivalent à la fois de la Diane et de l'Apollon romains :


« Il en est qui disent que Janus est le même à la fois qu'Apollon et Diane, et que ces deux divinités sont voilées sous son seul nom. En effet, comme le rapporte Nigidius, les Grecs honorent Apollon sous le nom de Θυραῖος (Thyréen), dont ils dressent les autels devant leurs portes, pour montrer qu'il préside aux entrées et aux issues. […] Chez nous le nom de Janus indique qu'il est aussi le dieu des portes, puisque son nom latin est l'équivalent du mot grec θυραῖος [note : « portier, de la porte », en grec]. Nigidius a dit expressément qu'Apollon est Janus et Diane, Jana. »
Le dieu est Pater (« père ») dans Januspater. Cette épithète cultuelle — réservée comme il est dit plus haut aux seuls Jupiter et Mars — marque son rôle primordial dans le panthéon romain. Dans le très ancien Chant des Saliens, Janus est célébré comme le deus deorum8 (« dieu des dieux »).

Janus est également Patulcius (« celui qui ouvre ») et Clusius (« celui qui clôt »)2, « parce que les portes de son temple sont ouvertes pendant la guerre et fermées pendant la paix8. »

Janus est Bifrons (« à deux fronts, à deux faces ») chez Ovide, et Geminus8 (« double, jumeau ») chez Macrobe, qui le qualifie aussi de Quirinus (« romain »).

Janus bifrons, sur une monnaie romaine, Ier siècle av. J.-C.
Janus est Consivius (« semeur »), ce qui marque le lien avec son rôle d'initiateur, de créateur6. Dans le Chant des Saliens, ce très ancien dieu est le seul mentionné, avec Cérès, déesse de la croissance.

Janus est encore Junoniusjunonien »).
 

Prière du Nouvel An​

Ovide nous rapporte ce qui est peut-être la prière rituelle au dieu, le jour du Nouvel An :

« Dieu à double visage,
c'est de toi que part l'année pour s'écouler sans bruit;
toi qui, sans tourner la tête, vois ce que nul autre dieu ne peut voir,
montre-toi propice aux chefs dont l'active sollicitude donne le repos à l'Océan et la sécurité à la terre, qui nous prodigue ses trésors;
montre-toi propice à tes sénateurs, au peuple romain,
et, d'un signe, serre les portes de ton candide sanctuaire2. »
Cette dernière phrase étant à comprendre comme une métaphore poétique : « …et apporte nous la paix. »

Ce jour-là, nommé Januales, un prêtre dépose sur son autel un gâteau de froment mêlé de sel2. Le 1er janvier est le jour des étrennes sous forme de dattes et de figues sèches, de miel que les Romains s'offrent alors, accompagnés des vœux de bonne année entre les hommes et de prières adressées aux dieux, plus « efficaces » en ce jour qu'en tout autre : « Un présage, dit-il, est attaché au commencement de toute chose ; toute première parole est écoutée avec une attention craintive ; c'est l'oiseau aperçu le premier qui fait loi pour l'augure. Les temples viennent de s'ouvrir ; les dieux prêtent l'oreille ; aucune des prières que prononce la bouche des mortels n'est perdue, chaque syllabe en retentit aux cieux2. »

Invocation aux calendes​

Janus est invoqué « non seulement au commencement de janvier, mais encore au premier jour de tous les mois, les calendes, dédiées à Junon. Varron, dans le cinquième livre Des choses divines, dit qu'il y a douze autels dédiés à Janus, pour chacun des douze mois8. »

Prière de l'aube​

Horace le prie en tant que pendant masculin de Mater Matuta : « Ô père du matin, Janus (peut-être ce nom-là te plaît davantage), toi que chaque homme, à son réveil, invoque, avant la tâche quotidienne16. » Georges Dumézil pense que cette habitude en fait une divinité solaire17. « En se levant, il ouvre le jour, en se couchant, il le clôt8. »

Autres dévotions​

Le 9 janvier, lors des Agonalia, le rex sacrorum sacrifie un bélier sur l'autel du dieu2, choix logique car le bélier qui marche en tête du troupeau est la victime naturelle du dieu qui occupe la première place18.

Le 30 mars, c'est-à-dire à la fin du mois dédié au dieu de la guerre, « il faudra rendre hommage à Janus, et en même temps à la douce Concorde, au salut de l'empire, au génie de la paix2. »
 
Les Romains croient au deus dorum le dieu des dieux Jupiter, Mars, Janus tous etant le dieu des dieux Deus Pater le fameux Louis dont Louis 14 a pris le nom Louis etant Jupiter reminiscence des lointaines origines iraniennes des Romains via Dyaus Pater le dieu des Aryens qui est Brahma en tant que le ciel et Ahura Mazda le dieu du zoroastrisme or ce dieu est un dieu islamique, il est Allah ( Verset 17 sourate 22 )

les juifs et Saint Paul ne disent ils pas que Dieu est le dieu des dieux :
Le Dieu des dieux, le Seigneur, parle et convoque la terre * du soleil levant jusqu'au soleil couchant. 03 Qu'il vienne, notre Dieu, qu'il rompe son silence ! Devant lui, un feu qui dévore ; autour de lui, éclate un ouragan.( psaume 49)

Deutéronome 10
16Vous circoncirez donc votre coeur, et vous ne roidirez plus votre cou. 17Car l'Eternel, votre Dieu, est le Dieu des dieux, le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, fort et terrible, qui ne fait point acception des personnes et qui ne reçoit point de présent, 18qui fait droit à l'orphelin et à la veuve, qui aime l'étranger et lui donne de la nourriture et des vêtements.… https://saintebible.com/deuteronomy/10-17.htm
 
Le nom « Jupiter » vient de l'évolution d'un nom composé d'origine indo-européenne *Dyēus ph2ter, signifiant « Ciel père », que l'on retrouve dans le grec Ζεύς πατήρ / zeús patếr et le védique Dyauṣ Pitā. La première partie du composé appartient à la famille formée sur *dyew, racine indo-européenne désignant « la lumière diurne », le « ciel lumineux »1 et sur laquelle est également formé le mot latin dies, « le jour ».

Plaute et Varron emploient d'ailleurs le terme de Diespiter pour désigner Jupiter2, ce qui peut être perçu comme une forme dérivée de Dies pater, à savoir le Père des jours.

L'accusatif Jovem a donné les adjectifs « jovial », « jovien » et aussi le substantif « jeudi », signifiant « jour de Jupiter » (Jovis dies). Le mot francoprovençal « Joux », que l'on retrouve souvent en toponymie alpine, pourrait en dériver. Molière n'hésitait pas à mettre « Per Jovem ! » (« Par Jupiter ! ») dans la bouche de ses personnages pédants3.
 
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