« Le PJD ne pourra se rétablir qu'après au moins une décennie » (expert)

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Les résultats définitifs ayant conduit au changement de la carte politique marocaine marquée par l'échec historique du PJD et la montée fulgurante du RNI d'Aziz Akhannouch en plus de résultats inattendus, voire inespérés pour d'autres. Décryptage du professeur Khalid Cherkaoui Semmouni.
Dans un texte publié par Ecoactu, l'universitaire a fait savoir que ces résultats obtenus au soir du 8 septembre par le PJD étaient inattendus, dans la mesure où les analystes et les observateurs ne s'attendaient pas à ce (...)

- Société / Parti de la Justice et du Développement (PJD), Elections

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Je ne crois pas qu'ils mettront autant de temps pour revenir, surtout s'ils parviennent à remettre en scelle une nouvelle génération de politique +/- chapeautée par Benkiran. Le PJD n'aura pas a géré la crise d'après-covid et les gens qui ont la mémoire sélective ne pourront pas s'empêcher de comparer, sauf si on embarque le pays dans un crédit qui sera assumé par le gouvernement suivant.
 
Je ne crois pas qu'ils mettront autant de temps pour revenir, surtout s'ils parviennent à remettre en scelle une nouvelle génération de politique +/- chapeautée par Benkiran. Le PJD n'aura pas a géré la crise d'après-covid et les gens qui ont la mémoire sélective ne pourront pas s'empêcher de comparer, sauf si on embarque le pays dans un crédit qui sera assumé par le gouvernement suivant.

Les réactions me font délirer. Tu trouves de tout, le franchouillard qui se réjouit de la défaite des islamistes en essayant de faire croire qu'il y a une dichotomie dans la société marocaine. Si ça tenait qu'à ces batards, le PJD serait dissous à l'exemple de ce qui s'est passé en Egypte ou en Algérie. Tu trouves le marocain anti-PJD qui fait semblant d'oublier que le PJD ne faisait plus que de la figuration ces 4 dernières années.

Tu trouves également celui qui se réjouit d'un vent nouveau avec Akhennouch alors que ce type est aux commandes depuis 4 ans et que son parti bénéficiait de 7 portefeuilles ministeriels.

En tout cas il est clair que le PJD sans Benkirane, c'est la débandade lol
 
Les réactions me font délirer. Tu trouves de tout, le franchouillard qui se réjouit de la défaite des islamistes en essayant de faire croire qu'il y a une dichotomie dans la société marocaine. Si ça tenait qu'à ces batards, le PJD serait dissous à l'exemple de ce qui s'est passé en Egypte ou en Algérie. Tu trouves le marocain anti-PJD qui fait semblant d'oublier que le PJD ne faisait plus que de la figuration ces 4 dernières années.

Tu trouves également celui qui se réjouit d'un vent nouveau avec Akhennouch alors que ce type est aux commandes depuis 4 ans et que son parti bénéficiait de 7 portefeuilles ministeriels.

En tout cas il est clair que le PJD sans Benkirane, c'est la débandade lol
La dissolution du PJD n'est pas possible au Maroc... Nous n'avons pas les mêmes craintes que l'Egypte ni que l'algérie. Le PJD risque (après leur lavage de linge sale en privé) d'exploser en plusieurs factions, et là c la vrai fin.
 
La dissolution du PJD n'est pas possible au Maroc... Nous n'avons pas les mêmes craintes que l'Egypte ni que l'algérie. Le PJD risque (après leur lavage de linge sale en privé) d'exploser en plusieurs factions, et là c la vrai fin.

C'est la raison pour laquelle je pense que Benkirane sera certainement de retour. C'est le seul qui a suffisamment de charisme pour maintenir la cohésion au sein du parti.

Tout autre scénario peut en effet créer une scission au sein du PJD
 
Ils vont être obligés de changer la "constitution" du parti chose qui est un aveu d'échec.... à mon avis

S'il y a absence de cadre, il y aura certainement bataille des jeunes loups et comme pour tout ce qui touche à l'islam politique, celui qui s'emparera de la mise sera celui qui s'inscrira le moins dans le projet démocratique marocains. C'est pourquoi je pense qu'on va tout doucement assister à la fin du Benkirane bashing pour lui permettre de récupérer les clés d'un parti mûr pour une aventure incertaine. J'ajoute que s'agissant de l'islam politique, le nom du parti n'a que trop peu d'importance.

On est nombreux à avoir été témoin de la lente descente du turc Erbakhan renversé par un coup d'état et rendu inéligible à un âge si avancé que cela correspondait à une fin de carrière, inutile de raconter la suite de l'histoire ni de nommer le jeune quadra qui a récupéré les clés du parti.
 
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