Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Islam
Le port du pantalon pour l’homme
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="TIGELLIUS, post: 16729717, member: 391415"] Salam Les musulmans et les musulmanes veulent se différencier dans leur vestimentaire et leurs manière d'être et paraître par rapport aux kouffars et les Gens du Livre. On a beau à rappeler (selon des hadiths) que le musulman doit : 1) Se laisser pousser la barbe 2) Raccourcir la moustache 3) Colorer sa barbe quand apparaissent des poils blancs 4) Que c'est haram ou détestable de se raser la barbe 5) Ne point ressembler aux autres cités ci-haut. Tout cela c'est la Sunna, car dans le Coran on ne trouve aucune trace de l'apparence, mais au contraire on trouve ce qui est plus important, à savoir le bon comportement et ses vertus. Un musulman n'entrera pas au Paradis pour le mérite de ses actes mais uniquement par la Grâce et la Miséricorde divine. Si par exemple je me coupe la barbe ou je la rase, en quoi je serai un mauvais musulman ? Si je ne la colore pas et que mon âge soit apparent par la présence de poils blancs pourquoi devrai-je le cacher, uniquement pour ne pas ressembler aux Gens du Livre ? Malheureusement le musulman est prisonnier de la Tradition, et des écoles de jurisprudence qui façonnent ce que doit être le comportement et le paraître dans la société, pretextant qu'il faut imiter le Prophète saws. A ce sujet j'ai trouvé des hadiths qui montreraient l'idôlatrie vis-à-vis du Prophète de la part des Compagnons : Le Prophète s’étant fait faire une saignée, il charge 'Abdallâh b. al-Zubayr tout jeune d’aller verser le sang « là où personne ne te verra ». Ce dernier prend le récipient, s’éloigne et en avale le contenu. A son retour, le Prophète lui demande : [LIST] [*]41 Kândihlawî, 1968, II : 581-2, d’après Bayhaqî et Abû Nucaym ([I]Ḥilyat al-awliyâ’[/I], I: 330). Voir aussi [URL='https://journals.openedition.org/remmm/2966#ftn41'](...)[/URL] [*]42 Kândihlawî,1968, II : 581-2, d’après Ibn Ḥajar al-Haytamî, [I]Majma[/I]c[I]al-zawâ’id[/I], VIII : 270. [/LIST] 28Abû ʿÂsim, un des rapporteurs de cette tradition, ajoute : « On considérait que la force de ʿAbdallâh lui venait de ce sang ». Dans une autre version, quand le prophète lui demande pourquoi il a agi ainsi, le garçon lui répond : « J’ai voulu que le sang de l’envoyé de Dieu soit dans mes viscères ». Le Prophète lui adresse la même parole, en ajoutant : « le Feu ne t’atteindra que pour autant que Dieu en a fait le serment » A Uḥud, le Prophète dit de Mâlik b. Sinân qui a sucé le sang de ses blessures : « Mon sang s’est mêlé au sien ; le Feu ne le touchera pas ». Il ne dit pas autre chose de Surra, la servante abyssine de son épouse Umm Salama ; quand il apprend qu’au lieu de vider son pot de chambre, elle en a bu le contenu : « Elle s’est entourée d’un enclos contre le feu » (Kândihlawî,1968, II : 581-2). À Ḥudaybiyya, un émissaire des Qurayshites venu en pourparlers, est frappé de voir les Compagnons se précipiter pour boire l’eau restant dans le récipient où le Prophète a fait ses ablutions[URL='https://journals.openedition.org/remmm/2966#ftn40']40[/URL]. Il ne s’agit là que de contact avec la main, mais il s’aperçoit aussi qu’ils recueillent ses crachats ou ses mouchures pour se les passer sur le visage et le corps, ainsi que ses cheveux (Ibn Hishâm, 1955, II : 314.). Quand le Prophète, à son retour de Ṭâ’if, rencontre ʿAddâs, chrétien originaire de Ninive et esclave chez les Banû Ṭaqîf, et que ce dernier réalise qu’il a en face de lui un prophète, il s’empresse de lui embrasser la tête, les mains et les pieds. Il répond à son maître qui lui demande pourquoi il a agi ainsi : « Il n’y a pas sur la terre d’homme meilleur que celui-ci ; il m’a informé de ce que seul sait un prophète » (Ibn Hishâm, 1955, I : 421). La mère de son jeune serviteur Anas b. Mâlik, que le Prophète a visitée et chez qui il a fait la sieste, recueille durant son sommeil, dans un flacon, les gouttes de sueur qui tombent de son corps. Quand il se réveille, il lui demande ce qu’elle fait et elle lui répond : « C’est ta sueur, nous la mettons dans notre parfum car c’est le meilleur des parfums » (Muslim, 1329 H, [I]faḍâïl 83, [/I]VII : 81). Umm Salama, l’épouse du Prophète, conservait des cheveux dans une sorte de cloche [I](juljul) [/I]d’argent. Quand quelqu’un était atteint de fièvre ou de mauvais œil, on sortait les cheveux et on les trempait dans de l’eau dont on aspergeait le visage du patient (Bukhârî, 2001, [I]libâs[/I] 66, VII : 374-375 ; Bayhaqî, 1985, I : 236). [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Islam
Le port du pantalon pour l’homme
Haut