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Le premier amour de bouteflika est une infirmière oujdie
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[QUOTE="compteblad, post: 15538261, member: 167672"] suite Mamma méditerranéenne Typique mamma méditerranéenne, elle a beaucoup compté dans la vie de Bouteflika, qui lui vouait presque un culte au point de lui soumettre ses choix et ses décisions politiques. En 1994, elle lui avait déconseillé de prendre le pouvoir que les généraux lui avaient apporté sur un plateau, comme elle lui aurait suggéré de ne pas rempiler pour un troisième mandat en 2009. Sa soeur, Zhor, n’est pas en reste. Sage-femme de profession, elle a toujours pris soin de lui, lui mitonnant ses plats préférés et le veillant quand il aura à affronter la maladie. À deux pas de ce fameux hammam Jerda se trouve Sidi Ziane, première école moderne, également fondée en 1907, juste après que la ville d’Oujda fut tombée aux mains des troupes du général Hubert Lyautey. C’est dans cet établissement, qui garde encore un cachet colonial avec son jardin et ses arbres fruitiers, qu’Abdelaziz Bouteflika fit ses premières classes, au milieu des années 1940, à l’instar de certaines personnalités, comme l’ancien Premier ministre du roi Hassan II Ahmed Osman, le philosophe Mohamed Allal Sinaceur ou l’économiste Aziz Belal, qui donnera plus tard au futur chef de l’État des cours d’économie. "Bouteflika était un élève appliqué, se souvient El Hadj Belal, 71 ans, qui partage maintenant sa vie entre Oujda et Oran. Il a appris le Coran, maîtrisait l’arabe et le français, sans pour autant négliger le foot, sa grande passion." Il faisait aussi du théâtre au sein de la troupe de l’école. Porté sur la religion, le jeune Bouteflika fréquentait assidûment la zaouïa de la tariqa ("voie") Qadiriya, située à deux pas de Sidi Ziane. Ainsi s’explique, selon certains, le grand intérêt que porte encore aujourd’hui le chef de l’État algérien aux zaouïas, ces confréries religieuses qui le soutiennent depuis son accession au pouvoir, en 1999. Originaire de Tlemcen, le père du président, Ahmed Bouteflika était mandataire au marché d’Oujda. © Hassan Ouazzani pour J.A. "Bouteflika était un brillant lycéen, charmeur, toujours bien sapé et politiquement engagé", se rappelle Mohamed, enseignant à la retraite, vieille connaissance de Chakib Khelil, ami d’enfance de Bouteflika et ancien ministre de l’Énergie tombé en disgrâce. "Ses yeux bleus lui viennent de son père, qui avait le même regard d’acier, se souvient l’ex-ministre Abdelhamid Temmar, autre natif d’Oujda. C’était un intellectuel, le seul d’entre nous à avoir choisi philo. Je me rappelle qu’il n’avait que peu de goût pour le sport. Il se faisait dispenser de gym chaque fois qu’il le pouvait. Seul le foot l’intéressait. C’était un très bon arrière gauche." C’est au lycée Abdelmoumen d’Oujda, qui a vu défiler la crème de la future élite oujdie, que Bouteflika, à l’époque membre de la cellule de l’Istiqlal, parti nationaliste marocain d’Allal El Fassi, a achevé son cursus scolaire. [/QUOTE]
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