Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Le président birman à paris et la persécution des rohingyas
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Drianke, post: 12194039, member: 174325"] N’oublie jamais ! [url]http://www.foulexpress.com/2013/10/noublie-jamais/[/url] Ayez le cœur bien accroché car le texte que je m’apprête à proposer J’ai dû l’écrire le visage humecté de larmes. Quand je me mis à raconter son histoire, ou plutôt son drame. Une dame âgée avec un sourire sur le visage, des yeux remplies de peine, accentuée par ses cernes. Ses rides prononcées, marquent son vécu. Un vécu marquant, que je ressens quand elle se met à raconter son calvaire. Je pèse mes mots, mais si je l’écris c’est que les mots ont un poids. L’homme est une bête, pourtant ce qu’elle a pu vivre on ne l’infligerait même pas à des animaux. « J’avais une grande famille, très grande, on n’avait pas beaucoup de moyens, mais la famille c’était une grande richesse, c’était MA fortune. Le lien de la chair et du sang n’a pas de prix. Mais… »… Elle s’interrompt un instant, ses émotions ont pris le dessus. Là-dessus, je décèle dans sa voix un léger tremblement, sur sa joue se met à rouler une perle argentée, à peine ai-je eu le temps de la discerner, qu’elle fût balayé par sa main, C’est ainsi qu’elle reprend : « Je ne vis pas dans un pays saccagé par la guerre, mais plutôt saccagé par la misère. La misère source de restriction, qui entraine la répression. Alors on obéissait parce qu’il fallait obéir, et on a construit nos vies sans savoir qu’ils allaient tout détruire. Les voilà, je ne comprends pas, Soudain, tout s’effondre devant moi, ça passe si vite et pourtant le temps est long. Ils ont pris la vie, et ma vie par la même occasion. À travers dix de mes enfants et petits-enfants, ils ont pris la vie aussi durement que lentement, en morceaux les découpant. Pourtant, ça devrait être les enfants qui finissent par pleurer leur parents, et moi j’entendais mon enfant sanglotant : « Ô Grand maman », gisant dans son propre sang. Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi violent. Ses derniers cris résonnent encore dans mon esprit. Ne vous étonnez pas si je n’ai que la peau sur les os En plus de mon honneur, ils ont pris ma chair. Mais c’est Dieu qui m’éprouve alors je ne perds pas la face, Ceux qui ont fait ça risque bien pire lors de l’ultime face à face J’oubliais je suis Birmane, issue du peuple Rohingyas, Bien que ce soient des bouddhistes qui aient détruit ma fortune Je ne réduis par leurs actes à des actions communes J’ai fui mon pays pour sauver ma vie, J’ai soixante-sept ans et je comprends Que ma religion ne fait pas l’unanimité, Mais j’appelle à l’aide au nom de l’Humanité.» Ne laissez pas la Birmanie tomber à jamais dans l’oubli. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Le président birman à paris et la persécution des rohingyas
Haut