salam
Le Printemps féminin interpelle le chef du gouvernementsur lInstance pour la parité : Le ministère de Bassima Hakkaoui ne peut pas être juge et partie
Les activistes du mouvement féminin ne décolèrent pas et menacent de boycotter les travaux de la commission scientifique chargée par la ministre Bassima Hakkaoui délaborer le projet de création de la Haute autorité pour la parité.
Dune association féminine à lautre, les défenseures des droits humains des femmes ont la même inquiétude. LAutorité pour la parité et la lutte contre toutes les formes de discrimination, APALD, risque fortement dêtre soumise à la pression idéologique du gouvernement Benkirane. Les associations du printemps de légalité et de la démocratie ont dailleurs demandé audience au chef du gouvernement pour lui exprimer toute leur indignation.
Depuis que Bassima Hakkaoui, la ministre de la Solidarité, de la Famille et du Développement social, a choisi et installé les membres du comité scientifique chargé «détudier les propositions relatives à lInstance de la parité et contre la discrimination contre les femmes» et que composent 8 femmes et 7 hommes, notamment des universitaires et des juristes, les militantes disent haut et fort leurs craintes de voir une telle autorité « sislamiser ».
La protestation des féministes a été immédiate. Très vite, la mainmise du ministère de la Solidarité, de la Famille et du Développement social que dirige lislamiste Bassima Hakkaoui sur une autorité qui doit dabord et avant tout être indépendante du pouvoir exécutif, a été au cur des critiques acerbes du mouvement féminin marocain.
http://www.libe.ma/Le-Printemps-fem...-ministere-de-Bassima-Hakkaoui-ne_a35381.html
Le Printemps féminin interpelle le chef du gouvernementsur lInstance pour la parité : Le ministère de Bassima Hakkaoui ne peut pas être juge et partie
Les activistes du mouvement féminin ne décolèrent pas et menacent de boycotter les travaux de la commission scientifique chargée par la ministre Bassima Hakkaoui délaborer le projet de création de la Haute autorité pour la parité.
Dune association féminine à lautre, les défenseures des droits humains des femmes ont la même inquiétude. LAutorité pour la parité et la lutte contre toutes les formes de discrimination, APALD, risque fortement dêtre soumise à la pression idéologique du gouvernement Benkirane. Les associations du printemps de légalité et de la démocratie ont dailleurs demandé audience au chef du gouvernement pour lui exprimer toute leur indignation.
Depuis que Bassima Hakkaoui, la ministre de la Solidarité, de la Famille et du Développement social, a choisi et installé les membres du comité scientifique chargé «détudier les propositions relatives à lInstance de la parité et contre la discrimination contre les femmes» et que composent 8 femmes et 7 hommes, notamment des universitaires et des juristes, les militantes disent haut et fort leurs craintes de voir une telle autorité « sislamiser ».
La protestation des féministes a été immédiate. Très vite, la mainmise du ministère de la Solidarité, de la Famille et du Développement social que dirige lislamiste Bassima Hakkaoui sur une autorité qui doit dabord et avant tout être indépendante du pouvoir exécutif, a été au cur des critiques acerbes du mouvement féminin marocain.
http://www.libe.ma/Le-Printemps-fem...-ministere-de-Bassima-Hakkaoui-ne_a35381.html