Le prix de l'immobilier va s'effondrer

Oui naylaa merci je connais le type en personne, les faits qu il dont sont vrai mais les solutions qu il donnent c'est n importe quoi il est vraiment a côté de la plaque en ville y'a pas de solution c'est la mort assuré ceux de la campagne ont une petite chance mais il faut etre loin des villes car les gens des villes affamés feront tout pour remplir leur pire ennemi c a dire leur estomac

je t'en prie lalamarya : )


ok, la lueur d'espoir vient de la campagne
 
oui tres loin des villes avec quelques animaux d elevage et une source d eau le temps que tout se restabilise je pense au moins 5 ans
j'irais au bled, chez la famille dans la vallée inchAllah

meskina ma grand-mère Allah iraham8a, lorsqu'il y a eu le déclenchement de la guerre du Golfe, elle se préparait à nous recevoir en urgence ...
 
Dans des villes comme paris, les prix ne peuvent pas s'effondrer ou alors faut m'expliquer et accessoirement me donner la date :d
 
j'irais au bled, chez la famille dans la vallée inchAllah

meskina ma grand-mère Allah iraham8a, lorsqu'il y a eu le déclenchement de la guerre du Golfe, elle se préparait à nous recevoir en urgence ...
OUI tu as de la chance d'avoir un refuge aupres de ta famille ca sera les seules gens qui vont s'en sortir les autres en villes vont s entre tuer pour une boite de conserve vide surtout l être humains ils devient le pire des animaux quand il a faim
 
Que faut-il faire?

C'est assez difficile à admettre mais les marges de manoeuvre sont quasi-nulles. Ce dont il faut prendre la mesure n'est pas seulement l'imminence d'une crise immobilière sans précédent en Europe mais la convergence de multiples "crises". En effet on pourrait voir dans une baisse massive des prix de l'immobilier un immense champ d'opportunités à venir, surtout pour les locataires et revenus modestes mais c'est ne pas saisir le caractère systémique et global des bouleversements actuels.

Un marché immobilier atone voir baissier ne pourrait profiter qu'à des investisseurs solvables dans un contexte bancaire serein, or la situation que nous connaissons depuis le début des années 2000 est précisément inverse: dettes publiques et privées exponentielles, monnaies instables, succession de bulles spéculatives, virtualisation de l'économie (QE, actifs toxiques), désindustrialisation, chômage de masse etc Naturellement, celles et ceux qui ont déjà anticipé cette dynamique dépressive dont les tendances de fond étaient palpables précocement aux Etats-Unis la décennie passée feront des "affaires" dans l'immobilier, notamment rural, mais il faut bien plutôt appréhender ces opérations de placement comme du sauvetage de meubles (sans mauvais jeu de mots) car acquérir un bien à moindre coût implique d'avoir sécurisé ses liquidités d'achat en amont, chose qui est un casse-tête (chinois ou non) en période de troubles, avec une visibilité économique et politique minimale.

Concrètement, c'est l'absence de prise de décision en temps et en heure au sein des institutions internationales (qui sont elles-mêmes désuètes et inadaptées aux nouveaux enjeux) ainsi que le manque de coordination des politiques qui ont amplifié les chocs financiers et bancaires de 2007/2008 puis crée de nouvelles bulles: la crise se nourrit désormais d'elle-même. Dans ce cadre, la pertinence d'un investissement, si capital il y a, ne peut plus être mesuré par les indicateurs économiques traditionnels. On peut toujours partir du principe que la pierre c'est du solide et qu'avoir un toit sur la tête reste un besoin fondamental indépendamment de l'époque, auquel cas il est à mon avis plus judicieux d'attendre le creux de la vague et ne pas sauter sur la première occasion. Mais ce qu'il faut tenir ensemble est le climat budgétaire, bancaire et social dans lequel l'investissement a lieu. Devenir propriétaire, oui, mais dans une période où l'Etat, s'il se maintient, devra nécessairement trouver de nouvelles sources de financement et nul doute que le contribuable nouvellement propriétaire sera mis à contribution. De même, posséder un bien, quel qu'il soit, dans une économie prospère représente une valeur intéressante: il peut être utilisé, loué, vendu, échangé. La paupérisation des classes moyennes allant de paire avec une explosion de la délinquance et de la criminalité, la propriété privée devient une cible potentielle non plus seulement de l'Etat mais aussi de mon voisin. Donc il faut relativiser le discours qui fait de l'immobilier l'ultime valeur refuge. D'ailleurs il faut à mon sens abandonner les réflexes individualistes du type comment sauver mon capital?, quel est le meilleur placement?, je veux x rendement pour y produit, car ce que nous vivons est précisément la fin de ce paradigme et l'acte économique le plus judicieux débute peut-être avec l'acceptation de ce changement: penser collectivement.
 
C'est assez difficile à admettre mais les marges de manoeuvre sont quasi-nulles. Ce dont il faut prendre la mesure n'est pas seulement l'imminence d'une crise immobilière sans précédent en Europe mais la convergence de multiples "crises". En effet on pourrait voir dans une baisse massive des prix de l'immobilier un immense champ d'opportunités à venir, surtout pour les locataires et revenus modestes mais c'est ne pas saisir le caractère systémique et global des bouleversements actuels.

Donc il faut relativiser le discours qui fait de l'immobilier l'ultime valeur refuge. D'ailleurs il faut à mon sens abandonner les réflexes individualistes du type comment sauver mon capital?, quel est le meilleur placement?, je veux x rendement pour y produit, car ce que nous vivons est précisément la fin de ce paradigme et l'acte économique le plus judicieux débute peut-être avec l'acceptation de ce changement: penser collectivement.

merci pour ta réponse Jelis,


le lien social doit être renforcé, si je comprends bien
 
Cf les années 90, on disait la même chose de Paris, et pourtant...

De 1990 à aujourd'hui, les prix ont grimpé de façon vertigineuse, même s'il y a ralentissement et/ou tendance baissière, je doute que les prix à paris s'effondrent. Les gens insolvables et les banques ne vendront pas en deçà d'une somme permettant de récupérer le capital engagé. D'autre part, ceux qui vivent et y ont investi sont ou seront probablement les moins touchés par la crise, la ville offrant de meilleurs opportunités en termes d'emplois .
 
Comment le marché de l'immobilier peut s'effondrer quand la demande s'accroit plus vite que l'offre ?

Parce que les prix des offres ne correspondent pas aux prix de la demande,
tu peux essayer de vendre un verre de jus d'orange à 1000 € mais si personne
ne veux payer ce prix alors tu devra le baisser si tu veux vendre.
 
merci pour ta réponse Jelis,

le lien social doit être renforcé, si je comprends bien

Tout à fait, je pense que la capacité de chacun à organiser autour de lui un réseau de relations solide (pas nécessairement étendu), qu'il soit familial, amical, professionnel ou les trois à la fois va devenir une valeur en soi, bien plus précieuse que l'accumulation de biens ou de capitaux.
 
De 1990 à aujourd'hui, les prix ont grimpé de façon vertigineuse, même s'il y a ralentissement et/ou tendance baissière, je doute que les prix à paris s'effondrent. Les gens insolvables et les banques ne vendront pas en deçà d'une somme permettant de récupérer le capital engagé. D'autre part, ceux qui vivent et y ont investi sont ou seront probablement les moins touchés par la crise, la ville offrant de meilleurs opportunités en termes d'emplois .

C'était les mêmes arguments qui étaient avancés au début des années 90, et pourtant entre 92 et 97, les prix ont baissé de 35% à 40%.
Ce n'est pas un krach en tant que tel, car un krach se caractérise par une baisse du même ordre de grandeur mais sur une durée beaucoup plus courte (1 à 2 ans max).
La plupart des spécialistes non-influencés par le lobby de l'immobilier prédisent un scénario similaire à celui des 90' pour les années 2013-2017.

Ce qui a fait exploser les prix après cette période, c'est la solvabilisation "virtuelle" des ménages, via des taux d'intérêts plus bas que ce qu'ils étaient à la première moitié des années 90, et l'alimentation des prix de la part de l'Etat via différents dispositifs (scellier, ptz etc.).

Aujourd'hui la "solvabilisation" virtuelle des ménages de la part des banques n'est plus possible (les réformes Bâle 3 les obligeant à être plus rigoureuse au niveau de l'octroie des prix : finis les prêts à plus de 20ans, etc.). Idem pour l'état qui n'a plus de sous (PTZ+ dans l'ancien a disparu etc.).
Conséquence : en 8 mois les prix ont baissé de 4.5% à Paris (et ce n'est que le début..).

Aujourd'hui, la seule chose qui permette à Paris, et la France en général, de ne pas voir son secteur de l'immo ne pas s'écrouler comme un chateau de carte, c'est les taux d'intérêts ultra-faibles (les + faibles depuis l'après-guerre).
Dès qu'on aura un hausse sensible des taux (même d'1 point et demi), ca sera la cata.

Ceux qui ont investi au début des années 2000, même en baissant de 30% leur prix par rapport au marché retrouveront leur capital de départ avec une belle plus-value en sus (je parle même pas de ceux qui ont investi à la fin des années 90...). Et de plus en plus de personnes contraintes à la vente (divorce, décès, taxe sur les logements vacants etc.) qui voit leur bien ne pas partir au bout d'un an, se disent "je préfère commencer à baisser mon prix comparé au marché, que de ne pas vendre à être trop gourmand".

Et petit à petit le mouvement s'enclenche...
 
C'était les mêmes arguments qui étaient avancés au début des années 90, et pourtant entre 92 et 97, les prix ont baissé de 35% à 40%.

Ce qui a fait exploser les prix après cette période, c'est la solvabilisation "virtuelle" des ménages, via des taux d'intérêts plus bas que ce qu'ils étaient à la première moitié des années 90, et l'alimentation des prix de la part de l'Etat via différents dispositifs (scellier, ptz etc.).

Aujourd'hui la "solvabilisation" virtuelle des ménages de la part des banques n'est plus possible (les réformes Bâle 3 les obligeant à être plus rigoureuse au niveau de l'octroie des prix : finis les prêts à plus de 20ans, etc.). Idem pour l'état qui n'a plus de sous (PTZ+ dans l'ancien a disparu etc.).
Conséquence : en 8 mois les prix ont baissé de 4.5% à Paris (et ce n'est que le début..).

Aujourd'hui, la seule chose qui permette à Paris, et la France en général, de ne pas voir son secteur de l'immo ne pas s'écrouler comme un chateau de carte, c'est les taux d'intérêts ultra-faibles (les + faibles depuis l'après-guerre).
Dès qu'on aura un hausse sensible des taux (même d'1 point et demi), ca sera la cata.

Ceux qui ont investi au début des années 2000, même en baissant de 30% leur prix par rapport au marché retrouveront leur capital de départ avec une belle plus-value en sus (je parle même pas de ceux qui ont investi à la fin des années 90...).

Et petit à petit le mouvement s'enclenche...

D'accord avec ça.

De 1990 à aujourd'hui, les prix ont grimpé de façon vertigineuse, même s'il y a ralentissement et/ou tendance baissière, je doute que les prix à paris s'effondrent. Les gens insolvables et les banques ne vendront pas en deçà d'une somme permettant de récupérer le capital engagé. D'autre part, ceux qui vivent et y ont investi sont ou seront probablement les moins touchés par la crise, la ville offrant de meilleurs opportunités en termes d'emplois .

S'il s'agissait d'une crise sectorielle j'aurais tendance à penser la même chose concernant la capitale. Il est évident que tout lieu de passage, centre culturel ou historique en Europe devrait être moins affecté que le reste du territoire mais parier sur le dynamisme économique parisien n'a aujourd'hui plus rien d'une garantie: Qui peut dire que le niveau d'activité suffira à maintenir le marché immobilier local? Quels mécanismes de soutien à la consommation les administrations et institutions françaises ont elles encore les moyens de mettre en place? Comment avoir l'assurance que le climat social dans la ville ne sera pas dégradé au point de remettre en cause la propriété privée?

Sans réponses structurelles à l'échelle européenne et globale il n'y a aucune raison objective (c'est à dire d'économie au sens strict du terme et non du discours performatif anglosaxon) de croire à une stabilisation à moyen terme du marché. Dans le brouillard mieux vaut encore faire confiance à ce qu'il est encore possible de vérifier de visu que de se diriger au chant des sirènes: pour ceux qui ont l'occasion de voyager en Europe ou de pérégriner à Paris un bon indicateur peut être trouvé dans le commercial. Vous trouverez des millions de m² de bureaux à louer ou à vendre ne trouvant pas preneur...
 
Parce que les prix des offres ne correspondent pas aux prix de la demande,
tu peux essayer de vendre un verre de jus d'orange à 1000 € mais si personne
ne veux payer ce prix alors tu devra le baisser si tu veux vendre.
Les prix correspondent, aujourd'hui personne ne vend à perte. Hormis en cas de gros coup dur et ça n'est pas légion.

Ton exemple est trop déconnecté de la réalité pour être parlant
 
Les prix correspondent, aujourd'hui personne ne vend à perte. Hormis en cas de gros coup dur et ça n'est pas légion.

Ton exemple est trop déconnecté de la réalité pour être parlant

C'est la crise, les gens sont endettés, ils ont besoin d'argent, et même sans,
les agences ont la facheuse habitude à vouloir faire baisser les prix pour vendre
tout de suite pour faire du chiffre, j'ai déjà vendu plusieurs maisons et
appartement et à chaque fois ils veulent faire baisser de manière pas du
tout raisonnable, pourtant les prix de départ étaient en dessous du prix du
marché.
 
C'était les mêmes arguments qui étaient avancés au début des années 90, et pourtant entre 92 et 97, les prix ont baissé de 35% à 40%.
Ce n'est pas un krach en tant que tel, car un krach se caractérise par une baisse du même ordre de grandeur mais sur une durée beaucoup plus courte (1 à 2 ans max).
La plupart des spécialistes non-influencés par le lobby de l'immobilier prédisent un scénario similaire à celui des 90' pour les années 2013-2017.

Ce qui a fait exploser les prix après cette période, c'est la solvabilisation "virtuelle" des ménages, via des taux d'intérêts plus bas que ce qu'ils étaient à la première moitié des années 90, et l'alimentation des prix de la part de l'Etat via différents dispositifs (scellier, ptz etc.).

Aujourd'hui la "solvabilisation" virtuelle des ménages de la part des banques n'est plus possible (les réformes Bâle 3 les obligeant à être plus rigoureuse au niveau de l'octroie des prix : finis les prêts à plus de 20ans, etc.). Idem pour l'état qui n'a plus de sous (PTZ+ dans l'ancien a disparu etc.).
Conséquence : en 8 mois les prix ont baissé de 4.5% à Paris (et ce n'est que le début..).

Aujourd'hui, la seule chose qui permette à Paris, et la France en général, de ne pas voir son secteur de l'immo ne pas s'écrouler comme un chateau de carte, c'est les taux d'intérêts ultra-faibles (les + faibles depuis l'après-guerre).
Dès qu'on aura un hausse sensible des taux (même d'1 point et demi), ca sera la cata.

Ceux qui ont investi au début des années 2000, même en baissant de 30% leur prix par rapport au marché retrouveront leur capital de départ avec une belle plus-value en sus (je parle même pas de ceux qui ont investi à la fin des années 90...). Et de plus en plus de personnes contraintes à la vente (divorce, décès, taxe sur les logements vacants etc.) qui voit leur bien ne pas partir au bout d'un an, se disent "je préfère commencer à baisser mon prix comparé au marché, que de ne pas vendre à être trop gourmand".

Et petit à petit le mouvement s'enclenche...


Le problème c'est qu'il est difficile de prédire l'avenir. Ce prétendu effondrement nous est annoncé depuis un certain temps déjà alors le 2013-2017, je veux bien y croire mais je me demande si ces personnes bien avisées vont tenir le calendrier car à en croire les précédents effets d' annonces, l'effondrement c'était hier. Le hic, c'est que pendant ce temps où on nous invite à l'immobilisme ou la prudence, les prix eux continuent leur petit bonhomme de chemin ..je croîs que tant qu'on est locataire, il est toujours temps d'acheter..d'autre part, les investisseurs (petits et gros) ne vendront JAMAIS au rabais, ils attendront sagement que la crise passe avant de faire leurs opérations. La tendance baissière, je la vois..elle s'accompagne d'une baisse des taux d'intérêt autant dire que c'est une bonne période pour acheter...ce que je ne croîs pas c'est que les prix se cassent la gueule au point qu'un appart qui vaut 400k€ tombe à 100k€ en IDF....attendre une baisse de 10,20 % c'est pas spécialement stratégique pour une primo accession...car dans l'attente, on a toujours un loyer à payer. Bref, je suis très sceptique quant à cet effondrement de l'immobilier dans la capitale ou la petite couronne.
 
D'accord avec ça.



S'il s'agissait d'une crise sectorielle j'aurais tendance à penser la même chose concernant la capitale. Il est évident que tout lieu de passage, centre culturel ou historique en Europe devrait être moins affecté que le reste du territoire mais parier sur le dynamisme économique parisien n'a aujourd'hui plus rien d'une garantie: Qui peut dire que le niveau d'activité suffira à maintenir le marché immobilier local? Quels mécanismes de soutien à la consommation les administrations et institutions françaises ont elles encore les moyens de mettre en place? Comment avoir l'assurance que le climat social dans la ville ne sera pas dégradé au point de remettre en cause la propriété privée?

Sans réponses structurelles à l'échelle européenne et globale il n'y a aucune raison objective (c'est à dire d'économie au sens strict du terme et non du discours performatif anglosaxon) de croire à une stabilisation à moyen terme du marché. Dans le brouillard mieux vaut encore faire confiance à ce qu'il est encore possible de vérifier de visu que de se diriger au chant des sirènes: pour ceux qui ont l'occasion de voyager en Europe ou de pérégriner à Paris un bon indicateur peut être trouvé dans le commercial. Vous trouverez des millions de m² de bureaux à louer ou à vendre ne trouvant pas preneur...

Je ne demande qu'à vous croire (Plotsk et toi).
 
Le problème c'est qu'il est difficile de prédire l'avenir...l'effondrement c'était hier.

Effectivement, l'effondrement aurait du avoir lieu depuis un bon moment, la seule chose qui l'évitait c'était la solvabilisation virtuelle des ménages.

Cette effondrement avait commencé en 2008, et aurait du se poursuivre suite après 2009....Comme c'est le cas des autres pays européen qui ont connu une bulle similaire (Uk, Pays-Bas etc. Je ne parle pas de l'espagne qui est un cas à part).

La différence avec ces autres pays, c'est que l'état français a eu la stupide idée de subventionner à gogo le secteur...
C'est comme si on mettait sous assistance respiratoire quelqu'un qui n'a plus d'oxygène : dès qu'on lui enlève le tube, il meurt.

Le hic..les prix eux continuent leur petit bonhomme de chemin ..

Je ne sais pas à quelle petit bonhomme de chemin tu fais référence, car les prix sont très clairement orientés à la baisse. Les avant-contrats des notaires font état d'une baisse de -7% en 8 mois au niveau national et -4.5% à Paris intra-muros!
http://www.lesclesdumidi.com/actualite/actualite-article-78679712.html

je croîs que tant qu'on est locataire, il est toujours temps d'acheter..

C'est de moins en moins vrai vu le contexte (à moins de tomber sur une pépite).

http://www.sicavonline.fr/index.cfm...er-comment-faire-le-meilleur-choix-immobilier

d'autre part, les investisseurs (petits et gros) ne vendront JAMAIS au rabais

Comme je te l'ai déjà écris précédemment, s'ils vendent avec 30% de baisse par rapport au prix du marché, ils auront toujours une plus-value de porc.
Et d'ailleurs dans les années 90, c'étaient eux qui avaient fait baisser les prix.

A moins que les investisseurs français d'aujourd'hui soient des extra-terrestre comparé aux investisseurs US, UK, NL, qui se sont vite remis à la réalité des choses lors la demande n'était plus là.

ils attendront sagement...elle s'accompagne d'une baisse des taux d'intérêt autant dire que c'est une bonne période pour acheter...

Les taux sont à niveau plancher, ils ne vont plus baisser,...par contre dès qu'ils augmenteront, ce sera le jackpot.

ce que je ne croîs pas c'est que les prix se cassent la gueule au point qu'un appart qui vaut 400k€ tombe à 100k€ en IDF....

Oui effectivement, je n'ai jamais parlé d'une baisse de 75%.
Mais ce même appartement à 400.000€, il y a fort à parier qu'il reviendrait dans les 250K-300K€ dans 3 ans.

attendre une baisse de 10,20 % c'est pas spécialement stratégique pour une primo accession...

C'est une idée reçue version bis. Si on est dans un scénario de baisse (même modérée) la location reste plus intéressante (pour au moins quelques années)..cf la page 15 de l'étude ci-dessous.

http://www.meilleurtaux.com/images/...lier/acheter-louer-meilleurtaux-etude2013.pdf

Au passage, je conseille de faire un petit tour sur le site http://new.bulle-immobiliere.org/drupal/
...Très instructif sur la bubulle immo version Fr.
http://www.bulle-immobiliere.org/drupal/

En résumé, c'est le meilleur moment d'acheteur pour être un pigeon mdr
 
Ils vont crée de l'argent fictifs pour accorder des crédits :D

Lorsque les idiots de nos ***-citoyens cesseront de faire des crédits bancaire de 30ans avec 900€/mois min, nous sommes pas sortit de l'auberge !
 
Effectivement, l'effondrement aurait du avoir lieu depuis un bon moment, la seule chose qui l'évitait c'était la solvabilisation virtuelle des ménages.

Cette effondrement avait commencé en 2008, et aurait du se poursuivre suite après 2009....Comme c'est le cas des autres pays européen qui ont connu une bulle similaire (Uk, Pays-Bas etc. Je ne parle pas de l'espagne qui est un cas à part).

La différence avec ces autres pays, c'est que l'état français a eu la stupide idée de subventionner à gogo le secteur...
C'est comme si on mettait sous assistance respiratoire quelqu'un qui n'a plus d'oxygène : dès qu'on lui enlève le tube, il meurt.



Je ne sais pas à quelle petit bonhomme de chemin tu fais référence, car les prix sont très clairement orientés à la baisse. Les avant-contrats des notaires font état d'une baisse de -7% en 8 mois au niveau national et -4.5% à Paris intra-muros!
http://www.lesclesdumidi.com/actualite/actualite-article-78679712.html

J'entends parler de ce krach immobilier depuis 2005....et lorsque je dis que les prix continuent à faire leur petit bonhomme de chemin, je fais référence à la période 2000-2013....aujourd'hui les prix sont à la baisse, d'acc mais vu combien ils ont grimpé sur ladit période, il aurait mieux valu acheter en 2005 (à défaut de l'avoir fait plus tôt) plutôt qu'attendre ce krach immobilier...



Comme je te l'ai déjà écris précédemment, s'ils vendent avec 30% de baisse par rapport au prix du marché, ils auront toujours une plus-value de porc.
Et d'ailleurs dans les années 90, c'étaient eux qui avaient fait baisser les prix.

A moins que les investisseurs français d'aujourd'hui soient des extra-terrestre comparé aux investisseurs US, UK, NL, qui se sont vite remis à la réalité des choses lors la demande n'était plus là.

Le parc immobilier parisien étant ce qu'il est, la demande sera toujours supérieure à l'offre. La conjoncture pourra forcer des gens à vendre en-dessous de leur valeur escomptée, il n'empêche que cette baisse ne sera spectaculaire. Je ne croîs pas qu'un appartement qui se vend auj à 400 K€ soit cédé à 300 k€ dans les 3 années à venir. En revanche, les prix ne peuvent plus croître de façon exponentielle, c'est sûr. Les investisseurs se contrefichent de la crise, leurs appartements sont payés par les aides sociales versées à leurs locataires, ils vendront pas s'ils ne sont pas gagnants.

Les taux sont à niveau plancher, ils ne vont plus baisser,...par contre dès qu'ils augmenteront, ce sera le jackpot.

C'est pourquoi, je disais que c'était le moment d'acheter, un taux à 3% et des prix en baisse, c'est le moment propice !




C'est une idée reçue version bis. Si on est dans un scénario de baisse (même modérée) la location reste plus intéressante (pour au moins quelques années)..cf la page 15 de l'étude ci-dessous.

En résumé, c'est le meilleur moment d'acheteur pour être un pigeon

rendez-vous en 2017 ; )
 
L'immobilier n'a augmenté que part la popularisation du crédit ! Le client peut avoir plus d'argent en empruntant donc j'augmente mon prix de vente ! Logique.

Mais avec cette crise, les banques ne pourront plus préter autant et surtout avec des taux très élevés. Les ménages emprunteront donc beaucoup moins, auront moins d'argent à mettre pour acheter un bien immobilier et du coup les prix de l'immobilier seront revus à la baisse. C'est inévitable !! C'est qu'une question de temps.

Qu'en pensez vous ?
Je suis contente. On va pouvoir vivre dans des apparts décents
 
Mais avec cette crise, les banques ne pourront plus préter autant et surtout avec des taux très élevés. Les ménages emprunteront donc beaucoup moins, auront moins d'argent à mettre pour acheter un bien immobilier et du coup les prix de l'immobilier seront revus à la baisse. C'est inévitable !! C'est qu'une question de temps.

Qu'en pensez vous ?

C'est faux, surtout en région parisienne, les français de toutes les régions vont y travailler et vivre. Et aussi les européens de l'est , les africains, les asiatiques etc. vont vivre à paris. Donc les prix ne baisseront pas à paris, au contraire.
 
Immobilier : les marchés locaux qui vont craquer et ceux qui vont résister

29/04/2013 à 18:12 / Mis à jour le 29/04/2013 à 18:12



A Paris comme en province, la cote de l’immobilier est sur le point de plier. Nos prévisions pour 2013 dans les principales villes de France.

Un peu partout depuis trois mois, malgré des taux de crédit incroyablement bas, les acheteurs rechignent à passer à l’acte, n’acceptant de signer les offres qu’après d’âpres discussions, obligeant souvent les vendeurs à concéder de gros rabais.

Jusqu’où les prix tomberont-ils ? Nous avons sillonné les routes de France et enquêté sur le sujet : l’hypothèse la plus probable est celle d’un repli de 5 à 12% en 2013, puis d’un atterrissage en douceur dans les dix-huit mois suivants.

Ce scénario est déjà à l’œuvre en Ile-de-France et dans la plupart des métropoles régionales, où les tarifs des logements avaient trop flambé.

Retrouvez, quartier par quartier, les évolutions de prix attendues dans les plus grandes villes de France :

> Sur le marché immobilier parisien, les vendeurs sont en train de perdre la main

> En Ile-de-France, les prix de l'immobilier sont à la baisse

> A Bordeaux, les secteurs d'habitation excentrés commencent à flancher

> Les vendeurs lillois perdent la main, sauf dans les quartiers situés à proximité des gares

> A Lyon, seuls les quartiers en voie de restructuration et les belles adresses échapperont à la baisse des prix

> Sur le marché immobilier de Marseille, la marge de négociation augmente

> A Montpellier, les quartiers sortis de terre depuis l’an 2000 ne font plus recette

> A Nice, la raréfaction des primo-accédants va accélérer le repli de la cote

> Gros rabais en vue dans les quartiers nantais visés par les primo-accédants

> Les quartiers périphériques de Rennes s’enfoncent dans la dépression

> A Strasbourg, seuls le centre et la Petite France résistent à la crise de l'immobilier

> A Toulouse, la remise en vente massive de logements locatifs récents plombe le marché de l’ancien

http://www.capital.fr/immobilier/do...et-ceux-qui-vont-resister-839460#xtor=EPR-226

mam
 
Ceix qui croient en un krach a l'espagnole revent. Par contre une baisse diffuse est le plus probable. On compte une baisse des transactions immo de plus de 30%, 30% des agence immo ont ferme depuis 2012. Des taux d'interet maintenu à la baisse et les primo accedant completement exclu du marche des acheteur. Des mise en chantier reduite de 50%, 35 000 emploi dans le batiment seront detruit cette annee. Dites moi comment le marche peut continuer a monter et meme stagner?
Meme les avocats qui ne font plus recettes poussent leur client a lancer des procedures d'expulsion pour ceux qui ne peuvent pas payer. Mes source mon analyse du marche depuis 2008 et mes discussion avc des responsable du marche immo
 
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