par Kevin Barrett
«Soutien au génocide, sinon…». Tel était le message implicite contenu dans le décret publié le 4 août par l’administration Trump. Ce dernier exigeait des États, s’ils souhaitaient continuer à bénéficier des fonds fédéraux destinés aux victimes de catastrophes naturelles, qu’ils s’engagent à ne pas «rompre leurs relations avec les entreprises israéliennes».
Le décret de Trump est une tentative d’empêcher les États de boycotter Israël alors que le génocide à Gaza s’intensifie. Mais que se passerait-il si un État décidait de «rompre ses relations» avec une entreprise israélienne qui ne remplit pas ses obligations contractuelles ? Et si cette entreprise pratiquait des tarifs abusifs, ou ne fournissait pas les prestations convenues ? Et si elle trompait ou abusait des Américains ? Ou si elle dissimulait des backdoors dans ses produits de cybersécurité pour permettre à Israël d’espionner les responsables américains ? Ces responsables devraient-ils prouver qu’ils se séparent de l’entreprise pour la bonne raison, et non parce qu’Israël commet le génocide le plus choquant de l’histoire ?
Interdire aux États de «rompre leurs relations» avec des entreprises israéliennes aura pour effet, à première vue, de verrouiller à perpétuité tous les contrats conclus avec ces entreprises, quelle que soit la qualité de leurs prestations. Elle interdirait notamment aux États de prendre position contre le génocide à Gaza, ce qui priverait les citoyens ordinaires touchés par les incendies, les tremblements de terre, les inondations et les sécheresses d’une aide dont ils ont cruellement besoin.
Heureusement, les esprits se sont calmés et la mesure a été levée quelques heures après son annonce.
«Les subventions de la FEMA restent régies par la législation et la politique en vigueur et ne sont pas soumises à des pressions politiques», a timidement expliqué Tricia McLaughlin, porte-parole du DHS.
Apparemment, le lobby juif omniprésent aux États-Unis a poussé le bouchon un peu trop loin en essayant de faire passer ses lois «achetez israélien, sinon…» à l’échelle fédérale. Selon le dernier bilan, 34 États ont adopté des lois qui «punissent les citoyens et les entreprises américains qui refusent de signer une lettre certifiée s’engageant à ne pas boycotter Israël». Dans ces États, toute entreprise ou tout individu refusant de signer un tel engagement se voit refuser l’accès aux contrats, subventions ou investissements publics.
Ces dizaines, voire centaines de milliers de lettres certifiées et signées par les entrepreneurs agréés des 34 États, et par lesquelles ils s’engagent à ne pas boycotter Israël, rappellent la marque de la Bête mentionnée dans les chapitres 13 et 14 de l’Apocalypse. Tout comme la marque de la Bête, cet engagement est obligatoire pour quiconque souhaite exercer une activité économique (dans ce cas, avec un État). Ces engagements symbolisent une opposition à Dieu et une loyauté à l’Antéchrist.
Tous s’accordent à dire que Dieu réprouve le massacre gratuit de femmes et d’enfants innocents. Ceux qui se rangent du côté de Dieu, guidés par leur foi et les valeurs du Nouveau Testament (ou du Coran, du Mahâbhârata, des Analectes, du Sûtra du Lotus ou du Tao Te Ching), sont tenus de s’opposer au génocide. Tout soutien au génocide revient à s’opposer à Dieu.
Le sionisme, qui a donné naissance à Israël, est ouvertement opposé à Dieu. Ses fondateurs, comme Théodore Herzl et David Ben Gourion, étaient même de fervents athées. Quant aux sionistes religieux, ils sont les descendants spirituels des disciples de Sabbatai Zevi, un faux messie satanique dont la carrière a culminé en 1666. Leur retour sanglant en Palestine n’est pas l’accomplissement des Écritures, mais un défi délibéré à Dieu, qui a explicitement interdit aux juifs de tenter de retourner en Terre Sainte.
«Soutien au génocide, sinon…». Tel était le message implicite contenu dans le décret publié le 4 août par l’administration Trump. Ce dernier exigeait des États, s’ils souhaitaient continuer à bénéficier des fonds fédéraux destinés aux victimes de catastrophes naturelles, qu’ils s’engagent à ne pas «rompre leurs relations avec les entreprises israéliennes».
Le décret de Trump est une tentative d’empêcher les États de boycotter Israël alors que le génocide à Gaza s’intensifie. Mais que se passerait-il si un État décidait de «rompre ses relations» avec une entreprise israélienne qui ne remplit pas ses obligations contractuelles ? Et si cette entreprise pratiquait des tarifs abusifs, ou ne fournissait pas les prestations convenues ? Et si elle trompait ou abusait des Américains ? Ou si elle dissimulait des backdoors dans ses produits de cybersécurité pour permettre à Israël d’espionner les responsables américains ? Ces responsables devraient-ils prouver qu’ils se séparent de l’entreprise pour la bonne raison, et non parce qu’Israël commet le génocide le plus choquant de l’histoire ?
Interdire aux États de «rompre leurs relations» avec des entreprises israéliennes aura pour effet, à première vue, de verrouiller à perpétuité tous les contrats conclus avec ces entreprises, quelle que soit la qualité de leurs prestations. Elle interdirait notamment aux États de prendre position contre le génocide à Gaza, ce qui priverait les citoyens ordinaires touchés par les incendies, les tremblements de terre, les inondations et les sécheresses d’une aide dont ils ont cruellement besoin.
Heureusement, les esprits se sont calmés et la mesure a été levée quelques heures après son annonce.
«Les subventions de la FEMA restent régies par la législation et la politique en vigueur et ne sont pas soumises à des pressions politiques», a timidement expliqué Tricia McLaughlin, porte-parole du DHS.
Apparemment, le lobby juif omniprésent aux États-Unis a poussé le bouchon un peu trop loin en essayant de faire passer ses lois «achetez israélien, sinon…» à l’échelle fédérale. Selon le dernier bilan, 34 États ont adopté des lois qui «punissent les citoyens et les entreprises américains qui refusent de signer une lettre certifiée s’engageant à ne pas boycotter Israël». Dans ces États, toute entreprise ou tout individu refusant de signer un tel engagement se voit refuser l’accès aux contrats, subventions ou investissements publics.
Ces dizaines, voire centaines de milliers de lettres certifiées et signées par les entrepreneurs agréés des 34 États, et par lesquelles ils s’engagent à ne pas boycotter Israël, rappellent la marque de la Bête mentionnée dans les chapitres 13 et 14 de l’Apocalypse. Tout comme la marque de la Bête, cet engagement est obligatoire pour quiconque souhaite exercer une activité économique (dans ce cas, avec un État). Ces engagements symbolisent une opposition à Dieu et une loyauté à l’Antéchrist.
Tous s’accordent à dire que Dieu réprouve le massacre gratuit de femmes et d’enfants innocents. Ceux qui se rangent du côté de Dieu, guidés par leur foi et les valeurs du Nouveau Testament (ou du Coran, du Mahâbhârata, des Analectes, du Sûtra du Lotus ou du Tao Te Ching), sont tenus de s’opposer au génocide. Tout soutien au génocide revient à s’opposer à Dieu.
Le sionisme, qui a donné naissance à Israël, est ouvertement opposé à Dieu. Ses fondateurs, comme Théodore Herzl et David Ben Gourion, étaient même de fervents athées. Quant aux sionistes religieux, ils sont les descendants spirituels des disciples de Sabbatai Zevi, un faux messie satanique dont la carrière a culminé en 1666. Leur retour sanglant en Palestine n’est pas l’accomplissement des Écritures, mais un défi délibéré à Dieu, qui a explicitement interdit aux juifs de tenter de retourner en Terre Sainte.