Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Société
Bien-être et Santé
Le somnifère zolpidem pourrait être bénéfique à plusieurs pathologies neurologiques
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="mam80, post: 15254421, member: 228134"] suite [B]Amélioration de l’état de conscience chez quelques patients[/B] [B][/B] Les meilleures preuves de l’efficacité du zolpidem sur les troubles de la conscience proviennent des larges essais interventionnels. Deux des plus grandes études ayant évalué le zolpidem dans les troubles de la conscience montrent que respectivement 1 patient sur 15 (6,7 %) et 4 patients sur 84 (4,8%) ont vu leur état s’améliorer significativement et de façon reproductible avec 10 mg de zolpidem Parmi l’ensemble des études sur les troubles de la conscience, la dose de 10 mg était la plus utilisée (n=20) avec[B] des effets d’une durée de 1,5 à 4 heures en général avant de revenir à l’état initial[/B]. Toutefois, dans un cas clinique rapporté en 2000 et 2001, l’effet du zolpidem a été maintenu pendant plus de deux ans avec 10 mg de zolpidem sans diminution de l’efficacité [B]Des améliorations notables sur la dystonie[/B] [B][/B] Parmi les études sur les troubles de la motricité : Une étude de 2012 a montré des améliorations chez 24 % (8 sur 34) des patients atteints de dystonie, 27,8 % des patients avec une dystonie généralisée, 31 % des patients avec une dystonie de la main et 17,8 % avec un syndrome de Meige ou bléspharospasme . Une étude de 2010 a montré des améliorations chez 41 % des 29 patients atteints de dystonie Une étude de 1997 a montré des améliorations chez 60 % des 10 patients atteints de la maladie de Parkinson, en particulier sur les expressions faciales, la rigidité et la démarche La dose la plus fréquemment était de 10 mg et les effets variaient de 2 à 12 heures, le plus souvent de 3 à 5 heures (n=9) avant de revenir à l’état initial. [B]Autres données[/B] [B][/B] Outre les améliorations observées sur les troubles de la conscience et de la motricité, des études de cas et des séries ont, notamment montré : des améliorations de la communication dans un mutisme cérébelleux, un mutisme akinétique lié à une encéphalopathie, une catatonie et une aphasie post-AVC ; des améliorations de la fonction cognitive dans une démence liée à une dégénérescence corticobasale ; une amélioration de la sociabilisation et du vocabulaire chez un autiste ; une amélioration de la démarche dans une ataxie spinocérébelleuse. En parallèle, plusieurs études de neuroimagerie fonctionnelle ont montré une amélioration de l’irrigation cérébrale et de l’activité métabolique. [B]Une bonne tolérance[/B] Concernant la tolérance, la sédation était l’effet secondaire le plus fréquent mais elle n’a été rapportée que chez 13 des 551 patients et elle était généralement considérée comme faible. Parmi les autres effets secondaires observés, les chercheurs ont rapporté deux instabilités posturales, un cas de somnanbulisme, d’amnésie, de baisse de la vision, d’agitation et d’hyperréflexie. Ces données soulèvent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses. Mark Peterson D’après un cas clinique, les doses de 30 à 40 mg étaient associées à une agitation et à une distractibilité chez des patients avec un état de conscience minimal. En conclusion, le co-investigateur [B]Mark Peterson[/B] (Université du Michigan) qualifie ces résultats de « paradoxe étonnant » et souligne que « ces données soulèvent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses bien qu’elles soient fondamentales pour guider des essais cliniques de plus grande taille ». Les chercheurs appellent a réaliser de plus vastes essais contrôlés randomisés permettant de corréler les observations cliniques et la neuromodulation afin de mieux comprendre l’efficacité et la tolérance du zolpidem dans ces troubles neurologiques. medscape.com mam [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Société
Bien-être et Santé
Le somnifère zolpidem pourrait être bénéfique à plusieurs pathologies neurologiques
Haut