C'est vendredi 4 août, il y a une semaine, qu'une Cherbourgeoise de 29 ans a été admise aux urgences de l'hôpital Pasteur de Cherbourg. Victime de viol avec actes de barbarie, ses blessures d'une gravité extrême ont même choqué les personnels de santé qui l'ont prise en charge.
Lorsque cette Cherbourgeoise de 29 ans arrive avec les pompiers aux Urgences de l'hôpital Pasteur, le vendredi 4 août, elle est dans un état grave. Plongée dans un coma artificiel, elle est admise au bloc opératoire. Et c'est devant la gravité de ses blessures que certains membres du personnel craquent et fondent en larmes. La victime violée notamment avec un manche à balai présente une perforation du colon, de l'intestin grêle, du péritoine, du diaphragme mais aussi un pneumothorax et des côtes fracturées. Elle sera opérée pendant plusieurs heures. Ce samedi 12 août, son pronostic vital est toujours engagé. Pour aider le personnel hospitalier qui en ressent le besoin, la cellule psychologique de l'établissement a été activée, selon nos informations. Cette cellule est en général animée par "deux psychologues qui écoutent en groupe ou individuellement les soignants quand ils en ont besoin. Ce qui arrive régulièrement" nous précise un personnel de l'hôpital.
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Lorsque cette Cherbourgeoise de 29 ans arrive avec les pompiers aux Urgences de l'hôpital Pasteur, le vendredi 4 août, elle est dans un état grave. Plongée dans un coma artificiel, elle est admise au bloc opératoire. Et c'est devant la gravité de ses blessures que certains membres du personnel craquent et fondent en larmes. La victime violée notamment avec un manche à balai présente une perforation du colon, de l'intestin grêle, du péritoine, du diaphragme mais aussi un pneumothorax et des côtes fracturées. Elle sera opérée pendant plusieurs heures. Ce samedi 12 août, son pronostic vital est toujours engagé. Pour aider le personnel hospitalier qui en ressent le besoin, la cellule psychologique de l'établissement a été activée, selon nos informations. Cette cellule est en général animée par "deux psychologues qui écoutent en groupe ou individuellement les soignants quand ils en ont besoin. Ce qui arrive régulièrement" nous précise un personnel de l'hôpital.
Le suspect encourt la réclusion criminelle à perpétuité
Le témoignage de la victime recueilli une demi-heure après le viol fait froid dans le dos. Laissée pour morte, elle aura eu la force d'appeler les secours ce vendredi 4 août vers 8H30 du matin indiquant qu'un homme était entré chez elle, l'avait frappée à plusieurs reprises au visage et sur le corps avant de la violer. Cet homme, un jeune majeur de 18 ans, qui a reconnu les faits "laconiquement après les avoir nié dans un premier temps, encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Déjà connu de la justice pour, selon une source proche du dossier, des attouchements sexuels il a été confondu par son ADN et son téléphone portable. Interpellé cette semaine chez sa mère, après sa garde à vue il a été déféré au parquet de Coutances qui l'a mis en examen pour "viol avec actes de barbarie". Il a été placé en détention provisoire et sera bientôt soumis à un examen psychiatrique.
Le viol avec actes de barbarie d'une Cherbourgeoise émeut jusqu'aux larmes le personnel de l'hôpital - ici
C'est vendredi 4 août, il y a une semaine, qu'une Cherbourgeoise de 29 ans a été admise aux urgences de l'hôpital Pasteur de Cherbourg. Victime de viol avec actes de barbarie, ses blessures d'une gravité extrême ont même choqué les personnels de santé qui l'ont prise en charge.
