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L’ecole des mines, le bon filon stéphanois
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[QUOTE="mam80, post: 16095236, member: 228134"] suite 3 [B]Le croire et le savoir[/B] C’est finalement à travers une activité connexe que se retisse peut-être un lien plus intime entre l’école et la ville. Elle gravite autour d’un bâtiment en forme de soucoupe volante qui abrita, dès les années 1960, le centre de calcul de l’école : 350 mètres carrés au premier étage pour faire tourner les ordinateurs à cartes perforées ; la même surface au rez-de-chaussée pour abriter le puissant système de climatisation nécessaire au refroidissement de ces mastodontes. Lorsque ces bruyantes et bouillantes antiquités sont mises au rancart, l’école les remplace par un centre de culture scientifique, technique et industrielle (CCSTI) – un label aujourd’hui en jachère, mais qui présida à la naissance d’institutions comme la Cité des sciences parisienne ou Cap Sciences à Bordeaux. Baptisé [URL='http://www.larotonde-sciences.com/']La Rotonde,[/URL] le centre accueille, sous la houlette de Guillaume Desbrosse, une riche programmation pluridisciplinaire – actuellement une exposition sur le rire – et accompagne[B] un vaste réseau de professeurs des écoles dans l’organisation d’ateliers de sciences dont bénéficient, chaque mois, 10 000 élèves des écoles[/B]. [I]« Ce centre est le seul, en France, à être rattaché à un établissement d’enseignement supérieur », [/I]précise Guillaume Desbrosse. Outre le programme consacré aux écoles primaires et les événements in situ, tous les étudiants des Mines ont obligation de suivre au moins un module de formation à la diffusion de la culture scientifique : « Ce sont de futurs ingénieurs, qui auront des responsabilités humaines comme manageurs, et sociétales en tant que futurs dirigeants. Il est indispensable de les connecter aux réalités sociales pendant leur formation. » Au pied de La Rotonde, le « camion des sciences », un antédiluvien TUB Citroën, est prêt à rejoindre les parvis des barres HLM et les parkings des centres commerciaux, chargé de matériel pour réaliser des « manips ». Prochain projet : l’ouverture d’un espace d’éducation aux sciences, mi-fab lab, mi-lieu d’exposition. Il sera adossé au parc Couriot, qui abrite le musée du puits éponyme. Il surplombe le quartier Tarentaize-Beaubrun, faubourg ouvrier historique, en partie rasé dans les années 1970 pour cause d’insalubrité. « Il est impératif d’aller au-devant des publics, notamment dans les quartiers difficiles, insiste Guillaume Desbrosse, si on veut endiguer les progrès de l’obscurantisme. » Comment ? « En amenant les gens, sans didactisme, à faire ou refaire la différence entre croire et savoir. L’école doit bien cela à cette ville, surtout si elle veut casser un peu son image d’établissement d’élite recroquevillé derrière ses hautes grilles dans les beaux quartiers. » Comme un retour au bercail de la fille prodigue ? Etudier à Saint-Etienne Les Mines .../... [/QUOTE]
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