...de France 2 lors du débat avec Jean Luc Mélenchon
Petites précisions sur Valérie Gloriant, la Calaisienne "pas raciste" invitée hier dans L'émissionPolitique.
Elle s'est présentée comme une restauratrice devenue chômeuse et SDF à cause des migrants :
" En 2013, 700 migrants sont arrivés place Henri-Barbusse. Lors du démantèlement, tout a été clôturé, autrement dit le parking. Résultat, les routiers, mes principaux clients, ne pouvaient plus venir », explique-t-elle."
" Le 29 juin 2016, Valérie Gloriant voit l’appartement où elle vivait avec sa belle-fille brûler. « J’ai perdu mon premier logement à cause de la pression migratoire et là, un autre logement brûle. Depuis, on vit dans une chambre d’hôtel payé par l’assurance. Ça ne peut pas durer éternellement », soupire-t-elle en réitérant son appel du pied à la municipalité. « J’aimerais au moins récupérer un logement. J’estime y avoir droit tout de même, je suis Calaisienne », lance-t-elle.
À la suite de l’incendie, elle, sa fille et sa belle-fille se sont rendues à l’association de réinsertion calaisienne Mahra – Le Toit. « On nous a proposé de vivre dans un immeuble, également prévu pour les demandeurs d’asile. J’ai tout perdu à cause des migrants, je ne pouvais pas », précise la commerçante.
En attendant de trouver une situation immobilière stable, la commerçante a retrouvé un autre emploi au Sixties, une brasserie située rue de la Mer. « Mon brasseur m’a appelée, m’a parlé de cette affaire. Ma fille est devenue propriétaire des lieux et je suis devenue salariée. C’est déjà ça ».
http://www.lavoixdunord.fr/31067/ar...e-demande-dedommagement-apres-la-fermeture-de
Petites précisions sur Valérie Gloriant, la Calaisienne "pas raciste" invitée hier dans L'émissionPolitique.
Elle s'est présentée comme une restauratrice devenue chômeuse et SDF à cause des migrants :
" En 2013, 700 migrants sont arrivés place Henri-Barbusse. Lors du démantèlement, tout a été clôturé, autrement dit le parking. Résultat, les routiers, mes principaux clients, ne pouvaient plus venir », explique-t-elle."
" Le 29 juin 2016, Valérie Gloriant voit l’appartement où elle vivait avec sa belle-fille brûler. « J’ai perdu mon premier logement à cause de la pression migratoire et là, un autre logement brûle. Depuis, on vit dans une chambre d’hôtel payé par l’assurance. Ça ne peut pas durer éternellement », soupire-t-elle en réitérant son appel du pied à la municipalité. « J’aimerais au moins récupérer un logement. J’estime y avoir droit tout de même, je suis Calaisienne », lance-t-elle.
À la suite de l’incendie, elle, sa fille et sa belle-fille se sont rendues à l’association de réinsertion calaisienne Mahra – Le Toit. « On nous a proposé de vivre dans un immeuble, également prévu pour les demandeurs d’asile. J’ai tout perdu à cause des migrants, je ne pouvais pas », précise la commerçante.
En attendant de trouver une situation immobilière stable, la commerçante a retrouvé un autre emploi au Sixties, une brasserie située rue de la Mer. « Mon brasseur m’a appelée, m’a parlé de cette affaire. Ma fille est devenue propriétaire des lieux et je suis devenue salariée. C’est déjà ça ».
http://www.lavoixdunord.fr/31067/ar...e-demande-dedommagement-apres-la-fermeture-de