Salam les bladibeaux.
Je pense qu'on est tous dépendants, c'est le quotidien c'est dans la nature humaine, y'a du choix, de la facilité, des circonstances atténuantes pour être dépendant de quelque chose.
Que ce soit la nicotine, le sucre, un game, parier, le sexe, autres drogues, c'est important de prendre le temps de se dire que ce n'est pas rien, même si ce n'est pas une fatalité.
Prendre du recul, savoir POURQUOI "je vais commettre un meurtre si j'ai pas ma dose", "j'ai besoin de craquer", "faut que je me lâche", etc c'est primordial pour que ça ne devienne pas une fatalité.
Pouvoir en parler aussi, y'a rien de pire que d'imaginer qu'on est une petite
seule dans son coin et que ça regarde personne.
Le concept touche tout le monde, quel que soit la dépendance, c'est un piège qui enferme sa proie, l'isole dans l'illusion que tout va bien, alterne acide et baume sur la plaie.
-quand ça à commencé
-quand ça à augmenté
-est-ce que c'est constructif pour moi de clore le débat en me disant que ce n'est pas de ma faute
-qu'est-ce que j'ai fait/pas fait pour que ça devienne de ma faute
-qu'est-ce que je peut cibler petit à petit comme changements pour sortir de la spirale.
Ce n'est pas possible d'arrêter de dépendre de quelque chose de manière nette et définitive d'un coup, c'est vrai que l'entourage ne le comprends pas, ils ne peuvent pas juste avec de belles intentions transmettre leur volonté, pourtant, il ne faut pas s'isoler.
Il faut accepter de voir l'image qu'on renvoie. Bien en face. Porter ses cacahuètes quoi.
Le début du changement il est là, on en est tous capables, et on le vaut tous. Sauf Macron évidemment.
Ce sujet est volontairement abstrait et à pour but de faire réfléchir, il est ouvert aux points de vus
Je pense qu'on est tous dépendants, c'est le quotidien c'est dans la nature humaine, y'a du choix, de la facilité, des circonstances atténuantes pour être dépendant de quelque chose.
Que ce soit la nicotine, le sucre, un game, parier, le sexe, autres drogues, c'est important de prendre le temps de se dire que ce n'est pas rien, même si ce n'est pas une fatalité.
Prendre du recul, savoir POURQUOI "je vais commettre un meurtre si j'ai pas ma dose", "j'ai besoin de craquer", "faut que je me lâche", etc c'est primordial pour que ça ne devienne pas une fatalité.
Pouvoir en parler aussi, y'a rien de pire que d'imaginer qu'on est une petite

Le concept touche tout le monde, quel que soit la dépendance, c'est un piège qui enferme sa proie, l'isole dans l'illusion que tout va bien, alterne acide et baume sur la plaie.
-quand ça à commencé
-quand ça à augmenté
-est-ce que c'est constructif pour moi de clore le débat en me disant que ce n'est pas de ma faute
-qu'est-ce que j'ai fait/pas fait pour que ça devienne de ma faute
-qu'est-ce que je peut cibler petit à petit comme changements pour sortir de la spirale.
Ce n'est pas possible d'arrêter de dépendre de quelque chose de manière nette et définitive d'un coup, c'est vrai que l'entourage ne le comprends pas, ils ne peuvent pas juste avec de belles intentions transmettre leur volonté, pourtant, il ne faut pas s'isoler.
Il faut accepter de voir l'image qu'on renvoie. Bien en face. Porter ses cacahuètes quoi.
Le début du changement il est là, on en est tous capables, et on le vaut tous. Sauf Macron évidemment.
Ce sujet est volontairement abstrait et à pour but de faire réfléchir, il est ouvert aux points de vus
