les différentes associations au maroc en aide aux femmes et enfants

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Au maroc les personnes qui veulent s'en sortir auront toujours une issue hamdoulleh



Soutenue par le roi Mohammed VI, qui a fait un don personnel à son association, la septuagénaire a été consultée pour modifier la loi sur l’avortement
CASABLANCA, Maroc – Aïcha Ech-Chenna est toujours debout. À 77 ans, elle a connu la dépression, les menaces et le cancer. Mais pas de quoi entamer sa détermination. Quand elle était malade, elle s’est adressée à « Dieu ».

« Je lui ai promis que je consacrerai un quart du temps qui me reste à vivre à ma famille, et les trois-quarts restants à ma mission de défense des enfants nés hors mariage », confie-t-elle à Middle East Eye.

Après soixante ans à œuvrer dans le social, dont la moitié consacrée à l’aide aux mères célibataires, l’illustre militante marocaine continue de travailler et de donner des conférences avec la même opiniâtreté.

« Même si je me déplace avec une canne, je donne tout ce que je peux. Je parcours toujours les villes pour rencontrer des jeunes, parler des lois qui doivent changer. Car j’ai toujours peur du retour de bâton », dit-elle.

 


A Tanger, presque toute l’aide de l’Etat est fournie par l’Entraide nationale. L’institution a mis en place un programme spécifique aux mineurs vivant dans la rue, gère deux établissements de protection sociale et un complexe social, Assadaka, qui accueille plus de 400 enfants en difficulté. La directrice régionale de l’Entraide, Zineb Oulhajen, avoue que toutes les initiatives « ne suffisent pas » : « Beaucoup d’enfants ne coopèrent pas et on ne peut pas les obliger à venir dans nos centres. C’est un travail de longue haleine. » Elle est néanmoins optimiste : « Si vous aviez vu le Tanger d’il y a dix, vingt ans… Les efforts et les progrès ont été énormes ces dernières années. Le nombre d’initiatives sociales a quadruplé, notamment pour la création de structures sociales dans les quartiers périphériques. »

A l’atelier de couture du centre, Myriam, 17 ans, s’entraîne à confectionner un pantalon sous l’œil de la formatrice. Depuis quatre ans, elle qui n’a « rien appris à l’école » se rend dès qu’elle peut à Darna : « Mes parents ont divorcé, mon père s’est remarié et ne s’intéresse pas à moi. Ma mère, seule, n’a pas les moyens de s’occuper de moi. » Sans l’association, elle serait « allée dans la rue ».


Pour les adolescents déjà installés dans la rue, l’espoir est mince. Les dommages occasionnés par la colle sur le long terme sont graves et ceux qui ont quitté l’école dès le primaire pourront difficilement se réinsérer. Omar, qui traîne depuis quatre ans dans le quartier d’Iberia, une profonde cicatrice sur le front, ne rêve que d’Espagne. Mais il a perdu sa force et sa volonté dans la drogue, qu’il prend, dit-il, « pour se perdre ».
 

Aider les enfants des rues de Taroudant​

Maroc Ahli

L’association Ahli vient en aide aux enfants et aux jeunes en rupture avec leur famille qui vivent dans la rue à Taroudant.

L’équipe mobile composée d’éducateurs de rue expérimentés assure une présence régulière sur le terrain à travers des maraudes effectuées sur les lieux d’activité des enfants et des jeunes en rupture. Ses interventions se basent principalement sur deux actions :

  1. Programme « INKAD »
    L’équipe mobile va à la rencontre de son public cible six jours par semaine à partir de 19h à l’aide d’une voiture bien équipée (premiers soins, outils de prévention …)
  2. Programme « ANAFINE »
    Les éducateurs de rue sur motocycles vont chacun de leur côté dans les quartiers et points noirs de Taroudant. Ils complètent le travail effectué en voiture en intervenant dans les zones les moins accessibles.
Les actions de ces équipes sont

  • préventives : support, accompagnement, médiation ;
  • de service : sensibilisation, orientation, information, écoute, distribution de produits alimentaires, de vêtements, de matériel socio-sanitaire.
Au cours de ces dernières années, l’équipe de travail de rue a suivi diverses formations pour renouveler les approches et améliorer la qualité des interventions.

En 2015, 1200 interventions ont été effectuées, parmi lesquelles 612 actions de prévention et 583 actions de service.

La Fondation a financé en 2016

  • la totalité des formations,
  • la moitié des salaires et charges sociales,
  • la totalité des frais de fonctionnement des véhicules,
  • une partie de l’aide vestimentaire, la totalité des médicaments et la moitié des sommes allouées au soutien des familles.
Le reste du budget est financé notamment par des subventions du ministère de la Solidarité.


 
Le Maroc doit garder ses enfants sur son sol et pas les envoyer en galère en Europe. c'est une honte et contraire aux droits des enfants que le Maroc a signé.
Sinon, il faut que les marocains arrêtent de faire des gosses.
Evidemment, il ne faut pas généraliser car c'est un problème de pauvreté et d’ignorance malheureusement.!!!!
 
Le Maroc doit garder ses enfants sur son sol et pas les envoyer en galère en Europe. c'est une honte et contraire aux droits des enfants que le Maroc a signé.
Sinon, il faut que les marocains arrêtent de faire des gosses.
tu dira ça aussi à ton pays de garder ses enfants de pas les envoyer galérer en europe en transitant par le maroc
 
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