Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Général
Les différentes technologies utilisées pour les projets de vaccins contre le Covid-19
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="REvil, post: 17030978, member: 397313"] [SIZE=6][B]4 Les vaccins à vecteurs viraux [ATTACH type="full"]271209[/ATTACH][/B][/SIZE] Cette technique a notamment contribué à mettre un terme à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l'Ouest, fin 2014. Cette fois, l'idée est "d’intégrer à un virus déjà existant [le bout de] séquence génétique du Sars-CoV-2 permettant de coder la protéine S", résume Paul Loubet. Il faut d'abord retirer les séquences génétiques qui codent les fonctions pathogènes du virus désigné (par exemple le virus de la rougeole), afin de le rendre inoffensif. Bien qu'amoindri, ce virus pourra toujours entrer dans les cellules. A la manière d'un cheval de Troie, il transportera avec lui la portion de code du Sars-CoV-2 permettant à la cellule humaine de produire, en réaction, la protéine recherchée. Qui le protégera ensuite du Covid-19. On parle de vecteur viral "non réplicatif" quand le virus choisi pour le transport a été atténué de manière à ne plus pouvoir se répliquer dans les cellules. Mais "l’une des grandes questions, ici, c’est de savoir si l’efficacité de la réponse immunitaire peut être atténuée, lorsque le vaccin utilise un vecteur viral auquel l’organisme a déjà été exposé", explique Paul Loubet. En effet, si le corps a déjà été en contact avec le virus utilisé pour le transport, l'infection des cellules pourrait être limitée, ce qui rendrait le vaccin inefficace. Les laboratoires AstraZeneca ou Johnson & Johnson, par exemple, ont contourné cette difficulté en travaillant avec des virus animaux – des adénovirus de chimpanzés ; d'autres utilisent le virus de la stomatite vésiculaire du bétail (VSV). La stratégie nécessite un travail sur les gènes de deux virus différents, mais ensuite, elle est proche de celle des vaccins dits "inactivés". "Le développement d’une immunité contre le vecteur viral pourrait diminuer l’efficacité de la deuxième dose de vaccin", souligne toutefois Paul Loubet, qui attend donc davantage de données des essais en cours. Jeudi 26 novembre, le directeur général d'AstraZeneca, Pascal Soriot, expliquait lui-même que son vaccin "nécessitait une étude supplémentaire" pour en valider l'efficacité. Par ailleurs, le candidat vaccin d'AstraZeneca est plus long à produire que ceux de Pfizer et Moderna. Mais il présente l'avantage d'être plus facile à stocker, car il n'a pas besoin d'être conservé à très basse température. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Général
Les différentes technologies utilisées pour les projets de vaccins contre le Covid-19
Haut