salam
Elles se préservent face à toute concurrence
Depuis quelque temps, avec l’arrivée en masse des grandes surfaces, on est en droit de se poser la question de savoir si le glas n’a pas sonné pour les petites épiceries de quartier de notre enfance. Apparemment, ces dernières ont la peau dure et font de la résistance.
Elles continuent malgré tout à faire partie de notre quotidien. Comment arrivent-elles à survivre ?
Certes faire ses emplettes dans les grandes surfaces s’inscrit dans l’air du temps. Les fins de mois notamment, la longue queue de caddies remplis à profusion devant les caisses de supermarchés en attestent.
Est-ce à dire que les commerces de proximité, notamment les épiceries chôment? Loin s’en faut Ils font tout pour préserver leur part du gâteau
Ali qui tient un commerce à Agdal le confirme: «Il y a plus de trente ans que je gère ce commerce que je tiens d’ailleurs de mon père. Je puis vous assurer que la valeur de notre fonds de commerce, c’est avant tout la relation que nous tissons avec notre clientèle.
Et au fil du temps, cela va au-delà des seuls intérêts économiques». Des propos que partage un client: «Il est vrai que le relationnel compte beaucoup. Des contacts chaleureux qui se perdent malheureusement dans les grandes surfaces».
Et puis autre avantage et qui contribue à la survie de ces commerces, c’est la proximité. Cela fait le bonheur de tous comme en témoigne cette cliente : «Je fais les grosses courses au supermarché mais, pour les emplettes de tous les jours, c’est ici que je m’approvisionne». Et d’ajouter : «Un autre atout, c’est la disponibilité.
L’épicerie près de chez moi est ouverte à 7h et à 23h, ils sont encore là. C’est bien pratique en cas d’urgence notamment pour la butane de gaz». Tout est fait pour fidéliser le client, répondre à la moindre de ses doléances. Dans ce sens, Ali fait même la livraison à domicile: «Juste un coup de fil et les provisions sont livrées aussitôt», confirme-t-il.
http://www.libe.ma/Les-epiceries-du-quartier-ont-la-peau-dure_a34612.html
Elles se préservent face à toute concurrence
Depuis quelque temps, avec l’arrivée en masse des grandes surfaces, on est en droit de se poser la question de savoir si le glas n’a pas sonné pour les petites épiceries de quartier de notre enfance. Apparemment, ces dernières ont la peau dure et font de la résistance.
Elles continuent malgré tout à faire partie de notre quotidien. Comment arrivent-elles à survivre ?
Certes faire ses emplettes dans les grandes surfaces s’inscrit dans l’air du temps. Les fins de mois notamment, la longue queue de caddies remplis à profusion devant les caisses de supermarchés en attestent.
Est-ce à dire que les commerces de proximité, notamment les épiceries chôment? Loin s’en faut Ils font tout pour préserver leur part du gâteau
Ali qui tient un commerce à Agdal le confirme: «Il y a plus de trente ans que je gère ce commerce que je tiens d’ailleurs de mon père. Je puis vous assurer que la valeur de notre fonds de commerce, c’est avant tout la relation que nous tissons avec notre clientèle.
Et au fil du temps, cela va au-delà des seuls intérêts économiques». Des propos que partage un client: «Il est vrai que le relationnel compte beaucoup. Des contacts chaleureux qui se perdent malheureusement dans les grandes surfaces».
Et puis autre avantage et qui contribue à la survie de ces commerces, c’est la proximité. Cela fait le bonheur de tous comme en témoigne cette cliente : «Je fais les grosses courses au supermarché mais, pour les emplettes de tous les jours, c’est ici que je m’approvisionne». Et d’ajouter : «Un autre atout, c’est la disponibilité.
L’épicerie près de chez moi est ouverte à 7h et à 23h, ils sont encore là. C’est bien pratique en cas d’urgence notamment pour la butane de gaz». Tout est fait pour fidéliser le client, répondre à la moindre de ses doléances. Dans ce sens, Ali fait même la livraison à domicile: «Juste un coup de fil et les provisions sont livrées aussitôt», confirme-t-il.
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