Je continue de penser que le féminisme est le mouvement CLÉ qui a sapé le succès de la culture occidentale. Leur fanatisme a conduit à la destruction de la famille nucléaire (le facteur le plus important dans une nation saine). Elles ont contribué à faciliter l’effondrement quasi total de l’Occident et ce problème doit être résolu avant qu’il ne soit trop tard.
Je suis récemment tombé sur un article du New York Times qui explique le déclin des relations occidentales d’une manière à la fois hilarante et déprimante. L’essai s’intitule «Men, Where Have You Gone ? Please Come Back» (Hommes, où êtes-vous passés ? Revenez, s’il vous plaît). L’auteur (une femme d’une cinquantaine d’années originaire de Chicago) se souvient de l’époque où les hommes étaient des proies faciles pour les femmes.
«Nous savions ce qui marchait. Nous savions comment mettre en valeur un visage, un geste, un moment d’implication, juste assez pour enflammer l’imagination et ouvrir le portefeuille. J’ai fini par comprendre exactement quels sont les signaux qui attirent les hommes hétérosexuels cisgenres âgés de 18 à 36 ans. Ce qui les attire. Ce qui les fait revenir. Ce n’est pas l’intimité. Ce n’est pas la réciprocité. C’est l’accès à une simulation propre, rapide et sans friction (…) Cette dynamique s’est discrètement effondrée. Nous sommes entrés dans une ère où de nombreux hommes ne recherchent plus les femmes pour impressionner d’autres hommes ou pour créer des liens malgré leurs différences. Ils se défoulent ailleurs. Seuls. Ils nous ont éliminées».
Je suis récemment tombé sur un article du New York Times qui explique le déclin des relations occidentales d’une manière à la fois hilarante et déprimante. L’essai s’intitule «Men, Where Have You Gone ? Please Come Back» (Hommes, où êtes-vous passés ? Revenez, s’il vous plaît). L’auteur (une femme d’une cinquantaine d’années originaire de Chicago) se souvient de l’époque où les hommes étaient des proies faciles pour les femmes.
«Nous savions ce qui marchait. Nous savions comment mettre en valeur un visage, un geste, un moment d’implication, juste assez pour enflammer l’imagination et ouvrir le portefeuille. J’ai fini par comprendre exactement quels sont les signaux qui attirent les hommes hétérosexuels cisgenres âgés de 18 à 36 ans. Ce qui les attire. Ce qui les fait revenir. Ce n’est pas l’intimité. Ce n’est pas la réciprocité. C’est l’accès à une simulation propre, rapide et sans friction (…) Cette dynamique s’est discrètement effondrée. Nous sommes entrés dans une ère où de nombreux hommes ne recherchent plus les femmes pour impressionner d’autres hommes ou pour créer des liens malgré leurs différences. Ils se défoulent ailleurs. Seuls. Ils nous ont éliminées».