salam
Elles ne représentent que 28% du corps journalistique national
«Laccès aux postes de responsabilité », « les conditions de travail », et « le harcèlement », tels sont les principaux objectifs de la journée détude organisée, hier à Casablanca, par le Réseau des femmes journalistes du Maroc (RFJ) en partenariat avec le ministère de la Communication, sous le thème «La place de la femme journaliste dans le paysage médiatique ».
Lors de son intervention, Bahia El Amrani, membre de la Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ), a déploré la faible présence des femmes au sein des instances dirigeantes de cette Fédération. « Est-ce que la FMEJ respecte le principe dégalité ? La réponse est malheureusement négative.
La raison est simple : la Fédération comprend 70 éditeurs, mais seulement deux femmes qui président deux sociétés». Elle sest lamentée également de la présence dune seule femme au gouvernement Benkirane.
Et dajouter que la volonté politique et les lois ne suffiusent pas pour occuper des postes de responsabilité, mais exigent aussi des compétences et des ambitions personnelles des femmes à vouloir y accéder.
Pour sa part, Asmaa Lamrani, représentante de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), a présenté les résultats dune étude sur la présence de la femme dans les médias. Elle a souligné que 42 % des programmes des deux chaînes de télévision sont présentés par des femmes, tandis que 58 % sont du ressort des hommes. Concernant les radios privées, seulement 32 % des programmes sont présentés par des femmes contre 68 % par des hommes.
http://www.libe.ma/Les-femmes-parent-pauvre-du-journalisme_a35651.html
Elles ne représentent que 28% du corps journalistique national
«Laccès aux postes de responsabilité », « les conditions de travail », et « le harcèlement », tels sont les principaux objectifs de la journée détude organisée, hier à Casablanca, par le Réseau des femmes journalistes du Maroc (RFJ) en partenariat avec le ministère de la Communication, sous le thème «La place de la femme journaliste dans le paysage médiatique ».
Lors de son intervention, Bahia El Amrani, membre de la Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ), a déploré la faible présence des femmes au sein des instances dirigeantes de cette Fédération. « Est-ce que la FMEJ respecte le principe dégalité ? La réponse est malheureusement négative.
La raison est simple : la Fédération comprend 70 éditeurs, mais seulement deux femmes qui président deux sociétés». Elle sest lamentée également de la présence dune seule femme au gouvernement Benkirane.
Et dajouter que la volonté politique et les lois ne suffiusent pas pour occuper des postes de responsabilité, mais exigent aussi des compétences et des ambitions personnelles des femmes à vouloir y accéder.
Pour sa part, Asmaa Lamrani, représentante de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), a présenté les résultats dune étude sur la présence de la femme dans les médias. Elle a souligné que 42 % des programmes des deux chaînes de télévision sont présentés par des femmes, tandis que 58 % sont du ressort des hommes. Concernant les radios privées, seulement 32 % des programmes sont présentés par des femmes contre 68 % par des hommes.
http://www.libe.ma/Les-femmes-parent-pauvre-du-journalisme_a35651.html