Par Robert Inlakesh
Comme cela a toujours été le cas, la Palestine est le test décisif, et Damas, jusqu’à présent, a échoué de manière spectaculaire.
Les médias israéliens rapportent ces jours-ci que des discussions avancées sont en cours entre les dirigeants de Damas et de Tel-Aviv en vue de parvenir à un accord de normalisation, qui, selon l’administration Trump, pourrait également s’étendre à d’autres pays arabes.
Après l’échec de la guerre contre l’Iran, ce serait un succès qui tomberait à point nommé pour Israël.
Le « président » syrien, Ahmed al-Shara’a, a ouvertement admis avoir négocié avec les Israéliens sur des questions de « sécurité » et, depuis la première semaine de la prise du pouvoir par son administration, les membres dirigeants de son gouvernement ont non seulement fait allusion à une normalisation, mais, dans le cas du nouveau maire de Damas, Maher Marwan, l’ont explicitement réclamée.
Au fil des mois, nous avons appris qu’Israël et la Syrie avaient engagé une série de négociations, dont au moins une aurait été directe, et que les deux délégations avaient partagé un repas autour d’une même table.
En outre, des journalistes israéliens qui étaient auparavant interdits de territoire syrien ont été autorisés à couvrir l’actualité depuis Damas.
Dans un cas, un journaliste israélien a tourné un documentaire avec l’aide des nouvelles forces de sécurité syriennes, qui lui ont fait visiter des sites militaires, lui ont montré des documents autrefois classifiés et lui ont fait découvrir l’ambassade iranienne aujourd’hui désertée.
L’agence de presse officielle syrienne SANA a même ouvert un site web en hébreu. Alors que presque tous les pays de la région ont condamné la récente attaque surprise d’Israël contre l’Iran, la Syrie est restée silencieuse et n’a même pas protesté auprès des Nations unies contre l’utilisation de son espace aérien pour lancer des frappes contre les Iraniens.
Pourtant, lorsque Téhéran a riposté contre la base aérienne américaine d’al-Ubeid au Qatar, Damas l’a immédiatement condamnée. Plus accablants encore sont les rapports publiés dans les médias israéliens, notamment sur la chaîne hébraïque Channel 12, selon lesquels des responsables syriens auraient approuvé l’utilisation de leur espace aérien pour attaquer l’Iran.
Jeudi, presque tous les médias israéliens ont rapporté que les négociations entre la Syrie et Israël étaient à un stade avancé. Yediot Aharonot a même rapporté, citant ses sources, que l’accord de normalisation sur la table inclurait la reconnaissance officielle par la Syrie de la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan occupé illégalement........
www.chroniquepalestine.com
Comme cela a toujours été le cas, la Palestine est le test décisif, et Damas, jusqu’à présent, a échoué de manière spectaculaire.
Les médias israéliens rapportent ces jours-ci que des discussions avancées sont en cours entre les dirigeants de Damas et de Tel-Aviv en vue de parvenir à un accord de normalisation, qui, selon l’administration Trump, pourrait également s’étendre à d’autres pays arabes.
Après l’échec de la guerre contre l’Iran, ce serait un succès qui tomberait à point nommé pour Israël.
Le « président » syrien, Ahmed al-Shara’a, a ouvertement admis avoir négocié avec les Israéliens sur des questions de « sécurité » et, depuis la première semaine de la prise du pouvoir par son administration, les membres dirigeants de son gouvernement ont non seulement fait allusion à une normalisation, mais, dans le cas du nouveau maire de Damas, Maher Marwan, l’ont explicitement réclamée.
Au fil des mois, nous avons appris qu’Israël et la Syrie avaient engagé une série de négociations, dont au moins une aurait été directe, et que les deux délégations avaient partagé un repas autour d’une même table.
En outre, des journalistes israéliens qui étaient auparavant interdits de territoire syrien ont été autorisés à couvrir l’actualité depuis Damas.
Dans un cas, un journaliste israélien a tourné un documentaire avec l’aide des nouvelles forces de sécurité syriennes, qui lui ont fait visiter des sites militaires, lui ont montré des documents autrefois classifiés et lui ont fait découvrir l’ambassade iranienne aujourd’hui désertée.
L’agence de presse officielle syrienne SANA a même ouvert un site web en hébreu. Alors que presque tous les pays de la région ont condamné la récente attaque surprise d’Israël contre l’Iran, la Syrie est restée silencieuse et n’a même pas protesté auprès des Nations unies contre l’utilisation de son espace aérien pour lancer des frappes contre les Iraniens.
Pourtant, lorsque Téhéran a riposté contre la base aérienne américaine d’al-Ubeid au Qatar, Damas l’a immédiatement condamnée. Plus accablants encore sont les rapports publiés dans les médias israéliens, notamment sur la chaîne hébraïque Channel 12, selon lesquels des responsables syriens auraient approuvé l’utilisation de leur espace aérien pour attaquer l’Iran.
Jeudi, presque tous les médias israéliens ont rapporté que les négociations entre la Syrie et Israël étaient à un stade avancé. Yediot Aharonot a même rapporté, citant ses sources, que l’accord de normalisation sur la table inclurait la reconnaissance officielle par la Syrie de la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan occupé illégalement........

Les masques tombent ! Israël et Daech normalisent leurs relations !
Comme cela a toujours été le cas, la Palestine est le test décisif, et Damas, jusqu'à présent, a échoué de manière spectaculaire.
