NowHereMan
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Il me faut plutôt une ménagère et une cuistot ? Ca te tente ?
La cuisine et le ménage c'est du perte du temps. A chaque fois il faut recommencer. Je préfère être maçon, un bâtisseur quoi mdrrr
Il me faut plutôt une ménagère et une cuistot ? Ca te tente ?
C'est vrai que ce n'est pas gratifiant mais smehlia ma 3andi ma ntela3La cuisine et le ménage c'est du perte du temps. A chaque fois il faut recommencer. Je préfère être maçon, un bâtisseur quoi mdrrr
La cuisine et le ménage c'est du perte du temps. A chaque fois il faut recommencer. Je préfère être maçon, un bâtisseur quoi mdrrr
Bonjour
Voilà, que pensez-vous des moutazilites?
Peut-on être moutazilite aujourd'hui?
Je prends jamais de douche, j'attends les vacances pour me laver au hammam au Maroc.Arrête de prendre ta douche si on part de là. Chaque jour il faut recommencer.
Ça n'est pas la philosophie dite illuminative! J'aime cet effort louable de ces grands philosophes mystiques comme Sohrawardi l'emblème de la philosophie illuminative,Bien que mes positions théologiques soient plus souvent proches de l'ashaarisme version Al-Ghazali, il ne faut pas oublier que c'est le moutazilisme qui a ouvert la voie à la philosophie de la religion en islam et qu'il a été le catalyseur de toute cette tradition qu'était le kalam.
Je suis rarement d'accord avec leur conclusions mais je loue leur aptitude à poser les bonnes questions, une aptitude dont on a tant besoin aujourd'hui.
Toutefois, si on enlève cette étiquette de moutazilisme, on trouve bien une tradition parallèle qui s'est développé, bien plus tôt et bien plus tard, dans un creuset différent mais ayant les mêmes préoccupations : " la sagesse transcendante" (al hikma al mouta'aliya) chez les chiites, qui demeure une réflexion très féconde de nos jours.
Ça n'est pas la philosophie dite illuminative! J'aime cet effort louable de ces grands philosophes mystiques comme Sohrawardi l'emblème de la philosophie illuminative,
régale toi avec cette poésie de ce grand qui propulse l'âme dans le royaume de des vieux et de l'amour divin éternel :
À votre union exquise aspire l’âme éprise.
Elle en est l’ocre verre et l’odorante brise !
Les cœurs des soupirants, de vous révérer meurent ;
Ils ne trouvent repos qu’où votre effluve fleure.
Puisse envers ces amants le sort être clément,
Eux qui entretenaient l’ardeur ouvertement.
Car deux sortes d’amants contrastent, voyez-vous :
Les premiers nient l’amour et les autres l’avouent !
Qui bravement l’avoue, s’avine d’un crû pur,
Et, d’amour triomphant, ses feux point ne censure !
Mais qui défiant, le nie, s’avine d’un crû fade,
Et craint que du cristal la muscade s’évade !
Hélas, livrant l’amour, les amants se condamnent :
Âpre mort est promise à qui trahit l’arcane