Les Moutons de la colère.

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Difkoum
  • Date de début Date de début

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -
 
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -
Tu as raison je n'appelle pas fête des moments de galère.
 
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -


J'aime les fêtes. Toutes les fêtes. En particulier celles religieuses, qui me rapprochent de ma foi, de Allah. De grands moments de pure spiritualité. ;)
 
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -

Pareil ,j’aime pas les fêtes où on fait couler le sang 😕
 
Moi j'ai hâte demain in'sha'3Allah :love:

Famille :love: convivialité :love: partage :love: visiter les gens et accueillir :love: méchoui, tripes en sauce, foi et graisse en grillade miam :love:



.
Je peux presque comprendre que ce doit pas être très évident pour ceux qui rejettent tout cela mais qui n'assument pas le dire franco à leurs familles.. ils subissent une fête qu'ils désapprouvent et tout ce que ça occasionne peuchère... ils n'ont que bladi pour se défouler.. Je compatis presque..
.
 
Tu as raison je n'appelle pas fête des moments de galère.

Exact de plus ça devrait être un moment de partage de ce fameux mouton égorgé ,faire la saddaka d’une partie de cette viande aux nécessiteux par exemple mais c’est tout le contraire aujourd’hui,les croyants remplissent leurs frigo et se goinfrent de méchoui et de grillades pendant plusieurs jours sans penser aux voisins dans le besoin.

J’ai abandonné ce carnaval religieux y’a longtemps starfoullah 😁
 
vous êtes drôlement perspicace camarade,je ne vois qu'une critique très bien écrite,vous êtes un devin sans doute,avec boule de cristal personnelle.
Y a toujours une raison multifactorielle à une critique, à une rébellion contre sa culture , sa religion , ses us , traditions et coutumes. Aussi bien écrite soit la critique en question , elle a forcément des mobiles, entre autres psychologiques et souvent qui remontent à l'enfance, c'est le b-a-ba de la psychologie. Tout le monde le sait....pas besoin de boule de cristal ou mieux de kabbala. :D
 
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -

Je pense qu'il y a une haine des deux côtés... on devra faire du mieux qu'on peut (pour aider) et ne pas jouer le jeu de la haine mais de l'indifférence totale en société.
 
Exact de plus ça devrait être un moment de partage de ce fameux mouton égorgé ,faire la saddaka d’une partie de cette viande aux nécessiteux par exemple mais c’est tout le contraire aujourd’hui,les croyants remplissent leurs frigo et se goinfrent de méchoui et de grillades pendant plusieurs jours sans penser aux voisins dans le besoin.

J’ai abandonné ce carnaval religieux y’a longtemps starfoullah 😁
Je ne vais pas tuer une âme pour me rapprocher d'Allah je suis pas Satan.
 
"
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses "


Quel individu détestable....
Libre à lui de ne pas le fêter mais il devrait au moins nous épargner ce genre de couplets bien haineux
 
Ce mouton n'en peut plus lol

c'est malheureusement frequent . Chaque année c'est pareil. Les moutons sautenet du balcon.
Il faut pas les mettre la bas , c'est tout.
Nous on le mettait dans la salle de bain qd on etait petit. C'est pas ideal. Mais au moins il saute pas.
 
Je n'aime pas les fêtes, pas celles religieuses, où soudainement, obséquieuses, pitoyables, piteuses,
Nos bonnes gens deviennent pieux, font semblant d'être frères et soeurs, s'attifent de djellabas blanches, de babouches jaunes, de tarbouches rouges, et affublés de leurs grosses femmes toutes peinturlurées, dégoulinantes de bijoux en or, parées comme des cabarets d'antan les vieilles aguicheuses,
S'en vont trimbalant leurs insupportables, leurs diables d'avortons bellement décorés eux aussi à l'occasion, envahir leur prochain, affichant une mine heureuse,
Taisant une haine que trahissent des regards ou envieux, ou moqueurs, souvent inquisiteurs, des sourires papelards, des formules insipides, creuses ;

Pensez comme vous le voudrez, mais à sérieusement réfléchir à ces curieux soubresauts de bonne foi, de charité, de piété, mon esprit en est tout chamboulé !
Déjà, dans les pays musulmans, tout le monde crie famine, se plaint de la chéreté de la vie, se dit par ses créanciers de toutes parts harcelé,
Ensuite, si l'on suit leurs tendances superstitieuses, selon la religion, ce bêlier, on leur laisse le choix de l'égorger ou de l'épargner, de le tuer ou de lui laisser encore de paisibles heureux jours devant lui pour librement son amour de la vie bêler,
Enfin, lors même que ces pseudo-musulmans seraient sanguinaires, pointilleux quant au respect des rites séculaires, c'est aux pauvres, paraît-il, aux démunis, qu'en offrande devrait revenir la viande de la victime immolée ;

Mais, au lieu d'avec l'argent qui sert à son sadisme satisfaire aller résoudre les problèmes urgents, prioritaires,
Ils préfèrent, pour aux autres plaire, vendre pour ce faire leur télé, leur chambre à coucher, et leur frigidaire,
Exactement comme agissent ces pélerins fervents qui se battent presque pour courir toutes les économies de leur vie verser dans les coffres-forts des pétro-dollars archi-milliardaires,
Qui, sitôt la saison de religiosité finie, s'en iront dilapider cette manne du ciel dans les casinos, les lupanars, les bars du monde entier, après avoir pris bien soin au passage de payer les amerloques pour qu'ils brûlent leurs voisins musulmans, de lapider, de décapiter, de découper à la scie leurs brebis réfractaires ;

Et puis, comment se fait-il que ces mêmes pélerins, qui dans leurs pays d'origine, déplorent le manque de travail, d'équité sociale, de pain,
Soient soudain frappés de cécité dans ces lieux dits saints, où à un esclavage avilissant, rabaissant, déshumanisant, sont réduits, entre autres, les indonésiens, les pakistanais, les hindous, les bangladais, les éthiopiens, les philippins ?
Ou bien va-t-on encore dire, sur cet air idiot d'un garnement qu'on sait mentir, et qui persévère sans rougir, qu'il était écrit là-haut que, sur terre, il y aurait les riches et les pauvres, les géants et les nains ?

Au lieu d'aider à des routes, des écoles, des hôpitaux construire, les bigots s'en vont tout contents, tout fiers, payer cher leur soi-disant repentir,
Les apparences étant l'essence de ces ignorants qui depuis longtemps s'embourbent dans la décadence, cultivent l'art ignoble de la soumission aveugle, qui lâches, veules, fuyards, hypocrites jusqu'à la moelle épinière, leurs bourreaux continuent de bénir,
Et si je n'aime pas les fêtes, particulièrement celles religieuses, c'est parce qu'elles mettent à nu la schizophrénie des béni-oui-oui qui, dans leur propre souffrance, dans leur humiliation, semblent trouver du plaisir,
Mais voilà, je sais, mes amis, que vous avez d'autres moutons à fouetter, je ne vais plus rien ajouter, plus rien dire, et loup solitaire, dans ma tanière, je reviens me tapir...
- Mohammed Talbi -

De quel mouton parles tu ?
Ceux à 4 pattes ou ceux à 2 pattes :D
 
c'est malheureusement frequent . Chaque année c'est pareil. Les moutons sautenet du balcon.
Il faut pas les mettre la bas , c'est tout.
Nous on le mettait dans la salle de bain qd on etait petit. C'est pas ideal. Mais au moins il saute pas.

Chez nous a la maison on ramene le mouton a la maison un jour avant le sacrifice, comme ca on est tranquille un bon moment :)
 
Non je ne suis pas un troll mais tu as tendance à appeler troll ceux qui ne pensent pas comme toi.
seulement ceux qui se font appeler musulman et qui sont contre l'islam.
Rien à fiche que tu penses comme moi ou pas . Mais que tu te paies ma tete. NON.
 
Précise.
Je prétends ne pas supporter quoi?
Et j'encourage quoi?
Soit tu es limité intellectuellement soit tu fais preuve de mauvaise foi.
Tu prétends ne pas supporter qu'on abatte les animaux et pourtant tu consomme leur viande qui est issue de leur abattage. Par cette action tu encourage à continuer l'abattage que tu détestes tant.

Si après ça tu fais mine de pas comprendre, j'arrête de perdre mon temps avec toi car je pense que tu es un troll comme l'a dit une personne au-dessus.
 
Retour
Haut