La cité ocre abrite, du 18 au 20 mars, le premier Congrès des notaires du Maroc, organisé à l’initiative du Conseil national de l’ordre des notaires autour du thème « « Le notariat au service de la coopération euro-africaine ».
« Nous demandons clairement l’amendement de la loi 32-09 car la profession estime que son maintien, pour quelques années encore, fera du notariat marocain une profession sclérosée, incapable de s’adapter aux exigences de la modernité, alors que la modernité est au cœur de la société marocaine ». La formule est signée Es-Saïd Boujida, président du Congrès national des notaires, lors de l’ouverture, lundi à Marrakech, de sa première édition. Laquelle formule était adressé au ministre de la Justice, Mustapha Aujjar, présent lors lancement des travaux du Congrès, à l’image de Mustapha Fares, premier président de la Cour de cassation, Mohamed Abdennabaoui, procureur général du Roi près la Cour de cassation et Abdellatif Zaghnoun, patron de la CDG, entre autres.
« Nous demandons clairement l’amendement de la loi 32-09 car la profession estime que son maintien, pour quelques années encore, fera du notariat marocain une profession sclérosée, incapable de s’adapter aux exigences de la modernité, alors que la modernité est au cœur de la société marocaine ». La formule est signée Es-Saïd Boujida, président du Congrès national des notaires, lors de l’ouverture, lundi à Marrakech, de sa première édition. Laquelle formule était adressé au ministre de la Justice, Mustapha Aujjar, présent lors lancement des travaux du Congrès, à l’image de Mustapha Fares, premier président de la Cour de cassation, Mohamed Abdennabaoui, procureur général du Roi près la Cour de cassation et Abdellatif Zaghnoun, patron de la CDG, entre autres.
