Ce documentaire de la RTS, sur les origines du covid19, date de Juillet 2020. Peut‑être que depuis, de nouvelles informations ont données des réponses aux nombreuses inconnues, mais malgré ça, c’est le plus clair de ceux que j’ai put entendre à ce sujet.
Il semblait y avoir une hésitation entre chauve‑souris et pangolin, comme origine du virus. C’est en fait les deux, ou presque. Il vient probablement de la chauve souris, mais comme tous les virus dont les chauves souris sont porteuses, il faut un passage par une espèce intermédiaire pour expliquer une transmission aux humains ; le pangolin n’est pas l’origine du virus, mais l’espèce intermédiaire.
Plus exactement, le pangolin est la plus probable des espèces intermédiaires, mais il n’est pas certain non‑plus que ce soit bien le pangolin.
Les chauves‑souris ont une immunité hors‑normes, elles sont naturellement protégées contre beaucoup de virus, sans trop de réaction ni de fatigue. C’est cette résistance qui fait qu’elles sont des réservoirs à virus malgré elles. Leurs charges virales sont généralement faibles, mais pas inexistante et comme elles ne tombent pas malades, elles transportent les virus partout avec elle et peuvent les re‑déposer sur des fruits sauvages qu’elles ont grignoté, par exemple pour les frugivores.
La théorie du virus échappé d’un laboratoire est abordée et rapidement démentie. Cette théorie n’expliquerait de toutes manières pas tous les autres virus qui ont fini par atteindre les humains et à notre époque, ils sont nombreux.
À la date du reportage au moins, Juillet 2020, la Chine s’est montré très peu coopérative avec les chercheurs étrangers. Une chercheuse Chinoise qui aurait été bien placée pour répondre aux questions que le reste du monde se pose, a été réduite au silence par les autorités Chinoises ; elle n’a pas le droit de s’exprimer, et les autorités elles‑mêmes transmettent très peu d’information.
On apprend que si l’OMS est faible, c’est parce que les états l’ont voulu ainsi, pour ne pas avoir une organisation qui ait du pouvoir au point de pouvoir les critiquer. Ce n’est pas fameux …
Ceci, sous réserve qu’il n’y ait pas eu du nouveau depuis. Si par chance je trouve un reportage de la même qualité mais plus récent, je penserai à le rapporter.
La fin du documentaire aborde des questions comme le trafique d’animaux sauvages et encore après, fait un petit écart vers des questions écologiques, qui ne sont pas le sujet premier, mais qu’il est justifié d’aborder. Le reportage aborde ces questions seulement vers la fin et sans tenter de faire de propagande politique.
Il semblait y avoir une hésitation entre chauve‑souris et pangolin, comme origine du virus. C’est en fait les deux, ou presque. Il vient probablement de la chauve souris, mais comme tous les virus dont les chauves souris sont porteuses, il faut un passage par une espèce intermédiaire pour expliquer une transmission aux humains ; le pangolin n’est pas l’origine du virus, mais l’espèce intermédiaire.
Plus exactement, le pangolin est la plus probable des espèces intermédiaires, mais il n’est pas certain non‑plus que ce soit bien le pangolin.
Les chauves‑souris ont une immunité hors‑normes, elles sont naturellement protégées contre beaucoup de virus, sans trop de réaction ni de fatigue. C’est cette résistance qui fait qu’elles sont des réservoirs à virus malgré elles. Leurs charges virales sont généralement faibles, mais pas inexistante et comme elles ne tombent pas malades, elles transportent les virus partout avec elle et peuvent les re‑déposer sur des fruits sauvages qu’elles ont grignoté, par exemple pour les frugivores.
La théorie du virus échappé d’un laboratoire est abordée et rapidement démentie. Cette théorie n’expliquerait de toutes manières pas tous les autres virus qui ont fini par atteindre les humains et à notre époque, ils sont nombreux.
À la date du reportage au moins, Juillet 2020, la Chine s’est montré très peu coopérative avec les chercheurs étrangers. Une chercheuse Chinoise qui aurait été bien placée pour répondre aux questions que le reste du monde se pose, a été réduite au silence par les autorités Chinoises ; elle n’a pas le droit de s’exprimer, et les autorités elles‑mêmes transmettent très peu d’information.
On apprend que si l’OMS est faible, c’est parce que les états l’ont voulu ainsi, pour ne pas avoir une organisation qui ait du pouvoir au point de pouvoir les critiquer. Ce n’est pas fameux …
Ceci, sous réserve qu’il n’y ait pas eu du nouveau depuis. Si par chance je trouve un reportage de la même qualité mais plus récent, je penserai à le rapporter.
La fin du documentaire aborde des questions comme le trafique d’animaux sauvages et encore après, fait un petit écart vers des questions écologiques, qui ne sont pas le sujet premier, mais qu’il est justifié d’aborder. Le reportage aborde ces questions seulement vers la fin et sans tenter de faire de propagande politique.
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