salam
Dans trois mois tous les nécessiteux, quils soient pauvres ou appartenant à la classe moyenne, vont recevoir leur chèque de soutien pour les aider à supporter le renchérissement du coût de la vie. Le gouvernement Benkirane en a décidé ainsi dans un élan de générosité et de cadeau de Nouvel an.
Cest Mohamed Najib Boulif, le ministre des Affaires générales et de la Gouvernance, qui annonce la bonne nouvelle. Il reste à noter que cette largesse du gouvernement a un prix.
Où va-t-on trouver largent nécessaire pour satisfaire tous les indigents du Maroc ? Il est vrai que lon veut réformer la Caisse de compensation et pratiquer la vérité des prix. Ce qui veut dire que la farine, lhuile, le sucre, le gaz et dautres produits de première nécessité seront dorénavant vendus à leur juste prix.
De ce fait, léconomie ainsi réalisée ira en partie à ceux qui sont dans le besoin. En théorie, cela paraît trop beau. A-t-on déterminé le nombre de nécessiteux dans le pays ? Ils sont combien : 15 millions, 20 millions peut-être plus ? Quels sont les indicateurs sur lesquels nos éminents spécialistes gouvernementaux se sont appuyés pour fixer la masse de ceux à qui on doit remettre les bons alimentaires ?
http://www.libe.ma/La-bonne-nouvelle-_a33546.html
Dans trois mois tous les nécessiteux, quils soient pauvres ou appartenant à la classe moyenne, vont recevoir leur chèque de soutien pour les aider à supporter le renchérissement du coût de la vie. Le gouvernement Benkirane en a décidé ainsi dans un élan de générosité et de cadeau de Nouvel an.
Cest Mohamed Najib Boulif, le ministre des Affaires générales et de la Gouvernance, qui annonce la bonne nouvelle. Il reste à noter que cette largesse du gouvernement a un prix.
Où va-t-on trouver largent nécessaire pour satisfaire tous les indigents du Maroc ? Il est vrai que lon veut réformer la Caisse de compensation et pratiquer la vérité des prix. Ce qui veut dire que la farine, lhuile, le sucre, le gaz et dautres produits de première nécessité seront dorénavant vendus à leur juste prix.
De ce fait, léconomie ainsi réalisée ira en partie à ceux qui sont dans le besoin. En théorie, cela paraît trop beau. A-t-on déterminé le nombre de nécessiteux dans le pays ? Ils sont combien : 15 millions, 20 millions peut-être plus ? Quels sont les indicateurs sur lesquels nos éminents spécialistes gouvernementaux se sont appuyés pour fixer la masse de ceux à qui on doit remettre les bons alimentaires ?
http://www.libe.ma/La-bonne-nouvelle-_a33546.html