Les tatouages traditionnels berbère se perd à cause de l'islam

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion hajjesus
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un dauphin à 20 ans qui devient une baleine à 40 ...

c'est juste débile de se marquer le corps ! le tatouage sert à marquer l'appartenance à un groupe, regarde les yakusa , c'est de l'art ! mais ça reste un signe d'appartenance ...

faire un tatouage pour un effet de mode c'est stupide quand la mode est passé et que ça ne représente plus grand chose ...
1) un dauphin ne devient jamais une baleine....:eek:
2) qui es tu pour juger les gens de stupide pour se faire un tatouage? Ou pour faire autre chose... comme se raser la tête, laisser pousser une moustache, s'habiller en couleurs que tu n'aimes pas, porter des mini jupes, des bikinis, la liste est infinie, mais toi tu te permet de juger.... Bazzz
 
Ibn Mas’ud (رضي الله عنه) rapporte : « Qu’Allah maudisse celles qui font les tatouages ainsi que celles qui se font tatouer, celles qui se font épiler les sourcils, celles qui se font limer les dents par coquetterie, altérant ainsi la création d’Allah. » Une femme lui reprocha ces propos tenus. Il dit alors : « Et pourquoi ne maudirais-je pas ceux que le Prophète ﷺ a maudits alors qu’il est mentionné dans le Livre d’Allah : {Et ce que le Prophète vous donne, prenez-le! et ce qu’il vous interdit, abstenez-vous en !} (Coran 59/7) » [Bukhari et Muslim, riyad as-salihin n° 1645]

عن ابن مسعود رضي الله عنه قال‏:‏ لعن الله الواشمات والمستوشمات والمتنمصات والمتفلجات بالحسن، المغيرات خلق الله‏!‏ فقالت له امرأة في ذلك فقال‏:‏ وما لي لا ألعن من لعنه رسول الله صلى الله عليه وسلم وهو في كتاب الله‏؟‏‏!‏ قال الله تعالى‏:‏ ‏{‏وما آتاكم الرسول فخذوه وما نهاكم عنه فانتهوا‏}‏ ‏(‏‏(‏الحشر‏:‏٧)‏‏)‏‏.‏‏(‏‏‏متفق عليه‏، كتاب رياض الصالحين ١٦٤٥)

La circoncision, non obligatoire chez l'Imam Malik, c'est pas une altération de la création d'Allah ? On retire le prépuce non ?

Les Musulmans du XXIème siècle se veulent plus musulmans alors qu'au XXème sle, soit plus de 14 sle après l'avènement de l'Islam, les Berbères ornaient leur corps de tatouages à base de cendre.

Il faudrait relire les textes des premiers colons français, notamment Bertholon, qui considérait, comme un idiot inculte, que ces tatouages étaient la marque du primitivisme des peuplades autochtones dans le Maghreb. S'ils vivaient en Europe au XXIème sle, il s'étonnerait de l'obsession tatouage dans tout le monde occidental. Comme quoi, tout est question d'époque. Certains Musulmans, qui croient redécouvrir leur religion, se veulent plus royalistes que le roi. C'est tristement pathétique cette fermeture d'esprit. Et inquiétant.

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1) un dauphin ne devient jamais une baleine....:eek:
2) qui es tu pour juger les gens de stupide pour se faire un tatouage? Ou pour faire autre chose... comme se raser la tête, laisser pousser une moustache, s'habiller en couleurs que tu n'aimes pas, porter des mini jupes, des bikinis, la liste est infinie, mais toi tu te permet de juger.... Bazzz

t'as quoi contre les gens stupides ?
 
Je crois que my 2 grandmothers
faisaient partie d’un gang latino et qu’elles se sont planquées dans les montagnes de l’Atlas .



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Dans l'Atlas marocain, les tatouages qui ornent les visages et les mains des femmes berbères, autrefois considérés comme des signes de beauté et d'appartenance à une tribu, sont une tradition qui se perd sous l'influence de la modernité et des interprétations religieuses.​


"Quand j'avais six ans, on nous expliquait que les tatouages étaient de jolies décorations. Nous utilisions du charbon pour les dessiner sur nos visages, ensuite nous allions voir une femme spécialisée qui utilisait une aiguille pour piquer le dessin jusqu'à ce que le sang sorte", se remémore Hannou Mouloud, 67 ans, dans le village de montagne d'Imilchil, à environ 400 km à l'est de Rabat.

"Puis nous nettoyions la plaie quotidiennement avec une herbe verte mâchée jusqu'à ce que le tatouage soit formé", poursuit-elle en montrant à l'AFP la discrète ligne verte sur son menton.

"Nous, petites filles, ne pouvions retenir nos larmes. Chaque mère serrait sa fille dans ses bras, essayant de la consoler jusqu'à ce que le tatouage soit terminé. C'est une tradition que nos parents nous ont transmise", témoigne aussi Ait Mjane Hannou, 71 ans, qui porte le même tatouage sur le menton, comme beaucoup d'autres femmes du bourg.

Chaque groupe berbère a ses propres motifs, "exprimant ainsi l'appartenance à une communauté spécifique et une identité propre", relève Bassou Oujabbour, membre de l'organisation Akhiam, qui oeuvre au développement de la zone d'Imilchil.

"Dans la tribu Aït Hadidou de la région d'Imilchil, les femmes se distinguent par des tatouages constitués de deux ou trois lignes au niveau du menton. Ces lignes sont souvent ornées de motifs comme des croix et des points. D'autres tribus décorent leur visage avec une variété de motifs", dit-il à l'AFP lors du "moussem des fiançailles", fête de septembre où l'on célèbre en danses et musiques le mariage collectif de jeunes couples berbères.

"Punies dans l'au-delà"​

Le Maroc est le pays du Maghreb qui compte le plus de Berbères, dont la présence est antérieure à l'arabisation et à l'islamisation.

Ces autochtones se nomment eux-mêmes "imazighen", pluriel d'"amazigh" qui signifie "homme libre" dans leur langue, le tamazight.

D'après le dernier recensement (2014), plus d'un quart (26,7%) des 35 millions de Marocains utilisent l'un des trois principaux dialectes berbères du pays (le tarifit, le tamazight et le tachelhit).

"Les femmes amazigh d'Afrique du Nord se distinguent par un type de tatouage qui exprime une multitude de significations", explique à l'AFP Abdelouahed Finigue, enseignant-chercheur en géographie, natif d'Imilchil.


Les motifs tatoués s'inscrivent aussi dans une certaine spiritualité, relève-t-il.

"Le cercle, par exemple, représente l'univers et la beauté, tout comme la lune et le soleil qui occupaient une place importante dans les rites locaux", explique-t-il. "Ces tatouages étaient appliqués sur des zones du corps très importantes et sensibles, notamment le menton, le front et les mains. Certaines femmes se faisaient tatouer des zones intimes, comme un cadeau pour leur mariage, exprimant ainsi leur amour pour leur mari et leur attachement à leur foyer".

"Cependant, ces dernières années, cette coutume a été entachée par des idées reçues véhiculées par des courants salafistes, affirmant que les femmes tatouées iraient en enfer", déplore-t-il.

Le tatouage est largement considéré par les musulmans comme une mutilation du corps proscrite par la religion.

Des fondamentalistes "décrivent parfois le tatouage comme le livre du diable ou comme la première chose à brûler sur le corps humain", précise Bassou Oujabbour.

"C'est pourquoi de nombreuses jeunes filles ont renoncé au tatouage pour des raisons religieuses, mais aussi pour des raisons liées à la modernité, car la femme moderne (dans les zones rurales au Maroc) ne se tatoue généralement pas. Par conséquent, même les femmes déjà tatouées enlèvent souvent leurs tatouages par crainte d'être punies dans l'au-delà".

Les Berbères sont des musulmans !
A quelques brebis galeuses .,😏
 
Azul Dune,
J'espère que tu vas bien...

Et pourtant, il y'en a jusqu'au jour d'aujourd'hui qui se font tatouer (je parles de l'ethnie berbère), non pas comme "acte de mariage" mais plutôt par mode.

Et tu as raison de souligner que c'était une façon de confirmer que telle ou telle femme était issue d'une tribu.
L'Islam n'était pas encore assez présent pour interdire cet acte => acte de faire mal à sa peau volontairement.

Azul... Azul.. et Salam
Je vais Bien hmd et Toi ?
Ça fait Longtemps que T'es plus Revenu ici bon en même temps tu vas me dire.......

Ah bon pour la Mode je savais pas surtout Chez Nous on est Sévère quand une Chose devient Interdite les Parents mettent Bien Les Limites je trouve..

Plus une Signification Maritale que de Tribu, après sans doute que cela change d'un endroit à un autre..
 

Dans l'Atlas marocain, les tatouages qui ornent les visages et les mains des femmes berbères, autrefois considérés comme des signes de beauté et d'appartenance à une tribu, sont une tradition qui se perd sous l'influence de la modernité et des interprétations religieuses.​


"Quand j'avais six ans, on nous expliquait que les tatouages étaient de jolies décorations. Nous utilisions du charbon pour les dessiner sur nos visages, ensuite nous allions voir une femme spécialisée qui utilisait une aiguille pour piquer le dessin jusqu'à ce que le sang sorte", se remémore Hannou Mouloud, 67 ans, dans le village de montagne d'Imilchil, à environ 400 km à l'est de Rabat.

"Puis nous nettoyions la plaie quotidiennement avec une herbe verte mâchée jusqu'à ce que le tatouage soit formé", poursuit-elle en montrant à l'AFP la discrète ligne verte sur son menton.

"Nous, petites filles, ne pouvions retenir nos larmes. Chaque mère serrait sa fille dans ses bras, essayant de la consoler jusqu'à ce que le tatouage soit terminé. C'est une tradition que nos parents nous ont transmise", témoigne aussi Ait Mjane Hannou, 71 ans, qui porte le même tatouage sur le menton, comme beaucoup d'autres femmes du bourg.

Chaque groupe berbère a ses propres motifs, "exprimant ainsi l'appartenance à une communauté spécifique et une identité propre", relève Bassou Oujabbour, membre de l'organisation Akhiam, qui oeuvre au développement de la zone d'Imilchil.

"Dans la tribu Aït Hadidou de la région d'Imilchil, les femmes se distinguent par des tatouages constitués de deux ou trois lignes au niveau du menton. Ces lignes sont souvent ornées de motifs comme des croix et des points. D'autres tribus décorent leur visage avec une variété de motifs", dit-il à l'AFP lors du "moussem des fiançailles", fête de septembre où l'on célèbre en danses et musiques le mariage collectif de jeunes couples berbères.

"Punies dans l'au-delà"​

Le Maroc est le pays du Maghreb qui compte le plus de Berbères, dont la présence est antérieure à l'arabisation et à l'islamisation.

Ces autochtones se nomment eux-mêmes "imazighen", pluriel d'"amazigh" qui signifie "homme libre" dans leur langue, le tamazight.

D'après le dernier recensement (2014), plus d'un quart (26,7%) des 35 millions de Marocains utilisent l'un des trois principaux dialectes berbères du pays (le tarifit, le tamazight et le tachelhit).

"Les femmes amazigh d'Afrique du Nord se distinguent par un type de tatouage qui exprime une multitude de significations", explique à l'AFP Abdelouahed Finigue, enseignant-chercheur en géographie, natif d'Imilchil.


Les motifs tatoués s'inscrivent aussi dans une certaine spiritualité, relève-t-il.

"Le cercle, par exemple, représente l'univers et la beauté, tout comme la lune et le soleil qui occupaient une place importante dans les rites locaux", explique-t-il. "Ces tatouages étaient appliqués sur des zones du corps très importantes et sensibles, notamment le menton, le front et les mains. Certaines femmes se faisaient tatouer des zones intimes, comme un cadeau pour leur mariage, exprimant ainsi leur amour pour leur mari et leur attachement à leur foyer".

"Cependant, ces dernières années, cette coutume a été entachée par des idées reçues véhiculées par des courants salafistes, affirmant que les femmes tatouées iraient en enfer", déplore-t-il.

Le tatouage est largement considéré par les musulmans comme une mutilation du corps proscrite par la religion.

Des fondamentalistes "décrivent parfois le tatouage comme le livre du diable ou comme la première chose à brûler sur le corps humain", précise Bassou Oujabbour.

"C'est pourquoi de nombreuses jeunes filles ont renoncé au tatouage pour des raisons religieuses, mais aussi pour des raisons liées à la modernité, car la femme moderne (dans les zones rurales au Maroc) ne se tatoue généralement pas. Par conséquent, même les femmes déjà tatouées enlèvent souvent leurs tatouages par crainte d'être punies dans l'au-delà".

dieu merci qu'on nous a pas mis ça sur le corps
toute tradition n'est pas bonne à garder
 
C'était beau , c'est fini , que celles. Qui veulent se tatouer , se tatouent et elles ont le choix de le faire adulte .
Point final.
On me l'aurait fait , j'aurais peut-être hais ça..
Aujourd'hui je trouve ça beau , mais sur les autres .
 
.

Ah mon bon Monsieur à qui le dites vous.

C'est une constante dans tous les pays...du sud

au nord et d'Est à l'Ouest.

La mondialisation chamboule tout.

Les richesses culturelles s'effacent.

On apprend même que la frite serait française.

Un choc inattendu.


.

En tout cas, la plus grosse usine au monde de frites est en France et aux Etats-Unis, ils les dénomment les "french fries". Dans le nord de la France, les champs de patate, tu en as à perte de vue.

Petite anecdote. Quand Jacques Chirac s'est opposé aux EUA sur la deuxième - scandaleuse -, guerre en Irak en 2003, les cantines du Pentagone ont rebaptisé les "french fries" en "liberty fries". Encore de la propagande US pour faire passer leur guerre coloniale qui avait déjà un doux parfum de croisades. Maintenant, c l'état sioniste qui fait le boulot.

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Dans l'Atlas marocain, les tatouages qui ornent les visages et les mains des femmes berbères, autrefois considérés comme des signes de beauté et d'appartenance à une tribu, sont une tradition qui se perd sous l'influence de la modernité et des interprétations religieuses.​

l'Islam a aux alentours 1350/1400 ans...
Au Maroc l'est depuis aux alentours de 1200 ans...
Tu veux nous faire avaler que les berbères ont mis 1200 ans à se rendre compte que les tatouages sont contre l'Islam?? Soyons sérieux....(de temps en temps)
 
En tout cas, la plus grosse usine au monde de frites est en France et aux Etats-Unis, ils les dénomment les "french fries". Dans le nord de la France, les champs de patate, tu en as à perte de vue.

Petite anecdote. Quand Jacques Chirac s'est opposé aux EUA sur la deuxième - scandaleuse -, guerre en Irak en 2003, les cantines du Pentagone ont rebaptisé les "french fries" en "liberty fries". Encore de la propagande US pour faire passer leur guerre coloniale qui avait déjà un doux parfum de croisades. Maintenant, c l'état sioniste qui fait le boulot.

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C'est très serieux. Je l'ai dit sur le ton de l'humour

mais c'est vrai. C'etait un petit reportage sur une

chaîne française en plein journal télé où un

historien des nutritions (1ere fois que j'entends

ça) révélait que la frite a vu le jour ...EN FRANCE !

Alors qu'on croyait que la frite produit traditionnel

belge depuis au moins debut 20e était belge !

Enorme surprise s'il en est.

Comme quoi on en apprend tous les jours.

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Et ce n'est pas à Ben, propriétaire de la meilleure friterie belge qui nous dira le contraire. Et croyez-nous, en matière de frite, il s'y connaît. On peut même dire qu'il a ça dans la peau.

"Je pense qu'elle est née dans le bassin de la Meuse. Malheureusement, la Meuse, elle fait beaucoup de kilomètres aussi bien en France qu'en Belgique"
, avance-t-il.

Pierre Leclercq, historien de l'alimentation. Ce spécialiste en est persuadé, la frite est née en plein Paris.

Petit détail, il est Belge. "Tout s'est passé aux alentours du Pont Neuf. C'est là qu'on trouve véritablement les premières traces chez les vendeuses de friteuses.

Elles vendaient des beignets essentiellement. Et on sait qu'une des premières recettes de pommes de terre frite était de pomme de terre en beignet"
, explique-t-il.

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Ah mon bon Monsieur à qui le dites vous.

C'est une constante dans tous les pays...du sud

au nord et d'Est à l'Ouest.

La mondialisation chamboule tout.

Les richesses culturelles s'effacent.

On apprend même que la frite serait française.

Un choc inattendu.


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Aux dernières nouvelles, la frite est parisienne.
Mais elle s'est popularisée dans le nord
 
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