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Actualités marocaines
Les troubles alimentaires, grands oubliés des programmes de santé
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[QUOTE="Drianke, post: 16287153, member: 174325"] Les autres études qui ont été menées au Maroc sur cette thématique se concentrent sur les troubles alimentaires chez les étudiants en médecine. «Plusieurs études ont montré que ces étudiants n’ont pas un comportement alimentaire adapté. C’est une population particulière par rapport à d’autres étudiants, exposée à un stress très élevé. Il y a des particularités à explorer en termes d’anxiété et d’autres paramètres, et les troubles alimentaires en font partie», justifie Nada Azzouzi. [B]Pour un assouplissement des critères[/B] Dans la famille des troubles alimentaires, il y a d’abord ce qu’on appelle les «troubles de conduite alimentaire caractérisés», classifiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Association américaine de psychiatrie. «Ces classifications ont permis d’établir des critères très précis pour savoir à partir de quel moment on peut parler de troubles caractérisés, c’est-à-dire qui répondent à tous ces critères. Les plus courants sont notamment la boulimie, l’anorexie et l’hyperphagie. Mais dans la vie quotidienne, on rencontre beaucoup d’autres troubles qui ne correspondent pas forcément à ces critères : ce sont les troubles de conduite alimentaire non spécifiés», nous explique Nada Azzouzi. Entrent dans cette catégorie des personnes – très souvent des femmes – qui, si elles ne tombent dans les travers morbides de l’anorexie, vont par exemple compter les calories de leur repas, culpabiliser lorsqu’elles estiment avoir trop mangé, avoir une perception déformée et erronée de leur corps et de leur poids, qu’elles jugent trop élevé alors que leur indice de masse corporelle (IMC) ne présente aucun signe d’inquiétude. «Ce sont des motifs de consultation plus fréquents que l’anorexie et la boulimie», observe la psychiatre. Et d’ajouter : «Si on ne se fiait qu’aux critères de l’anorexie stricts, de manière très rigoureuse, il y aurait très peu de diagnostics. Or si on assouplit les critères, si on ne se focalise pas sur le diagnostic de l’anorexie uniquement mais sur des sujets qui ont un problème avec l’alimentation, avec la perception de leur corps, vous trouverez beaucoup de jeunes filles qui viennent consulter dans le seul but de perdre du poids.» «Les troubles des conduites alimentaires peuvent être sujets à controverse. Certains psychiatres considèrent qu’il s’agit en réalité de troubles de la perception corporelle.» [/QUOTE]
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