Les troupes israéliennes( lâches ) poursuivent leur offensive sur la ville de Gaza alors que 500 000 palestiniens la fuient ( incroyable en direct )

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion remake
  • Date de début Date de début
La barbarie et la lâcheté de ces nuisibles soutenus par leur dispora surtout aux us en fr gb et en Allemagne et leurs
lèches bottes . Ils soutiennent en cachette . L'histoire retiendra ces sales nuisibles qui commettent des grands crimes
devant l'être suprême . Terminer le CHANTAGE DES CAMPS .
Qui fait ça ? ceux qui détestent l'humain

************************************************************************************************************************

Plusieurs explosions ont été vues au-dessus de la bande de Gaza tôt ce jeudi, alors qu'Isr aël poursuit son offensive dans l'enclave.

Les troupes et les chars ont pénétré plus profondément dans la ville de Gaza, incitant de plus en plus de personnes à fuir la zone, les services de téléphonie et d'Internet étant coupés par les frappes israéliennes.

Selon l'armée israélienne, ses forces aériennes et ses unités d'artillerie ont frappé la ville plus de 150 fois cette semaine.



Les frappes ont renversé des tours d'habitation qui, selon Israël, étaient utilisées comme points d'observation militaire par le groupe militant Hamas.

Les régulateurs ont déclaré que la coupure des liaisons téléphoniques et Internet empêchait les Palestiniens d'appeler à l'aide, de coordonner les évacuations ou de partager des informations sur l'offensive qui a débuté lundi dans le but de prendre le contrôle total de la plus grande ville de la bande de Gaza.

Les Palestiniens déplacés fuient la ville de Gaza le long de la route côtière en direction du sud de la bande de Gaza, 17 septembre 2025


Des Palestiniens déplacés fuient la ville de Gaza le long de la route côtière en direction du sud de la bande de Gaza, 17 septembre 2025. - AP Photo
L'armée israélienne affirme vouloir "détruire l'infrastructure militaire du Hamas", mais n'a pas donné de calendrier pour son offensive dans l'enclave palestinienne.

Les responsables israéliens affirment que la ville de Gaza est le "centre névralgique" du pouvoir du Hamas.



Depuis le début de l'offensive terrestre lundi, quelque 500 000 Palestiniens ont fui la ville de Gaza, selon les données de Tsahal.

Le bilan s'alourdit à 65 000 morts, selon les autorités locales​

Au moins 16 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été tuées dans les frappes de la nuit de mercredi à jeudi, selon des responsables hospitaliers.

Le nombre de morts dans la bande de Gaza s'élève à 65 062, selon le ministère de la Santé de Gaza contrôlé par le Hamas.

Le ministère ne précise pas s'il s'agit de civils ou de militants, mais il indique que les femmes et les enfants représentent environ la moitié des morts.

Des manifestants tiennent des photos représentant les visages d'otages israéliens détenus dans la bande de Gaza, lors d'une manifestation réclamant leur libération de la captivité du Hamas.


Des manifestants tiennent des photos représentant les visages d'otages israéliens détenus dans la bande de Gaza, lors d'une manifestation réclamant leur libération du Hamas. - AP Photo
Pendant ce temps, des manifestants vêtus de blanc, avec du sang représentant les otages tués pendant la guerre, se sont rassemblés près de la résidence du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou à Jérusalem mercredi.



Ils brandissaient une banderole sur laquelle on pouvait lire "C'est Sparte", en référence au discours prononcé par du Premier ministre israélien
 
A LA FACE DU MONDE ENTIER ET EN DIRECT .
************************************************************


Isr aël poursuit jeudi ses bombardements sur la ville de Gaza, provoquant la fuite de nombreux Palestiniens vers le sud. Selon des établissements de santé, répartis dans tout le territoire palestinien, au moins douze personnes, dont trois enfants, ont été tuées dans les frappes israéliennes depuis le début de la journée.

L'armée israélienne a mené, jeudi 18 septembre, d'intenses bombardements sur Gaza-ville, où elle mène une offensive terrestre majeure, provoquant de nouveaux déplacements de la population et laissant, selon l'ONU, les hôpitaux au bord de l'effondrement.

Fort du soutien américain, Isr aël a annoncé mardi le début d'une campagne militaire terrestre et aérienne à Gaza-ville pour y anéantir le mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l'attaque du 7 octobre 2023 en Isra ël a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.


"Il y a des tirs d'artillerie, des frappes aériennes, des tirs de quadricoptères et de drones. Les bombardements ne s'arrêtent jamais", décrit Aya Ahmad, une femme de 32 ans vivant avec 13 membres de sa famille dans le quartier Nasser, dans l'ouest de Gaza-ville.


Selon des établissements de santé, répartis dans tout le territoire palestinien, au moins douze personnes, dont trois enfants, ont été tuées jeudi dans les frappes israéliennes.

La route côtière longeant la bande de Gaza est saturée de personnes fuyant vers le sud à pied, en voiture ou sur des charrettes tirées par des ânes, leurs affaires entassées à la hâte, rapportent des journalistes de l'AFP sur place.



"L'incursion militaire et les ordres d'évacuation dans le nord de Gaza provoquent de nouvelles vagues de déplacements, forçant des familles traumatisées à s'entasser dans une zone toujours plus réduite, incompatible avec la dignité humaine", a déclaré sur X le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus.

"Où allons-nous vivre ?"

"Le monde ne comprend pas ce qui se passe. Ils [Israël, NDLR] veulent que nous évacuions vers le sud – mais où allons-nous vivre ? Il n'y a pas de tentes, pas de transport, pas d'argent", déplore Aya Ahmad.

Les coûts de transport pour rejoindre le sud du territoire palestinien ont explosé, dépassant parfois les 1 000 dollars, selon des personnes interrogées par l'AFP sur place.

L'ONU estimait fin août à environ un million le nombre d'habitants dans la ville de Gaza et ses environs, dans le nord du territoire palestinien. L'armée israélienne a affirmé que "plus de 350 000" personnes avaient fui la zone.
 
ET C'EST PAS UN FILM D'HOLLYWOOD A GRANDE CATASTROPHE C'EST RÉEL ET EN DIRECT .
On pensait ne plus voir ça mais la barbarie de ces nuisibles juifistes le prouve
***********************************************************************************************************************************************
 

Pièces jointes

Retour
Haut