salam
Ce devait être «la mère de toutes les batailles» en Syrie, mais la lutte pour Alep est désormais entrée dans son deuxième mois et les rebelles comme larmée se disent prêts à une longue guerre dusure pour la deuxième ville du pays.
«Nous navons pas assez darmes et (les forces du régime) nont pas assez dhommes», résume Abou Haidar, un combattant rebelle du quartier de Seif al-Dawla, dans le sud-ouest de la ville, où se sont concentrés beaucoup des combats.
Au moins 200.000 personnes ont fui la ville depuis que le conflit a gagné Alep, une métropole de 2,5 millions dhabitants à lindustrie et au commerce longtemps florissants mais où la guerre a tracé un sillage de destructions, avec ses bâtiments bombardés et ses boutiques fermées.
«Cest une longue guerre. Chaque partie veut régler ses comptes, mais cest une guerre dusure qui va durer, avec des bombardements et des combats tous les jours», estime Rami Abdel Rahmane, chef de lObservatoire syrien des droits de lHomme (OSDH), basé en Angleterre mais sappuyant sur un réseau de militants et de témoins à travers la Syrie.
http://www.libe.ma/Les-violences-s-...e-entre-le-regime-et-les-rebelles_a30125.html
Ce devait être «la mère de toutes les batailles» en Syrie, mais la lutte pour Alep est désormais entrée dans son deuxième mois et les rebelles comme larmée se disent prêts à une longue guerre dusure pour la deuxième ville du pays.
«Nous navons pas assez darmes et (les forces du régime) nont pas assez dhommes», résume Abou Haidar, un combattant rebelle du quartier de Seif al-Dawla, dans le sud-ouest de la ville, où se sont concentrés beaucoup des combats.
Au moins 200.000 personnes ont fui la ville depuis que le conflit a gagné Alep, une métropole de 2,5 millions dhabitants à lindustrie et au commerce longtemps florissants mais où la guerre a tracé un sillage de destructions, avec ses bâtiments bombardés et ses boutiques fermées.
«Cest une longue guerre. Chaque partie veut régler ses comptes, mais cest une guerre dusure qui va durer, avec des bombardements et des combats tous les jours», estime Rami Abdel Rahmane, chef de lObservatoire syrien des droits de lHomme (OSDH), basé en Angleterre mais sappuyant sur un réseau de militants et de témoins à travers la Syrie.
http://www.libe.ma/Les-violences-s-...e-entre-le-regime-et-les-rebelles_a30125.html