L'ex-espion juif américain Jonathan Pollard libre de quitter les États-Unis

Les américains ne plaisantent pas avec le secret-défense :D

Pour ceux qui pensent que les américains sont des alliés inconditionnels de l'état israélien,
la punition de cet espion fut très dure : 30 ans de prison.


L'ex-espion juif américain Jonathan Pollard libre de quitter les États-Unis
Après 30 ans de prison et cinq ans de liberté conditionnelle, Jonathan Pollard a désormais la possibilité de quitter le territoire américain. L'ancien analyste de la marine américaine avait été arrêté en 1985 pour espionnage au profit de l'Etat hébreu.

L'ancien espion juif américain Jonathan Pollard, au coeur d'un bras de fer entre Washington et Israël, a fini de purger sa peine vendredi et est désormais libre de quitter les États-Unis, selon le ministère américain de la Justice.

Cet ancien analyste de la marine américaine avait été arrêté en 1985 pour espionnage au profit de l'Etat hébreu.
En pleine guerre froide, l'affaire avait suscité une crise aiguë entre les deux pays, qui s'était résorbée après la promesse d'Israël de mettre un terme à toutes ses activités d'espionnage sur le sol américain.

Suite :

 
Les américains ne plaisantent pas avec le secret-défense :D

Pour ceux qui pensent que les américains sont des alliés inconditionnels de l'état israélien,
la punition de cet espion fut très dure : 30 ans de prison.


L'ex-espion juif américain Jonathan Pollard libre de quitter les États-Unis
Après 30 ans de prison et cinq ans de liberté conditionnelle, Jonathan Pollard a désormais la possibilité de quitter le territoire américain. L'ancien analyste de la marine américaine avait été arrêté en 1985 pour espionnage au profit de l'Etat hébreu.

L'ancien espion juif américain Jonathan Pollard, au coeur d'un bras de fer entre Washington et Israël, a fini de purger sa peine vendredi et est désormais libre de quitter les États-Unis, selon le ministère américain de la Justice.

Cet ancien analyste de la marine américaine avait été arrêté en 1985 pour espionnage au profit de l'Etat hébreu.
En pleine guerre froide, l'affaire avait suscité une crise aiguë entre les deux pays, qui s'était résorbée après la promesse d'Israël de mettre un terme à toutes ses activités d'espionnage sur le sol américain.

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Nos meilleurs alliés comme disent les larbins US d'iSSrael!
 
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Tous les témoignages évoquent une parfaite et une réelle harmonie entre le Mossad israélien et le SDECE, les services secrets français, mais aussi avec les services du contre-terrorisme des Renseignements généraux et de la Sécurité intérieure français. Et même si, par exemple, la consultation des archives des Renseignements généraux des départements d’Algérie de l’époque, nous apprend que les ressortissants israéliens sont nombreux et bien sûr très surveillés par les autorités françaises, ces agents paraissent bénéficier d’une totale liberté de mouvements4. Ainsi, très présents en Algérie pendant le conflit, ils recueillent de nombreuses et d’importantes informations sur les activités des nationalistes algériens. Informations dont ils font bien sûr profiter pleinement les autorités françaises et qu’ils récoltent notamment grâce à l’importante communauté juive, dont, notons-le au passage, nombre de ses membres sont arabisants et parfois très proches de la communauté musulmane.

Henri Jacquin, un officier des renseignements français, affirme d’ailleurs que les informations recueillies par les services israéliens dans l’importante communauté juive d’Afrique du Nord et qui sont par la suite communiquées aux Français, sont souvent plus « fraîches » que celles des services français5.

Les services israéliens s’illustrent aussi dans la formation et l’encadrement des milices juives d’autodéfense et font parfois même le coup de poing en participant directement à des opérations de contre-terrorisme.

C’est ce que révèle une information citée par deux éminents universitaires, le Français Benjamin Stora6 et l’Israélien Mikaël Laskier7, parue dans le détail le 25 mars 2005, dans un article intitulé « Comment le Mossad a armé les juifs de Constantine en 1956 » du journal israélien Maariv8.

L’ancien agent du Mossad, Avraham Barzilai, en poste en 1956 en Algérie, révèle dans le détail une opération des services israéliens consistant à entraîner et armer des groupes composés de jeunes juifs de Constantine pour faire la guerre au FLN et notamment une opération de représailles lancée sur ses ordres et menée par des hommes de sa cellule après un attentat à Constantine, le 12 mai 1956.

Rappelons au passage que la communauté juive d’Algérie, à l’époque la plus nombreuse communauté juive dans le monde arabo-musulman (130 000 personnes environ), est très ancienne et présente sur le territoire algérien, bien avant la conquête française. Devenus citoyens français à part entière depuis le décret Crémieux de 1870, les Juifs d’Algérie s’identifient de façon croissante à la métropole9. Et ce malgré leur retour humiliant et forcé à la condition d’indigène durant la période de la Seconde Guerre mondiale et du régime de Vichy.

Lorsque la Guerre d’Algérie commence en 1954, les Juifs d’Algérie sont donc Français depuis quatre générations. Même si la plupart d’entre eux vote à gauche, la majorité choisit clairement l’Algérie française. D’ailleurs, ils en paient le prix le plus fort puisque de nombreuses personnalités de la communauté, du notable jusqu’au petit coiffeur, sont assassinées par le FLN comme la plus emblématique d’entre elles, Cheikh Raymond, né Raymond Leyris (beau-père d’Enrico Macias) qui est assassiné par le FLN d’une balle tirée dans la nuque, au cœur même du quartier juif constantinois. Musicien spécialiste de musique arabo-andalouse, joueur virtuose d’oud, il fédérait pourtant les communautés car il était un personnage aimé et respecté tant par les Juifs que par les Musulmans qui l’appelaient « Cheikh Raymond » en signe de respect.

La suite :

 
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