Libérée de prison à condition d'épouser son violeur

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Gulnaz, 19 ans, croupissait dans une prison afghane depuis deux ans pour «adultère» suite à un viol. Sa libération a été ordonnée jeudi mais son calvaire n'est pas terminé.

Quelque 5000 personnes avaient signé la pétition demandant la libération de Gulnaz. Parce qu'elle avait été victime d'un viol, la jeune femme de 19 ans avait été condamnée en 2009 à douze ans de prison pour «adultère». La mobilisation en sa faveur a fini par arriver aux oreilles du président afghan Hamid Karzaï, qui a ordonné jeudi sa libération. Mais pour Gulnaz, la liberté pourrait s'avérer pire que la prison : une fois sortie, elle devrait en effet épouser l'homme qui l'a violée.

Face au tollé provoqué par la condamnation de la jeune femme, Hamid Karzaï a convoqué une réunion de responsables judiciaires. Ceux-ci ont décidé de gracier la prisonnière. Mais selon leur porte-parole, Aimal Faizi, ces responsables se sont alors demandé comment protéger la jeune femme à sa sortie de prison, dans un pays où les victimes de viol sont stigmatisées. Pour parer au danger, ils ont trouvé une solution : Gulnaz devrait épouser son violeur, dont elle a eu un enfant en prison.
Elle aurait consenti à cette union

Aimal Faizi a assuré que la libération de la jeune femme était indépendante de sa décision d'accepter de se marier. Mais selon lui, elle «a consenti à cette union», à condition que son propre frère épouse la soeur de son agresseur, une exigence visant à s'assurer que son époux ne l'agresserait plus à l'avenir.

L'histoire de Gulnaz montre que si, dix ans après la chute du régime taliban, la condition des femmes afghanes a évolué, le chemin est encore long. La société afghane reste très traditionaliste et patriarcale, notamment dans les campagnes, et des pratiques telles que les mariages forcés et les «crimes d'honneur» restent monnaie courante. Dimanche dernier, une adolescente de 17 ans a encore été aspergée d'acide dans le nord du pays, parce que son père avait refusé sa main à un potentat local. Selon un récent rapport commun de la Mission de l'ONU en Afghanistan (Unama) et du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, aucune statistique officielle n'est disponible sur les cas de violences contre les femmes, et la plupart ne sont pas signalés.

http://www.lefigaro.fr/internationa...-prison-a-condition-d-epouser-son-violeur.php
 
Gulnaz, 19 ans, croupissait dans une prison afghane depuis deux ans pour «adultère» suite à un viol. Sa libération a été ordonnée jeudi mais son calvaire n'est pas terminé.

Quelque 5000 personnes avaient signé la pétition demandant la libération de Gulnaz. Parce qu'elle avait été victime d'un viol, la jeune femme de 19 ans avait été condamnée en 2009 à douze ans de prison pour «adultère». La mobilisation en sa faveur a fini par arriver aux oreilles du président afghan Hamid Karzaï, qui a ordonné jeudi sa libération. Mais pour Gulnaz, la liberté pourrait s'avérer pire que la prison : une fois sortie, elle devrait en effet épouser l'homme qui l'a violée.

Face au tollé provoqué par la condamnation de la jeune femme, Hamid Karzaï a convoqué une réunion de responsables judiciaires. Ceux-ci ont décidé de gracier la prisonnière. Mais selon leur porte-parole, Aimal Faizi, ces responsables se sont alors demandé comment protéger la jeune femme à sa sortie de prison, dans un pays où les victimes de viol sont stigmatisées. Pour parer au danger, ils ont trouvé une solution : Gulnaz devrait épouser son violeur, dont elle a eu un enfant en prison.
Elle aurait consenti à cette union

Aimal Faizi a assuré que la libération de la jeune femme était indépendante de sa décision d'accepter de se marier. Mais selon lui, elle «a consenti à cette union», à condition que son propre frère épouse la soeur de son agresseur, une exigence visant à s'assurer que son époux ne l'agresserait plus à l'avenir.

L'histoire de Gulnaz montre que si, dix ans après la chute du régime taliban, la condition des femmes afghanes a évolué, le chemin est encore long. La société afghane reste très traditionaliste et patriarcale, notamment dans les campagnes, et des pratiques telles que les mariages forcés et les «crimes d'honneur» restent monnaie courante. Dimanche dernier, une adolescente de 17 ans a encore été aspergée d'acide dans le nord du pays, parce que son père avait refusé sa main à un potentat local. Selon un récent rapport commun de la Mission de l'ONU en Afghanistan (Unama) et du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, aucune statistique officielle n'est disponible sur les cas de violences contre les femmes, et la plupart ne sont pas signalés.

http://www.lefigaro.fr/internationa...-prison-a-condition-d-epouser-son-violeur.php

Comment on peut accuser d'adultère une femme pas encore mariée ?

Comprennent rien a leurs propres codes ces sauvages.
 
je ne te fais aucun procés....je te pose une question !

alors ne t'emballe pas


Pour l'instant, tu es la seule à avoir parler d'islam.

S'il y voyait un lien avec l'islam plutôt qu'avec la culture tribale, il l'aurait dit.




En revanche, on peut peut-être voir un lien entre la culture tribale et la religion dans le sens où la religion, commandement divin, a entretenu le tabou de toutes relations hors-mariages (sans religion, peut-être que ce tabou aurait été moins fort, moins grave) pou dans le fait que la femme est "coupable d'avoir été violée" du fait que la religion n'évoque pas la notion de consentement (car on retrouve des cas similaires dans d'autres pays - ainsi que dans le comportement et réactions parfois de certains bladinautes ou "la femme violée, c'est qu'elle l'avait cherché").

(mais ce lien ne mènera pas au mariage avec le violeur ou d'autres choses du genre)
 
Pour l'instant, tu es la seule à avoir parler d'islam.

S'il y voyait un lien avec l'islam plutôt qu'avec la culture tribale, il l'aurait dit.




En revanche, on peut peut-être un lien entre le tabou de l'adultère, le fait que le viol n'est pas reconnu religieusement (du fait de l'absence de texte évoquant le consentement).
Là, la religion aurait alors eu pour facteur d'entretenir certains pans de la culture tribal par transmission de tabou.

(mais ceci sans jamais mener au mariage avec le violeur)

Alors excuse moi...mais quand on évoque les procés en Afghanistan, il est n'est pas rare d'évoquer la Charia et l'Islam !

que Mr n'en ai pas fait mention c'est un fait... mais que je lui pose ma question sur le lien qui pourrait être fait entre " lois barbares" et Islam n'est pas anodin !
 
salam

c'est quoi ça!

c'est du viol pas de l'adultère!

Salam madalena !

Viol ou adultère, ne sont que des mots... La tragédie que vit cette fille n'a pas de nom... L'obliger à épouser son violeur pour une question de sécurité ou d'honneur ou que sais-je... est sans nom non plus... Ridicule, anti-humain peut-etre..:fou:; enfin je suis sur que d'autres trouveront un vocabulaire adéquat...
Pas de religion là dedans, que des coutumes tribales qui persistes.. et qui continueront à persister au détriment de la valeur humaine....:pleurs:
 
Gulnaz, l'Afghane violée n'épousera pas son agresseur


Gulnaz, 19 ans, croupit depuis deux ans en prison, après avoir été violée à son domicile. Condamnée à douze ans de prison pour «adultère», la jeune femme a eu un enfant à la suite de ce viol, enfermé avec elle dans sa cellule de Kaboul. Après le tollé provoqué par cette affaire (plus de 5000 signatures recueillies pour sa libération), le président Afghan a décidé de gracier la jeune femme.


Si en premier lieu il avait été annoncé que Gulnaz devait épouser son violeur, pour éviter d'être en danger après sa libération, notamment en raison de la stigmatisation qui frappe les femmes victimes de viols dans ce pays, un porte-parole du président Hamid Karzai a démenti ce vendredi.

En Afghanistan, la condition des femmes reste dramatique

Dix ans après la chute du régime ultra-rigoriste des islamistes talibans, chassés du pouvoir par une coalition emmenée par les Américains, la condition des femmes afghanes a évolué, surtout dans les villes. Mais la société afghane reste très traditionaliste et patriarcale, et des pratiques telles que les mariages forcés et «les crimes d'honneur restent monnaie courante.

Selon un récent rapport commun de la Mission de l'ONU en Afghanistan (Unama) et du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, aucune statistique officielle n'est disponible sur les cas de violences contre les femmes, et la plupart ne sont pas signalés.

Dimanche soir, une adolescente de 17 ans a été aspergée d'acide dans le nord du pays par des hommes masqués qui ont également agressé sa famille. Son père a accusé un potentat local, à qui la famille avait refusé la main de la jeune fille, d'être à l'origine de l'agression


le parisien
 
Comme il y a des sites poubelles, il y a des journaux poubelles!

Avec France Soir, ce quotidien doit être un des plus nauséabonds de France!

Comme si à l'international, cet évènement est d'une importance capitale!
Si unévènment semblable se serait produit en israèl, personne n'en soufflera mot!
 
Je pense que PAREIL n'a pas tort dans son analyse du rôle que la religion peut avoir dans certains endroits sur le maintien dans le temps de coutumes et de tabous archaiques . Pour la justice italienne aussi , il n'y a pas si longtemps , une femme qui avait été violée , c'est qu'elle l'avait bien voulu , et elle relaxait le violeur . En Amérique du Sud , il y a 2 ou 3 ans , un évêque a excommunié une adolescente qui avait avorté pour ne pas avoir voulu porter l'enfant que son père lui avait fait de force . Le mépris de la femme est partout et dans toutes les cultures et dans toutes les religions quand celles ci sont interpretées par des hommes qui se disent savants et font dire aux textes sacrés ce qui les arrange . Alors Bechar , si un journal révele les excès et les dérives de certains extremistes qui font du tort à votre propre religion , ne leur faites pas des procès d'intention en propagande anti-islamique , et retournez vous plutôt contre ces extremistes qui sont les vrais fautifs . On ne fait pas tomber la fièvre en cassant le thermomètre !!
 
Je pense que PAREIL n'a pas tort dans son analyse du rôle que la religion peut avoir dans certains endroits sur le maintien dans le temps de coutumes et de tabous archaiques . Pour la justice italienne aussi , il n'y a pas si longtemps , une femme qui avait été violée , c'est qu'elle l'avait bien voulu , et elle relaxait le violeur . En Amérique du Sud , il y a 2 ou 3 ans , un évêque a excommunié une adolescente qui avait avorté pour ne pas avoir voulu porter l'enfant que son père lui avait fait de force . Le mépris de la femme est partout et dans toutes les cultures et dans toutes les religions quand celles ci sont interpretées par des hommes qui se disent savants et font dire aux textes sacrés ce qui les arrange . Alors Bechar , si un journal révele les excès et les dérives de certains extremistes qui font du tort à votre propre religion , ne leur faites pas des procès d'intention en propagande anti-islamique , et retournez vous plutôt contre ces extremistes qui sont les vrais fautifs . On ne fait pas tomber la fièvre en cassant le thermomètre !!

C'est exactement ça.

Et comme tu l'as souligné avec de bons exemples (je ne connaissais pas le premier, mais les propos de berlusconi sont du même genre), on retrouve les mêmes tendances avec les autres religions : dès qu'elles sont trop présentes, les dérapages socio-culturels sont toujours d'actualités...
 
Désolée pour cette nouvelle biovibs, je sais que ça ne te fera pas plaisir mais bon c'est comme ça :)

????
comme asteroïde je te prierai d’éviter les procès d'intention, d'ailleurs de par ton statut je ne devrais pas avoir à te le faire remarquer.

le fait qu'une femme n'ai pas à subir une injustice ne peut que me faire plaisir, affirmer (gratuitement) le contraire est presque une insulte.
 
Comme il y a des sites poubelles, il y a des journaux poubelles!

Avec France Soir, ce quotidien doit être un des plus nauséabonds de France!

Comme si à l'international, cet évènement est d'une importance capitale!
Si unévènment semblable se serait produit en israèl, personne n'en soufflera mot!


d'accord donc le probleme c'est que cela se passe en Afganistan ?
pourquoi ?
 
je la soupçone de faire parti des frontiste du net :D


biovidis arrete avec tes allusion répugnante


je te soupçonne de m'accuser à tort parce que j'ai juste mis sur le net un fait divers.
et ce sans AUCUN commentaire d ema part, toute les allusions ont ete faite par d'autre ce qui n'empeche personne de m'accuser de tout et n'importe quoi bien entendu.
je ne fais pas l'info, je ne suis pas responsable de ce fait divers,
mais c'est tellement facile de taper sur le messager.

une chose est sur, le gouvernement Karzai ne vaut guere mieux que ses pedecessurs en terme de droit de la femme.
que ceci soit du à la religion ou à la tradition quelle importance.
 
Gulnaz, 19 ans, croupissait dans une prison afghane depuis deux ans pour «adultère» suite à un viol. Sa libération a été ordonnée jeudi mais son calvaire n'est pas terminé.

Quelque 5000 personnes avaient signé la pétition demandant la libération de Gulnaz. Parce qu'elle avait été victime d'un viol, la jeune femme de 19 ans avait été condamnée en 2009 à douze ans de prison pour «adultère». La mobilisation en sa faveur a fini par arriver aux oreilles du président afghan Hamid Karzaï, qui a ordonné jeudi sa libération. Mais pour Gulnaz, la liberté pourrait s'avérer pire que la prison : une fois sortie, elle devrait en effet épouser l'homme qui l'a violée.

Face au tollé provoqué par la condamnation de la jeune femme, Hamid Karzaï a convoqué une réunion de responsables judiciaires. Ceux-ci ont décidé de gracier la prisonnière. Mais selon leur porte-parole, Aimal Faizi, ces responsables se sont alors demandé comment protéger la jeune femme à sa sortie de prison, dans un pays où les victimes de viol sont stigmatisées. Pour parer au danger, ils ont trouvé une solution : Gulnaz devrait épouser son violeur, dont elle a eu un enfant en prison.
Elle aurait consenti à cette union

Aimal Faizi a assuré que la libération de la jeune femme était indépendante de sa décision d'accepter de se marier. Mais selon lui, elle «a consenti à cette union», à condition que son propre frère épouse la soeur de son agresseur, une exigence visant à s'assurer que son époux ne l'agresserait plus à l'avenir.

L'histoire de Gulnaz montre que si, dix ans après la chute du régime taliban, la condition des femmes afghanes a évolué, le chemin est encore long. La société afghane reste très traditionaliste et patriarcale, notamment dans les campagnes, et des pratiques telles que les mariages forcés et les «crimes d'honneur» restent monnaie courante. Dimanche dernier, une adolescente de 17 ans a encore été aspergée d'acide dans le nord du pays, parce que son père avait refusé sa main à un potentat local. Selon un récent rapport commun de la Mission de l'ONU en Afghanistan (Unama) et du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, aucune statistique officielle n'est disponible sur les cas de violences contre les femmes, et la plupart ne sont pas signalés.

http://www.lefigaro.fr/internationa...-prison-a-condition-d-epouser-son-violeur.php


que dire ?, rien c'est a pleurer. Tous des sauvages !! rien ne change.
 
Bioviibs et BaznAtlas en simultanée :D

Il serait temps sur Bladi de créer une rubrique faits divers internationaux digne de ce nom et pouvoir ensuite en faire des déductions sociales, culturelles et idéologiques.


Et tu peux rajouter Boptiprince alias comptblad parmis les fans inconditionnels de faits divers scabreux, sordide ou stigmatisant les musulmans ou les marocains.

Il n'y a qu'à faire un tour sur le forum Belgique...
 
je te soupçonne de m'accuser à tort parce que j'ai juste mis sur le net un fait divers.
et ce sans AUCUN commentaire d ema part, toute les allusions ont ete faite par d'autre ce qui n'empeche personne de m'accuser de tout et n'importe quoi bien entendu.
je ne fais pas l'info, je ne suis pas responsable de ce fait divers,
mais c'est tellement facile de taper sur le messager.

une chose est sur, le gouvernement Karzai ne vaut guere mieux que ses pedecessurs en terme de droit de la femme.
que ceci soit du à la religion ou à la tradition quelle importance.


tes idée sont telement dégoutante et transparente elle se reflète comme un miroire aller va raconter sa quelqun d'autre

sans rancune:)
 
Gulnaz, 19 ans, croupissait dans une prison afghane depuis deux ans pour «adultère» suite à un viol. Sa libération a été ordonnée jeudi mais son calvaire n'est pas terminé.

Quelque 5000 personnes avaient signé la pétition demandant la libération de Gulnaz. Parce qu'elle avait été victime d'un viol, la jeune femme de 19 ans avait été condamnée en 2009 à douze ans de prison pour «adultère». La mobilisation en sa faveur a fini par arriver aux oreilles du président afghan Hamid Karzaï, qui a ordonné jeudi sa libération. Mais pour Gulnaz, la liberté pourrait s'avérer pire que la prison : une fois sortie, elle devrait en effet épouser l'homme qui l'a violée.

Face au tollé provoqué par la condamnation de la jeune femme, Hamid Karzaï a convoqué une réunion de responsables judiciaires. Ceux-ci ont décidé de gracier la prisonnière. Mais selon leur porte-parole, Aimal Faizi, ces responsables se sont alors demandé comment protéger la jeune femme à sa sortie de prison, dans un pays où les victimes de viol sont stigmatisées. Pour parer au danger, ils ont trouvé une solution : Gulnaz devrait épouser son violeur, dont elle a eu un enfant en prison.
Elle aurait consenti à cette union

Aimal Faizi a assuré que la libération de la jeune femme était indépendante de sa décision d'accepter de se marier. Mais selon lui, elle «a consenti à cette union», à condition que son propre frère épouse la soeur de son agresseur, une exigence visant à s'assurer que son époux ne l'agresserait plus à l'avenir.

L'histoire de Gulnaz montre que si, dix ans après la chute du régime taliban, la condition des femmes afghanes a évolué, le chemin est encore long. La société afghane reste très traditionaliste et patriarcale, notamment dans les campagnes, et des pratiques telles que les mariages forcés et les «crimes d'honneur» restent monnaie courante. Dimanche dernier, une adolescente de 17 ans a encore été aspergée d'acide dans le nord du pays, parce que son père avait refusé sa main à un potentat local. Selon un récent rapport commun de la Mission de l'ONU en Afghanistan (Unama) et du Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, aucune statistique officielle n'est disponible sur les cas de violences contre les femmes, et la plupart ne sont pas signalés.

http://www.lefigaro.fr/internationa...-prison-a-condition-d-epouser-son-violeur.php

Sa ferais un jolie scénario pour plus belle la vie ça...
 
j'ai fais le moindre commentaire ?
pourquoi tu me fais un procès d'intention au lieu de commenter l'article ?

Disons que nous te connaissons...à toi de prouver le contraire.

Sinon pour ton article, il démontre que l’Afghanistan évolue "doucement" mais surement.Il est nécessaire de leurs apprendre à faire la différence entre un viol et un adultère.
 
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