L’importance du chiffre*

ahmed II

Sweet & Sour
Le zéro en tant que tel n’est rien, il n’acquiert de signification qu’en présence d’une autre entité, comme le un par exemple. Alors seulement il revêt de l’importance et peut devenir, toujours par association -excusez le pléonasme-, puissance ou extrême puissance.

Nul besoin d’être philosophe ou mathématicien pour comprendre cette vérité, qui en est une, en passant. Mais 10, cent, mille ou un immense zéro gros comme l’univers resteront toujours sans aucune espèce d’importance, car à eux seuls ils ne sont rien.

Rien, c’est rien.

En ce qui concerne cette assertion, rien c’est rien, il semblerait qu’il faille faire appel à un philosophe ou à un scientifique pour en comprendre le sens, alors qu’un enfant ou un illettré en bonne santé mentale n’ont aucun mal à y adhérer.

C’est le cas aussi pour le chiffre ‘un’.

Bien que doté d’une consistance en apparence, il est affligé de la même condition que le zéro. Ce qui n’est pas le cas des suivants, comme le deux, le trois et ainsi de suite.

Logiquement et concrètement -pour ne pas parler dans le vide- il faut un autre, quelconque, pour qu’un être quel qu’il soit existe. Pratiquement, dire par exemple « je vais m’aimer pour mieux exister » n’a aucun sens. La démarche est égoïste, et stérile, surtout.

Par contre, aimer un autre en a, même si ce n’est qu’un âne.

* Je pense que sur un forum marocain, tous devraient savoir en théorie que « chiffre » signifie zéro, ce qui démontre qu’à la source il a confusion avérée. Les chiffres ne sont pas arabes mais hindous.
 

compassion

il y a, un 3aflite dans chaque bougie
VIB
Le zéro en tant que tel n’est rien, il n’acquiert de signification qu’en présence d’une autre entité, comme le un par exemple. Alors seulement il revêt de l’importance et peut devenir, toujours par association -excusez le pléonasme-, puissance ou extrême puissance.

Nul besoin d’être philosophe ou mathématicien pour comprendre cette vérité, qui en est une, en passant. Mais 10, cent, mille ou un immense zéro gros comme l’univers resteront toujours sans aucune espèce d’importance, car à eux seuls ils ne sont rien.

Rien, c’est rien.

En ce qui concerne cette assertion, rien c’est rien, il semblerait qu’il faille faire appel à un philosophe ou à un scientifique pour en comprendre le sens, alors qu’un enfant ou un illettré en bonne santé mentale n’ont aucun mal à y adhérer.

C’est le cas aussi pour le chiffre ‘un’.

Bien que doté d’une consistance en apparence, il est affligé de la même condition que le zéro. Ce qui n’est pas le cas des suivants, comme le deux, le trois et ainsi de suite.

Logiquement et concrètement -pour ne pas parler dans le vide- il faut un autre, quelconque, pour qu’un être quel qu’il soit existe. Pratiquement, dire par exemple « je vais m’aimer pour mieux exister » n’a aucun sens. La démarche est égoïste, et stérile, surtout.

Par contre, aimer un autre en a, même si ce n’est qu’un âne.

* Je pense que sur un forum marocain, tous devraient savoir en théorie que « chiffre » signifie zéro, ce qui démontre qu’à la source il a confusion avérée. Les chiffres ne sont pas arabes mais hindous.
c'est de toi ou tu a copier cela aux hindous ?
 

ahmed II

Sweet & Sour
Admettons. Les lettres, c'est pas ton truc.
Les chiffres sont ton dada ? Les maths ?
Dans quoi tu te sens fort, en math ou philosophie ?
(Religion, ça rentre dans la philo.)
Vas-y, lâche prise l'insouciant !
 

felouquier

Nicky31 pour les intimes
Le zéro en tant que tel n’est rien, il n’acquiert de signification qu’en présence d’une autre entité, comme le un par exemple. Alors seulement il revêt de l’importance et peut devenir, toujours par association -excusez le pléonasme-, puissance ou extrême puissance.

Nul besoin d’être philosophe ou mathématicien pour comprendre cette vérité, qui en est une, en passant. Mais 10, cent, mille ou un immense zéro gros comme l’univers resteront toujours sans aucune espèce d’importance, car à eux seuls ils ne sont rien.

Rien, c’est rien.

En ce qui concerne cette assertion, rien c’est rien, il semblerait qu’il faille faire appel à un philosophe ou à un scientifique pour en comprendre le sens, alors qu’un enfant ou un illettré en bonne santé mentale n’ont aucun mal à y adhérer.

C’est le cas aussi pour le chiffre ‘un’.

Bien que doté d’une consistance en apparence, il est affligé de la même condition que le zéro. Ce qui n’est pas le cas des suivants, comme le deux, le trois et ainsi de suite.

Logiquement et concrètement -pour ne pas parler dans le vide- il faut un autre, quelconque, pour qu’un être quel qu’il soit existe. Pratiquement, dire par exemple « je vais m’aimer pour mieux exister » n’a aucun sens. La démarche est égoïste, et stérile, surtout.

Par contre, aimer un autre en a, même si ce n’est qu’un âne.

* Je pense que sur un forum marocain, tous devraient savoir en théorie que « chiffre » signifie zéro, ce qui démontre qu’à la source il a confusion avérée. Les chiffres ne sont pas arabes mais hindous.
T.1.0
 

compassion

il y a, un 3aflite dans chaque bougie
VIB
Le zéro en tant que tel n’est rien, il n’acquiert de signification qu’en présence d’une autre entité, comme le un par exemple. Alors seulement il revêt de l’importance et peut devenir, toujours par association -excusez le pléonasme-, puissance ou extrême puissance.
a lui seul le zéro a plus de lettre que le rien

Nul besoin d’être philosophe ou mathématicien pour comprendre cette vérité, qui en est une, en passant. Mais 10, cent, mille ou un immense zéro gros comme l’univers resteront toujours sans aucune espèce d’importance, car à eux seuls ils ne sont rien.
partir de zéro, deux zéro forme un 8, en informatique le zéro et le un forme un tout
 

ahmed II

Sweet & Sour
Postulat : le vide absolu ou le néant n’existent pas. Le vide est toujours un espace délimité par quelque chose. Le zéro par exemple n’a de fonction que par rapport à un nombre. Il en va de même pour le silence. Dénué de valeur absolue, il est une absence temporaire de son.
Quand après la nuit se lève le soleil, la vie en dormance reprend son cours ; splendeur divine et grâce incommensurable d’où surgit par enchantement et à notre corps défendant l’idée de Dieu.
Cette réflexion est née à la suite d’une parole d’Albert Camus, lui qui était athée et qui ne cessait de l’affirmer dans une lutte absurde, adjectif qu’il utilisait pour décrire sa philosophie. Dans Noces, il écrivait que les beautés de la nature « lui parlent sans relâche d’un Dieu qui n’existe pas. »

Pour voir l'image : https://img.over-blog-kiwi.com/0/55...febe_ob-717dac-bhagavad-gita-7-9-francais.jpg
 
Postulat : le vide absolu ou le néant n’existent pas. Le vide est toujours un espace délimité par quelque chose. Le zéro par exemple n’a de fonction que par rapport à un nombre. Il en va de même pour le silence. Dénué de valeur absolue, il est une absence temporaire de son.
Pour le vide ... un espace délimité ... Il faut la faire et la boire ...
Le zéro, ou élément neutre, a une fonction dans une relation structurante (structure de groupe additif), une loi de composition interne à un ensemble (addition), en fait il faut deux nombres (un nombre et son symétrique) : il faut monter les escaliers (x) et les redescendre (-x) pour affirmer que l'on est revenu au même point P+x-x =P ou encore x +(-x) =0. C'est par une construction de ce type que l'on construit Z à partir de NXN.

Quant au commentaire sur les chiffres arabes, la préface de Viro Sapientissimo Emmanueli Martinez de l'ouvrage d' Andrea de Guevara et Basoazabal ( guanaxuatensi presbytero), historiam philosophiae et elementa matheseos dans son tomus primus, edition 1825 Valentiae, elle vous précède de près de deux siècles.
dixit : quorumdam Arabum placita, ineptias, deliramenta etc j'écourte les éloges et les louanges des esprits tordus ...
Attribuant à Neper les logarithmes ...
Un traité de mathématiques, qui ne mérite même pas le nom, à faire rougir les Sapientissimes ...
 
Dernière édition:

ahmed II

Sweet & Sour
Je me situe de façon absolue. C'est dire qu'à tout moment l'être doit aimer un autre être pour que l'amour ait un sens.
L'amour ne se conçoit que par deux. Le zéro est nul et le 1 stérile quand il reste seul.

'Pratique', veut dire concret. L'enfant qui vient au monde aime une autre personne, généralement sa mère. C'est ce que j'entendais par commencement. Si cette possibilité d'expérimenter l'amour réciproque vient à lui manquer dès les premiers jours et que le bébé n'a pas de relation intime avec ses parents, alors sa vie sera handicapée quelque part, et gravement.
Puis, il l'étend son désir d'amour à son père. Puis à ses frères. Puis à ses amis et aux animaux. À Dieu aussi, normalement.
Enfin, l'amour trouve tout son sens existentiel, psychique et physique, dans une relation conjugale, de couple.
Aucun besoin de lire Freud ou Jung pour apprendre que s'aimer (je ne sais pas ce que cela entend réellement, voir la photo*) est un déséquilibre mental et ne correspond pas à une condition saine de l'homme et de la femme.

* https://img.over-blog-kiwi.com/0/55/42/91/20180225/ob_60b13d_je-m-aime-miroir.jpg
 
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