L’intelligence artificielle pour «fliquer» le citoyen à la place de la police, pas si vite...
Le projet iPolice pourrait aboutir dans le futur à implémenter l’intelligence artificielle dans le travail policier. Le ministre Jambon promet que l’homme gardera la maîtrise de la machine.
L’intelligence artificielle (IA) va-t-elle « fliquer » le citoyen à la place de la police, en dehors de tout cadre déontologique ou contrôle ? L’annonce en 2016 du lancement du projet « iPolice » a soulevé quelques inquiétudes en ce sens. iPolice – qui représente un investissement de 110 millions d’euros – « est un projet très important », souligne le cabinet du ministre de l’Intérieur, Jan Jambon. Avec le ministre Alexander De Croo, ils veulent « véritablement faire entrer le travail de la police dans l’ère digitale, afin de rendre le travail des fonctionnaires plus efficace ». Tout un programme !
Annoncé en 2014, le projet « iPolice » devra centraliser l’actuelle BMG-Circulation et une vingtaine d’autres banques de données, mais aussi récolter les informations disponibles sur le web et les réseaux sociaux à propos des personnes recherchées.
Mais iPolice ne sera pas pleinement actif avant 2021. Et il faudra d’abord parvenir à l’informatisation effective du travail policier.
Le projet iPolice pourrait aboutir dans le futur à implémenter l’intelligence artificielle dans le travail policier. Le ministre Jambon promet que l’homme gardera la maîtrise de la machine.
L’intelligence artificielle (IA) va-t-elle « fliquer » le citoyen à la place de la police, en dehors de tout cadre déontologique ou contrôle ? L’annonce en 2016 du lancement du projet « iPolice » a soulevé quelques inquiétudes en ce sens. iPolice – qui représente un investissement de 110 millions d’euros – « est un projet très important », souligne le cabinet du ministre de l’Intérieur, Jan Jambon. Avec le ministre Alexander De Croo, ils veulent « véritablement faire entrer le travail de la police dans l’ère digitale, afin de rendre le travail des fonctionnaires plus efficace ». Tout un programme !
Annoncé en 2014, le projet « iPolice » devra centraliser l’actuelle BMG-Circulation et une vingtaine d’autres banques de données, mais aussi récolter les informations disponibles sur le web et les réseaux sociaux à propos des personnes recherchées.
Mais iPolice ne sera pas pleinement actif avant 2021. Et il faudra d’abord parvenir à l’informatisation effective du travail policier.